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Karine Reysset

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Littérature française

Dans la maison d'été

"Si nous avons eu notre part de malheurs, nous avons aussi connu des jours de partage, d'épiphanie et de joie, touché du bout des doigts la grâce et le bonheur, d'une manière qui n'appartient qu'à nous". La maison d'été, c'est la villa balnéaire qu'Albert et Rose achètent à l'automne 1980. Pendant plus de quarante ans, parents, enfants, petits-enfants vont s'y croiser, s'y succéder, y séjourner parfois pour quelques jours, parfois au long cours. Au fil des saisons, au gré des marées, quatre générations vont s'aimer, se déchirer, danser, rire et pleurer. Naissances, fêtes et anniversaires, premières fois, deuils, petits et grands événements de la vie jalonnent cette ample fresque romanesque qui retrace l'histoire d'une famille française de la fin du XX ? siècle à nos jours.

03/2024

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Littérature française

Trois mois et un jour

"J'avais sept ans quand j'ai perdu un petit frère de la mort subite du nourrisson. Loïc avait trois mois et un jour. Sa présence, si éphémère fût-elle, a imprégné toute ma vie. Il y a quatre ans, notre mère m'a annoncé qu'elle songeait à le déménager du cimetière où il était enterré. Je me suis alors replongée dans ma mémoire trouée, au coeur d'une enfance heureuse, d'une famille heureuse, sans lui et avec lui, car il n'était jamais loin. Avant qu'il ne soit trop tard, j'ai traqué ses traces dans les petits papiers et les archives - il y a les reliques et les photos, les lettres, les signes et les légendes. Sans oublier les oiseaux". Karine Reysset délaisse la fiction pour ce récit intime, qu'elle porte en elle depuis longtemps. En écho à d'autres livres sur le deuil, elle explore dans Trois mois et un jour la douleur de la perte et met en scène la réparation des vivants.

03/2024

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Trois mois et un jour

"J'avais sept ans quand j'ai perdu un petit frère de la mort subite du nourrisson. Loïc avait trois mois et un jour. Sa présence, si éphémère fût-elle, a imprégné toute ma vie. Il y a quatre ans, notre mère m'a annoncé qu'elle songeait à le déménager du cimetière où il était enterré. Je me suis alors replongée dans ma mémoire trouée, au coeur d'une enfance heureuse, d'une famille heureuse, sans lui et avec lui, car il n'était jamais loin. Avant qu'il ne soit trop tard, j'ai traqué ses traces dans les petits papiers et les archives - il y a les reliques et les photos, les lettres, les signes et les légendes. Sans oublier les oiseaux." Kanne Reysset délaisse la fiction pour ce récit intime, qu'elle porte en elle depuis longtemps. En écho à d'autres livres sur le deuil, elle explore dans Trois mois et un jour la douleur de la perte et met en scène la réparation des vivants.

01/2022

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