Kurokawa

Kurokawa, qui signifie en japonais Fleuve Noir, appartient au groupe de maisons d’Univers poche. Spécialisé dans le manga, cet éditeur a récemment connu un délicat déboire, démontrant comme toujours la fragilité des outils sociaux — et le manque de maîtrise pour leurs utilisateurs sur ces solutions de communication.

BONNES FEUILLES - Enfant sensible, rudoyé par ses parents, Tristan se réfugie dans ses rêves et pratique systématiquement le mensonge.

La maison d'édition Kurokawa a improvisé sur le Salon du livre, une opération de soutien aux victimes des catastrophes qui se sont abattues sur le Japon.

Au cours du Salon du livre de Paris, l'éditeur Kurokawa, particulièrement sensible aux catastrophes, qui ont déferlé sur le Japon avait décidé de mettre en place une initiative de solidarité. Des messages de soutien, adressé au Japon. Simple, mais efficace.

Signée de la mangaka Go Ikeyamada, une nouvelle série débarque chez l'éditeur français Kurokawa (groupe Editis) : Je t'aime Suzuki ! Ciblant les jeunes lectrices, ce manga raconte les aventures d'adolescents que l'on suivra de leur 13 ans jusqu'à leur 17 ans.

Si dans le cadre de leurs publications numériques, les éditeurs spécialisés dans les mangas et comics ont dernièrement eu tendance à se tourner vers les deux plateformes en ligne majeures du roman graphique, Iznéo et ComiXology, tel n'est pas le cas de Kurokawa. La maison préfère opter pour une collaboration avec un généraliste, 12-21, un choix somme toute rationnel tandis que les deux firmes sont issues du même groupe, Univers Poche. Les fans devront s'armer de patience, car pour l'heure seul le premier volume de Blood Lad ! est disponible.

La rétrospective consacrée à Akira Kurosawa ressort Le Château de l’araignée, une autre adaptation de William Shakespeare, à travers sa pièce Macbeth. Kurosawa s’était déjà inspiré du Hamlet de Shakespeare, avec Les Salauds dorment en paix. 

Dans le cadre de la rétrospective qui lui est consacrée, un nouveau film de Kurosawa ressort en salles. Après une adaptation de Hamlet (Les Salauds dorment en paix), le réalisateur prend une nouvelle fois le tragique shakespearien comme toile de fond, avec Le Roi Lear, tout en l'inscrivant dans un contexte bien particulier. La pièce a été traduite, en France, par Olivier Py aux éditions Actes Sud. 

Créée en 2005, la maison d'édition Kurokawa s'est imposée depuis comme l'un des acteurs principaux de l'édition de manga en France, à travers les séries Fullmetal Alchemist, One Punch Man ou Je t'aime Suzuki !!. La maison s'offre une nouvelle collection Kuropop, consacrée à tout ce qui touche à la pop culture japonaise. Les deux premiers ouvrages arriveront en librairie le 8 mars.

Akira Kurosawa est surtout connu pour ses films historiques, Les Sept Samouraïs en tête, mais le réalisateur japonais s'est aussi illustré dans une veine plus réaliste. Chien enragé décrit ainsi les bas-fonds de Tokyo à l'occasion d'une enquête inspirée par le maître Georges Simenon lui-même...

La rétrospective Kurosawa permet cette semaine de découvrir ou redécouvrir les classiques du cinéaste japonais : en adaptant Les Bas-fonds, Kurosawa s'attaque à un classique du théâtre, mis en scène pour la première fois par Constantin Stanislavski en 1902.

Rashōmon, film culte d'Akira Kurosawa sorti en 1950, est de retour au cinéma à l'occasion d'une restauration 4K inédite. L'occasion de redécouvrir ce chef-d’œuvre inspiré de deux contes d'Akutagawa Ryunosuke, Dans le fourré et Rashōmon.

Une grande rétrospective Akira Kurosawa est lancée depuis le 25 janvier 2017 : l'occasion de redécouvrir ses films, mais aussi ses inspirations et ses obsessions. En 1962, le réalisateur japonais adapte pour la première fois un roman de Shūgorō Yamamoto, Jours de Paix.

Shūgorō Yamamoto est l'un des pseudonymes les plus célèbres de Satomu Shimizu, romancier japonais. Auteur de livres pour enfants et de romans policiers, il préfère de loin les œuvres historiques qu'il présente sous la forme de romans populaires. En 1965, avec Barberousse, Akira Kurosawa adapte son roman Akahige shinryotan.

La France constitue le deuxième plus gros marché du manga au monde, devant la Thaïlande et les États-Unis, et juste derrière le Japon. Le genre qui fonctionne le mieux en France est le Shonen, qui regroupe tous les mangas de bagarre classique, comme FullMetal Alchimist ou Naruto, au détriment du Shojo, les mangas adressés aux jeunes filles. Le genre émergeant reste le Seinen aux graphismes voulus plus “adultes”. Avec une soixantaine de titre à son catalogue, et quasiment autant d’auteurs, la maison d’édition Kurokawa se positionne comme le quatrième éditeur de mangas en France. Rencontre avec le directeur de collection, Grégoire Hellot. 

Le distributeur Carlotta Films organise cet été une rétrospective Akira Kurosawa, en apportant aux cinémas 6 films de cette légende japonaise, en version restaurée. Parmi ceux-ci, Les Bas-fonds (1957) et Entre le ciel et l'enfer (1963), adaptations respectives de Maxime Gorki et Ed McBain.

Le réalisateur japonais Akira Kurosawa décédé en septembre 1998, avait laissé dans ses cartons un projet ambitieux. Il souhaitait porter une adaptation du Masque de la mort rouge, le livre d’Edgar Allan Poe. Mais son film ne vit jamais le jour, même si les travaux préparatifs avaient débuté.

Cette semaine ressort en salles une flopée de classiques du japonais Akira Kurosawa, maître réalisateur des Sept Samouraïs. Mais ce n'est pas tout : Entre le ciel et l'enfer permet ainsi de découvrir un Kurosawa qui s'essaie au thriller avec un certain succès, en adaptant le roman Rançon sur un thème mineur d'Ed McBain, signé sous le nom d'Evan Hunter.

Comme c'est le cas pour Entre le ciel et l'enfer, Les Salauds dorment en paix d’Akira Kurosawa ressort en salles dans le cadre d'une rétrospective. Un de ses films noirs les plus engagés contre la corruption qui minait le milieu des affaires dans le Japon de la fin des années 50. C'est l'occasion de revoir plusieurs oeuvres du réalisateur des Sept Samouraïs et de le voir revisiter le genre du thriller à sa façon. 

Kurosawa évoque les liens entre la crise et l'humain dans Tokyo Sonata

En 1952, avec Vivre, Akira Kurosawa réalise un film en partie inspiré du roman La mort d'Ivan Ilitch de Léon Tolstoï. Le film est de retour dans les salles en version restaurée le 25 janvier 2017, avec au casting Takashi Shimura, Shin'ichi Himori et Haruo Tanaka.

Pour clore cette rétrospective Kurosawa, Yojimbo, traduit en Le Garde du Corps en français au moment de sa sortie en 1961. Encore une fois, Kurosawa retrouve Toshirō Mifune et, encore une fois, il s'inspire de la littérature occidentale pour son scénario. Cette fois, c'est du côté du roman noir qu'il faut chercher...

À l'occasion de la sortie du tome 4 de Magi, The Labyrinth of Magic de Shinobu Ohtaka, Kurokawa vous propose de découvrir le chapitre 36.5 (intitulé Vol de nuit) de ce manga gratuitement et en version numérique.

Durant une quinzaine d’années, Valérie Miguel-Kraak a « défendu des auteurs de toutes nationalités ». Devenue directrice éditoriale de Pocket, puis de Fleuve éditions et de Kurokawa, elle a choisi de basculer du côté indépendant de la force. Et a fondé l’agence Hyphen VMK. 

Fumihiko Sori adapte le célèbre manga d'Hiromu Arakawa, prépublié entre 2001 et 2010 dans le magazine mensuel Shōnen Gangan et en français par Kurokawa depuis 2005. Fullmetal Alchemist en live action, avec de véritables acteurs, voilà un pari qui engagera de nombreux lecteurs...

Kiyoshi Kurosawa revient au film noir avec Creepy, une adaptation du roman de Yutaka Maekawa, publié en France par les éditions D'Est En Ouest en mars 2017, dans une traduction de Sylvain Cardonnel. 

RentréeLittéraire23 - Il est impossible de faire le portrait d’une culture. Que cherche-t-on au Japon ? Le kabuki ou le butō? Bashō ou Tanizaki ? Hiroshige ou Kurosawa ? Quel amalgame, aussi improbable soit-il, guidera nos pas ? 

Simulation light d'enquêtes et de plaidoiries, Ace Attorney Investigations fête les 10 ans de la licence Nintendo au travers d'une nouvelle série de 5 mangas à paraître à partir de juillet 2012 chez Kurokawa. L'éditeur avait déjà publié cinq numéros en 2010 reprenant l'atmosphère de la joute oratoire. 

Porté par l’engouement grandissant des français pour la bande dessinée et le manga, le groupe Editis renforce sa position sur ce marché en créant une maison dédiée aux webtoons. Dans le sillage de la maison d’édition Kurokawa, cinquième éditeur du marché manga, cette nouvelle maison sera axée sur la publication papier de webtoons au sein d’Edi8, présidé par Vincent Barbare. 

Ce 20 mars, l'éditeur Kurokawa, associé à la filiale numérique de Univers Poche, 12-21, va proposer sur la boutique de la Nintendo 3DS un manga, réalisé avec LEVEL-5. Il s'agit de Inazuma Eleven, dont chaque volume sera proposé pour 4,99 €. « Une occasion unique de découvrir ou redécouvrir les aventures de Mark Evans et de l'équipe du collège Raimon d'une manière inédite », assure l'éditeur.