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L'enfant qui ne savait pas dire la vérité

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L'enfant qui ne savait pas dire la vérité

Jessie a 9 ans et ressemble à la petite fille parfaite, avec ses cheveux roux, ses yeux verts et son sourire charmant. Mais pour obtenir ce qu'elle veut, Jessie est capable de mentir, hurler, crier et faire du mal. Ses parents décident de la placer en foyer. Les assistants sociaux luttent pour parvenir à gérer son comportement et ses changements d'humeur brutaux, et Jessie fait plusieurs passages chaotiques dans des familles d'accueil. C'est alors qu'on appelle la pédopsychologue Torey Hayden pour lui venir en aide. Elle lui diagnostique un trouble de l'attachement. Celui-ci apparaît chez les enfants privés de liens sensibles et constants avec des adultes sécurisants, les empêchant de se développer normalement sur le plan émotionnel. L'attention bienveillante de Torey révèle des vérités surprenantes derrière les mensonges de Jessie. Arrivera-t-elle à se construire ou continuera-t-elle à repousser tous ceux qui veulent l'aider ?

07/2021

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"Pour une fois, il n'y avait pas d'argent liquide"

"Durant vingt-cinq ans, j'ai été un homme de l'ombre. Le grand public a découvert mon existence le 26 mai 2014. Ce jour-là, devant des millions de téléspectateurs, j'ai reconnu mon implication dans un système de fausses factures destiné à masquer le dépassement des frais de campagne de Nicolas Sarkozy en 2012. Une pratique totalement illégale, mais qui n'avait donné lieu à aucun détournement d'argent. Dire la vérité a fait de moi un paria au sein de mon ancien parti..." Cette vérité, Jérôme Lavrilleux la livre ici pour la première fois en détail, sans autocensure. La vérité d'un homme qui, condamné à trois ans de détention pour son rôle dans l'affaire Bygmalion, n'en a pourtant pas été le cerveau, mais l'exécutant. Un bon soldat auquel Nicolas Sarkozy lui-même a reconnu cette "qualité rare chez les collaborateurs politiques : il a l'art de ne pas nous embêter avec les questions que nous n'avons pas à connaître"... Ce scandale retentissant, il le raconte de l'intérieur, avec ses multiples protagonistes, leurs petites lâchetés, leurs servitudes et, parfois, leur grandeur. Sous une lumière crue, il peint ainsi un tableau dantesque de la droite française, où "celui qui saigne est aussitôt réduit en charpie".

01/2022

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Ordres et vie monastique

La voie de la miséricorde

"Elle avait mis du temps à le comprendre, et à l'admettre ; pour dire la vérité, elle n'en avait pas été contente tous les jours, il lui était arrivé de renâcler. Elle avait avancé néanmoins, sans épargner ses forces ni compter ses peines, guidée par l'amour qu'elle portait au Christ, et la certitude, dont aucune épreuve n'avait jamais triomphé, qu'elle pourrait toujours s'appuyer sur lui, qu'il ne la laisserait manquer de rien, quoi qu'il arrivât. Elle ne s'était pas trompée, et il ne l'avait pas trompée. Elle savait aussi, avec une clarté aveuglante, que son oeuvre représentait beaucoup plus qu'un refuge accordé à des femmes en détresse qui avaient rarement choisi la voie du vice et du péché sur laquelle elles s'étaient engagées. Thérèse n'avait pas travaillé à rendre de bonnes citoyennes à la société civile, comme l'assurait M. de Hercé autrefois, elle avait oeuvré à peupler le royaume des Cieux. Et c'était autrement important". Thérèse Agathe Rondeau naît le 6 octobre 1793 à Laval en Mayenne. Jeune repasseuse lavalloise, elle aspire à vingt ans à consacrer toute sa vie à Dieu. Sous l'inspiration de son père spirituel, en 1818, elle vient au secours de celles qu'on appelle "les filles perdues" , objets de mépris social, et abandonnées à leur misère et leur solitude. Son objectif sera humain et spirituel : leur rendre leur dignité et leur honneur d'enfant de Dieu. Son oeuvre, Notre-Dame de la Miséricorde, soutiendra des centaines de jeunes filles. Elle sera aussi le berceau d'une autre vocation : sainte Faustine, religieuse polonaise, à l'origine d'une dévotion à la Divine Miséricorde. D'une plume toujours élégante et précise, Anne Bernet nous plonge avec éblouissement dans l'épopée historique d'une belle âme de France au début du XIXe siècle. Anne Bernet est l'auteur d'une quarantaine d'ouvrages historiques traduits en une douzaine de langues, et spécialiste de l'histoire de l'Eglise.

11/2023

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Français, on ne vous a rien caché

Une croyance règne en France, depuis maintenant un demi-siècle : de Gaulle aurait été un "grand mystificateur" qui, avec l'aide des communistes, aurait menti aux Français à la Libération ; il leur aurait fait croire qu'ils avaient tous été de vaillants résistants, que Vichy avait à peine existé, que la collaboration avait été le seul fait d'une poignée d'égarés et que "l'Etat français" n'était pour rien dans la déportation des Juifs. Bref, communistes et gaullistes auraient administré à un peuple qui ne demandait qu'à être dupé le baume consolateur de mensonges édifiants. Faut-il vraiment penser que l'héroïsme des résistants et des Français libres n'a été qu'une valeur de contrebande destinée à faire oublier toutes les réalités fâcheuses des années noires ? Faut-il croire que les pouvoirs ont soigneusement célé pendant vingt-cinq ans la vérité et que les Français ont cru à ces illusions réparatrices ? Il faut le dire nettement : cette croyance en un mensonge consolateur est un mythe, et le présent livre montre comment et quand celui-ci s'est construit, quelle part de vérité il contient et quelle histoire a écrite la mémoire de la Résistance, cet événement hors du commun. Contrairement à ce que l'on pense, tout a été mis tout de suite sur la table ; les Français ont pu savoir tout ce qu'ils désiraient apprendre et aucune censure n'a empêché quiconque le souhaitait de regarder en face les années noires. Et les Français de l'après-guerre ne s'en sont pas privés.

10/2020

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Littérature française

La folie du jour

"Je ne suis ni savant ni ignorant. J'ai connu des joies. C'est trop peu dire : je vis, et cette vie me fait le plaisir le plus grand. Alors, la mort ? Quand je mourrai (peut-être tout à l'heure), je connaîtrai un plaisir immense. Je ne parle pas de l'avant-goût de la mort qui est fade et souvent désagréable. Souffrir est abrutissant. Mais telle est la vérité remarquable dont je suis sûr : j'éprouve à vivre un plaisir sans limites et j'aurai à mourir une satisfaction sans limites".

06/2002

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Littérature française

La folie du jour

"Je ne suis ni savant ni ignorant. J'ai connu des joies. C'est trop peu dire : je vis, et cette vie me fait le plaisir le plus grand. Alors, la mort ? Quand je mourrai (peut-être tout à l'heure), je connaîtrai un plaisir immense. Je ne parle pas de l'avant-goût de la mort qui est fade et souvent désagréable. Souffrir est abrutissant. Mais telle est la vérité remarquable dont je suis sûr : j'éprouve à vivre un plaisir sans limites et j'aurai à mourir une satisfaction sans limites".

07/1997

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