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Kouadio Niambé Alphonse

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Littérature française

Aimer fait-il autant mal ? Awlimba, au-delà des limites

Loin de se vanter d'être un récital de potions magiques pour une bonne relation, ce livre présente un personnage, Awlimba. À travers Awlimba, c'est le reflet du déroulement de toute bonne relation amoureuse. Entre hauts et bas, intrigues et passions, regrets et amertumes, mélancolie et prise de décisions, la double facette de l'amour est mise en exergue : un couteau à double tranchant, qui, s'il est mal manipulé, peut provoquer d'importantes blessures. L'auteur met l'accent sur la sensibilisation en exhortant le lecteur à un mea culpa permanent et à la recherche continuelle d'actes pouvant consolider une vie amoureuse ; cela pour arriver à l'équilibre et au bonheur tant convoités, tout en ayant en esprit que toute action a obligatoirement une portée (négative ou positive).

11/2016

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Littérature française

Nimbe noir

" On pense parfois que dire que l'on croit ou que l'on ne croit pas en Dieu signifie avoir tout dit. Mais il suffit d'un détail pour que la réalité se montre plus complexe. En latin, credere ("croire") signifie avoir confiance en quelque chose, ou plus précisément, confier sa confiance en quelque chose, ou quelqu'un. Faire confiance, tout est là. Offrir ou non sa confiance en quelque chose d'indicible, étranger autant que familier, existant ou non. Je suis partie sur cette route, et ces questions, à partir d'une image. L'image étant toujours le double de quelque chose qui nous reflète, la première image fut pour moi celle d'une femme anonyme en prière aperçue furtivement un jour d'enfance dans une abbaye et dont la dévotion totale m'impressionna terriblement. Remonter le fil, revenir à elle, c'est retrouver à partir d'elle toutes ces fois où la question divine déboule dans nos vies par hasard. C'est aller en Jordanie, au Kurdistan, à Kinshasa, à Fribourg ou Naples. C'est traverser des territoires et des ombres. C'est offrir à cette femme en prière un visage à découvert. "

08/2022

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Littérature française

Alphonse

1916. Année terrible. Entre la bataille de Verdun et l'offensive de la Somme, le soldat Alphonse obtient une permission pour retourner dans la ferme familiale, loin du front, au doux soleil de Provence. Alphonse est un homme simple. Il appartient au " grand troupeau " des paysans arrachés à leur terre pour être enterrés dans les tranchées. Alphonse a souffert en silence de la peur, de la solitude, de l'abandon, du froid. Durant les trois jours voyage en train, que représente son évacuation du théâtre des opérations militaires vers sa paisible maison, il tente de s'arracher à la fascination de la mort pour épouser à nouveau la vie. Trois jours de transport ferroviaire chaotique qui ressemblent aux trois jours du Christ aux enfers. Vers la résurrection. Vers l'espérance, la paix, la fraternité et l'amour. Avec ce roman bouleversant, Jean Debru donne la parole aux martyrs de la Grande Guerre, aux humbles qui vécurent leur chemin de croix au Chemin des dames.

05/2002

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Critique littéraire

Alphonse Allais

"Il créait tout le temps", écrira Jules Renard à propos d'Alphonse Allais (1854-1905). C'est sans doute ce qui a été dit de plus vrai sur celui qui est à la fois le plus grand des humoristes français et le plus fécond. Ce qui l'anime ? Un anticléricalisme et un antimilitarisme primaires, le refus de toutes formes d'autorité, une agressivité contre la bêtise, un dégoût profond des crapuleries parlementaires. Telles sont les sources de la verve d'Alphonse Allais. Et il la dispense généreusement dans ses contes et dans ses chroniques au Chat noir ou au Journal. En attendant de lire ou de relire son oeuvre riche et abondante, redécouvrez ici ses meilleurs mots. Il lui revient de droit, en tant que prince du calembour et inventeur de l'humour anglais, de rouvrir la mythique collection "En verve".

11/2016

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Critique littéraire

Dictionnaire Alphonse Daudet

Daudet ne saurait se réduire à l'image du peintre de la Provence ou de l'écrivain pour la jeunesse. Son entrée à la Bibliothèque de la Pléiade a marqué un retour d'intérêt du public cultivé qui redécouvre une oeuvre d'une grande diversité où tous les genres sont représentés : contes, romans, théâtre, journalisme. Le Dictionnaire entend restituer cette richesse à travers une multiplicité d'entrées permettant des parcours de lecture variés. Toutes les oeuvres, recontextualisées, font l'objet d'un article avec des informations sur la genèse, l'écriture, etc. Certaines entrées renvoient à l'histoire de l'époque, à l'histoire littéraire et mettent en relief les liens complexes entre Daudet et les grands mouvements esthétiques de son temps : Parnasse, Félibrige, Naturalisme, Impressionnisme... Les réseaux sont reconstitués avec des portraits d'écrivains et d'artistes que Daudet a connus et dont il s'est inspiré : Goncourt, Zola, Flaubert... L'étude de la réception et des adaptations marque l'évolution des points de vue critiques. Les articles thématiques offrent un panorama qui souligne les spécificités de l'imaginaire daudétien. Cet ouvrage - complété par une chronologie détaillée et des indications bibliographiques afférentes à chaque article - entend répondre aux curiosités du lecteur et faire un point momentané sur notre connaissance de l'écrivain.

05/2019

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Critique littéraire

ALPHONSE DAUDET. Biographie

En chasseur de casquettes ou meunier sans moulin, Daudet tient de l'imagerie populaire un rôle apparenté aux santons de Provence. C'est -garantis sur facture- le charme ensoleillé, l'accent chantant et la sensibilité élevée jusqu'au rang de la poésie même. Auteur comblé puisque de son vivant comparé à Cervantès et Molière -on disait déjà un Delobelle, un Tartarin, tout comme un Don Quichotte ou un Tartuffe-, Daudet mérite pourtant un autre éclairage axé sur les décors de son temps. Curieusement, tout un pan de sa vie -cependant trop courte puisqu'il est mort à cinquante-sept ans- semble occulté aux reflets de sa gloire. Aussi convenait-il de rétablir Daudet en plein centre de son siècle, Daudet à vif ou en monocle, reniflant dans un Paris sans thym, empoussiéré des ministères, gai luron et bretteur, traversant la Commune en képi mou mais regonflé par le ballon de Gambetta, bref, toujours attentif à la réalité comme à un sujet neuf. L'Algérie et son lion mité, le cerveau du duc de Morny soupesé dans un seau comme une éponge, l'éventail de l'impératrice accordé au rythme des chansons, autant d'images furtives qui font l'Histoire. Les témoins s'appellent Flaubert, Goncourt, Tourgueniev, Maupassant. On parle de Dreyfus et de la bicyclette de Zola. - Daudet, disait Nadar, ce n'est qu'un œil. Peut-on, d'un tel photographe, souhaiter meilleur éloge ? Il faut donc profiter de l'album.

03/1994

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