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L'argent et le travail

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Profession : agent littéraire, un métier mal connu

L’agent littéraire est une personne chargée de représenter les écrivains et leurs œuvres écrites auprès des éditeurs, des producteurs de théâtre et des producteurs audiovisuels. Il accompagne ses auteurs sur un plan juridique, financier et artistique, et veille sur leurs intérêts.  

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Le corps et l'esprit : deux frères jumeaux

« Il y a plus de raison dans ton corps que dans ta meilleure sagesse », disait Nietzsche, ajoutant une autre fois que les Grecs étaient superficiels par profondeur. Le corps, ce véhicule de l’esprit, ou l’inverse, n’est-il pas notre bien le précieux ? Quelle place tient-il dans notre personnalité ? N’est-il pas la seule justification de nos pensées ? Nietzsche le pensait. L’organisme malade, détendu, étiré, libéré ou contraint, voilà des sujets pour la littérature et l’essai.

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Rétablir le lien profond entre la Nature et l'Humanité

Dès les premiers jours de son existence, l'Humain a toujours été intrinsèquement lié à l'univers qui l'entoure. Cette relation, profonde et complexe, s'est tissée au fil des millénaires, façonnant la manière dont nous vivons, mangeons et percevons le monde autour de nous. Pas de planète B. Voici une excellente raison pour respecter celle qui nous est donnée.

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Le Salon international du Livre rare et de l'autographe

Le Salon international du Livre rare et de l'autographe est organisé chaque année par le SLAM, Syndicat de la Librairie Ancienne et Moderne, sous la verrière du Grand Palais, à Paris. L'événement attire environ 160 exposants, libraires, galeries d’estampes et de dessins de 12 pays différents, dont une soixantaine de libraires venus de l'étranger.

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Demain, le livre : regards d'étudiants sur l'industrie et l'édition

Dans le cadre du master Métiers du livre et de l’édition, que propose l’université Sorbonne Paris Nord, les étudiants de première année en apprentissage ont été sollicités. Charge à eux de parler, sous la forme d’un billet d’humeur,  ce qu’évoquait l’industrie du livre à leurs yeux. Visions d’avenir, visions passées, rencontre entre la formation et le réel… des témoignages étonnants. 

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Les mots en boite : le livre et ses secrets de cuisine

Capter l’information au mieux, donner la parole aux professionnels, de sorte qu’ils puissent raconter, expliquer, commenter : voilà tout l’enjeu de cette nouvelle émission. Dans la lignée des podcasts réunissant interviews ou chroniques d’albums jeunesse, avec Vois Lis Voix Là, ActuaLitté poursuit son exploration des territoires médiatiques avec la voix. Les Mots en boîte.

Extraits

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Autres encyclopédies (6 à 10 a

Le travail et l'argent

Les humains sont constamment affairés : du matin au soir, ils travaillent. Ils ne se contentent pas de ce qu'ils ont, comme les animaux, ils transforment sans cesse le monde. Les humains sont obligés de travailler pour avoir de quoi vivre. Cela n'existe pas, le pays magique où tout existe en abondance, où tous les gens ont tout ce qu'ils veulent, sans rien faire. Mais ils semblent aussi être heureux de ce travail. Et l'argent, à quoi sert-il ? S'il y avait des habitants sur d'autres planètes et qu'ils venaient sur Terre, ils se diraient que l'argent est magique. Les humains ont des pièces et des billets ou des cartes, et, quand ils les donnent, ils obtiennent ce qu'ils veulent ! "Les Goûters philo", ma collection pour aborder les grandes questions de la vie, dès 8 ans ! www. lesgoutersphilo. com : un site complet dédié aux enseignants pour parler philo en classe et à la maison.

09/2021

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Littérature étrangère

L'argent et le travail

L'Argent et le Travail est une réflexion, d'une étonnante actualité, sur l'argent comme fait de société, où assurément celui-ci est désigné comme symptôme et moyen d'asservissement, mais qu'il convient de replacer dans un mécanisme plus général de violence exercé par les uns contre les autres : la ville et ses accumulations parasitaires n'en sont que l'ultime manifestation, la plus perverse, la plus criante, la plus injuste. Le travail manuel devient alors une nécessité vitale et la seule vraie valeur traditionnelle. Le problème central, selon Tolstoï, est donc l'argent : en théorie, il devrait représenter le travail, dans la réalité il n'est que le signe conventionnel qui donne le droit ou le moyen de profiter du travail d'autrui. Tolstoï distingue dans l'histoire de l'humanité trois formes de servitude : l'esclavage personnel imposé par la violence ; l'esclavage imposé par la faim et, enfin, l'asservissement par l'impôt, caractéristique des systèmes monétaires et du despotisme centralisé. Dans ces conditions, que faire ? Retourner à la campagne, donner son argent et se débarrasser ainsi de la source du mal ? Supprimer les villes, foyers de parasites où le plus riche appauvrit le plus démuni ? Se mettre au travail, en supprimant tous les facteurs d'inégalité, en se rapprochant de la production réelle en vue d'une société fraternelle ? Les deux textes rassemblés ici sous le titre L'Argent et le Travail ont été publiés pour la première fois en 1892. On y découvre l'homme et l'écrivain contestataire, engagé, conscient des contradictions dues à sa propre condition. Ses réflexions trouvent un écho prophétique et visionnaire dans les grands bouleversements politiques du XXe siècle et dans les secousses économiques du XXIe siècle.

10/2010

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Exégèse

Paul, le travail et l'argent. Des domaines futiles ?

Les réalités pécuniaires ont, depuis les origines, une place quotidienne dans la vie des Eglises, qu'il s'agisse de l'entretien de leurs ministres, du financement d'opérations caritatives ou de projets d'évangélisation. Ces activités, on le sait, engendrent des conflits qui montrent combien la dimension éthique et affective apparaît bien vite, avec les reproches d'exploitation, de gaspillage ou d'incompétence dans la gestion des dons reçus. Car, sur le plan caritatif, les sommes recueillies ont le plus souvent leur origine dans la générosité de personnes parfois tiraillées entre, d'une part, le devoir de gratuité, selon l'adage " ce qui est donné est donné " et, d'autre part, la préoccupation légitime de la juste destination des dons. Paul a connu ces expériences, partagées à travers le bassin méditerranéen dans lequel il vivait. Or, l'Apôtre, et lui seul dans le Nouveau Testament, se confie sur les problèmes matériels et financiers qu'il rencontre. Si la belle Lettre de Jacques traite avec vigueur les rapports de justice qu'implique l'utilisation de l'argent, Paul, lui, sans négliger les impératifs éthiques, se place cependant sur un autre plan, et selon une politique subtile. Ni pour son travail manuel ni pour son rapport à l'argent, l'Apôtre n'invente de nouvelles pratiques ou de nouvelles techniques. Il tient du judaïsme son sens positif du travail mais s'inspire des réseaux de solidarité de l'Empire et du tribut du Temple pour la mise en oeuvre de la grande collecte. Paul se coule donc dans les usages de son époque et de sa culture, dans la mesure où ils correspondent aux orientations de l'Evangile qu'il porte. De ce point de vue, même sans dessein prémédité, il pose les bases de futures doctrines sociales, en s'opposant à des habitudes culturelles qui consacrent ou entretiennent l'égocentrisme, l'avidité et les inégalités. Par ses propres engagements, il témoigne que sans se confronter aux réalités économiques, l'Evangile reste une idéologie ; sans les valeurs évangéliques de gratuité et de réciprocité qui ont pour enseigne lumineuse le mot agapè, les réalités économiques risquent l'asphyxie dans l'huis-clos du donnant-donnant.

07/2021

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BD tout public

Yessika, voyance, amour, travail, argent...

Travailler dans un cabinet de voyance, un petit job comme les autres ? Stéphanie est en 2e année de médecine. Elle a un petit ami, une super colocataire, tout roule dans sa vie, sans obstacle ni questionnement. Jusqu’au jour où sa famille est ruinée. Stéphanie est obligée de se trouver un travail pour payer ses études. Mais pas n’importe quoi pour cette fille à papa ! Elle devient hôtesse d’accueil téléphonique… dans un cabinet de voyance ! Ce petit boulot, pas vraiment anodin, prend de plus en plus de place dans la vie de notre héroïne. Les collègues, les clients, les voyants… Tout ce quotidien passionnant, parfois hilarant, souvent révoltant va bouleverser Stéphanie et son point de vue sur la vie…

03/2011

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Sociologie

Vivre sans ? Institution, police, travail, argent...

C'est peut-être le discours le plus dynamique dans l'imaginaire contemporain de la gauche, mais ce qui fait son pouvoir d'attraction est aussi ce qu'il a de plus problématique. Car il nous promet la "vie sans" : sans institutions, sans Etat, sans police, sans travail, sans argent — "ingouvernables". La fortune de ses énoncés recouvre parfois la profondeur de leurs soubassements philosophiques. Auxquels on peut donner la consistance d'une "antipolitique", entendue soit comme politique restreinte à des intermittences ("devenirs", "repartages du sensible"), soit comme politique réservée à des virtuoses ("sujets", "singularités quelconques"). Soit enfin comme politique de "la destitution". Destituer, précisément, c'est ne pas réinstituer — mais le pouvons-nous ? Ici, une vue spinoziste des institutions répond que la puissance du collectif s'exerce nécessairement et que, par "institution", il faut entendre tout effet de cette puissance. Donc que le fait institutionnel est le mode d'être même du collectif. S'il en est ainsi, chercher la formule de "la vie sans institutions" est une impasse. En matière d'institution, la question pertinente n'est pas "avec ou sans ? " — il y en aura. C'est celle de la forme à leur donner. Assurément il y a des institutions que nous pouvons détruire (le travail). D'autres que nous pouvons faire régresser (l'argent). D'autres enfin que nous pouvons métamorphoser. Pour, non pas "vivre sans", mais vivre différemment.

10/2019

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Littérature érotique et sentim

Le coeur et l'argent

Nous sommes en 1972 et François est un homme comblé. A 30 ans, il dirige, en partenariat avec sa belle épouse, une entreprise de travaux qui commence à remporter un franc succès. Toutefois, François se pose des questions. Tout va-t-il vraiment pour le mieux dans le meilleur des mondes ? Et son ami artiste Celsius, de vingt ans son aîné et adepte de l’absinthe, est-il si heureux ? Il est donc peut-être temps de laisser parler son coeur ?: unis par une solide amitié, François et Celsius, respectivement troublés par Corinne et Denise, vont opérer des changements dans leur vie afin d’être plus en phase avec ce qu’ils souhaitent vraiment. Brossant des personnages avec précision et justesse, P Lemarié parvient à créer un climat authentique et des situations vraies qui trouveront à coup sûr des échos dans chaque lecteur. La finesse psychologique de la narration s’alliant à des épisodes réalistes, l’auteur nous livre du même coup de véritables tranches de vies, dans ce qu’elles peuvent avoir de bon ou de mauvais.

01/2011

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