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Julien Courbet, Christopher

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Dossier

Les livres de Pierre Loti

Pierre Loti, de son vrai nom Louis Marie Julien Viaud, est un écrivain français né le 14 janvier 1850 à Rochefort-sur-Mer, en Charente-Maritime. Il est considéré comme l'un des grands écrivains de la fin du XIXe siècle.

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Dossier

Les Forêts d'Opale : un monde à libérer

Créée en janvier 2000 dans Lanfeust Mag, la série Les Forêts d’Opale fut portée par Christophe Arleston avec les dessins de Philippe Pellet. Dans ce monde d’heroic fantasy, les forêts recouvrent l’ensemble des territoires explorés. Une fable écologique… ou l’histoire d’un destin ?

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Dossier

Le Manque : chansons et plus si affinités

Le groupe Le Manque se compose de deux vaillants troubadours – ou trouvères, en regard de leur position géographique. Christophe Esnault dans le rôle principal et Lionel Fondeville derrière la caméra, arrosent internet de leurs vidéos, depuis Charte. Avec humour option 40e degré, voir gratte-ciel ou prosaïsme déconcertant.

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Dossier

Sangre : espoir, désespoir, rage et amour

Lorsqu'on évoque le monde de la bande dessinée, certains noms se démarquent instantanément. Christophe Arleston est l'un de ces talents incontournables. Avec une plume affûtée et une imagination débordante, il nous a offert de nombreuses sagas captivantes. Parmi elles, "Sangre" se distingue par son originalité et sa profondeur.

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Dossier

Albums et documentaires : un monde “Sens Dessus Dessous”

« Pour faire une histoire, il faut toujours un point de départ. » Pour inaugurer ce commencement, les éditions Delcourt ont confié à Christophe Tranchant leur nouveau label : Sens Dessus Dessous. Un nouveau défi qui proposera aux jeunes lecteurs une gamme d'ouvrages illustrés et d'albums, aussi bien en fiction qu'à travers des documentaires.

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Dossier

Livres, BD, actualités : tout sur Joann Sfar

Né le 28 août 1971 à Nice, Joann Sfar a fait ses armes au sein de la maison d'édition L'Association, puis dans différents ateliers qui lui permettent de côtoyer des collègues auteurs comme Riad Sattouf, Marjane Satrapi, ou encore Christophe Blain. Il se fait connaitre rapidement, aussi bien pour son travail destiné à la jeunesse (Petit Vampire et Sardine de l'espace) qu'à travers ses bandes dessinées destinées au grand public, Le chat du rabbin en tête.

Extraits

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Humour

#FaitesDesGosses Tome 1

Une BD tendre mais hilarante sur les relations conflictuelles entre parents et adolescents. Julien Courbet nous raconte de croustillantes anecdotes sur sa relation avec son fils Gabin : les écrans, les études, les horaires, tout y passe ! Avec son verbe incisif et son humour acerbe, il nous plonge dans des situations du quotidien dans la joie et la bonne humeur. Un album hilarant sur les relations parents ados !

11/2021

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Littérature française

Le dernier Courbet

"Mais qu'est-ce que vous avez là... Ce ne serait pas un... ? " Quelques mots ont suffi pour que la curiosité désormais torture la narratrice : ce tableau qu'elle a toujours connu, ce tableau de famille, transmis de grand-mère en petite-fille... est-ce vraiment un Courbet ? Et si c'est le cas, par quel étrange chemin est-il arrivé là ? Pour tenter de découvrir les secrets qu'il recèle, la narratrice va se lancer dans une enquête qui l'entraînera du Second Empire à nos jours jusqu'au coeur de la création. Et c'est l'amour, sa force, son absence, le pouvoir qu'il a de se magnifier, que l'on entend dans ce texte envoûtant.

08/2019

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Beaux arts

Correspondance de Courbet

Figure admirée ou détestée, toujours controversée, Gustave Courbet est l'un des peintres majeurs de la seconde moitié du XIXe siècle. Son oeuvre se développe à partir de la querelle du "réalisme" pour devenir une perpétuelle source de scandales et de malentendus : Courbet s'est affirmé comme un artiste qui interpelle la société de son temps – voilà ce que sa Correspondance révèle, à travers cinquante ans d'échanges épistolaires qui conduisent de l'adolescence franc-comtoise aux jours tragiques de la Commune et de l'exil. Qu'il écrive à sa famille, à ses amis écrivains ou journalistes, aux hommes politiques du Second Empire et de la IIIe République, Courbet impose sa personnalité complexe, ses coups de colère et son humour corrosif. La voix qui se fait entendre au long de ces quelque 600 lettres est celle d'un écorché-vif, qui n'hésite pas à parler de la douleur de la création et de l'âpreté des questions d'argent, si bien que l'on pénètre dans un monde fascinant, plein de contradictions, où se confondent les plus hautes exigences artistiques et un sens de la provocation véritablement nouveau. De défi en défi, les lettres de Courbet sont le complément indispensable de ses tableaux. Cet ouvrage, enrichi d'une substantielle introduction et de nombreuses annexes, constitue par son ampleur une somme irremplaçable, un passionnant document de référence pour aborder et comprendre la vie artistique, culturelle et politique du XIXe siècle.

04/1996

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Histoire de l'art

Courbet- Picasso : révolutions !

"Un jour, vint un homme qui affirma : "Je ne veux pas peindre des anges, parce que je n'en ai jamais vu". C'était Courbet. Il préférait représenter deux jeunes filles étendues sur les berges de la Seine. Il emmena ses modèles en plein air et les peignit. […] Courbet a tourné une page et lancé la peinture vers cette nouvelle direction qu'elle suivit pendant des années". Dans ce témoignage, Pablo Picasso attribue à Gustave Courbet la paternité de l'art moderne et du mouvement qui aurait radicalement bouleversé les codes de la représentation, de l'impressionnisme jusqu'au cubisme et ses suites. Cette place majeure interroge, tant Courbet reste une figure peu étudiée du Panthéon personnel de Picasso. Pourtant, le jeune peintre catalan découvre tôt la peinture du maître d'Ornans, dès son arrivée à Paris en octobre 1900, à l'occasion de l'Exposition centennale de l'art français. Courbet s'immisce par la suite chez Picasso doublement, à la fin des années 40, par la réinterprétation des Demoiselles des bords de la Seine, ainsi que par l'achat pour sa collection personnelle de l'étonnante Tête de chamois, bête à cornes rappelant le bestiaire picassien. Les liens entre ces deux figures révolutionnaires de l'art apparaissent étroits et féconds. Courbet et Picasso se rejoignent, en particulier dans leur rapport au passé comme source de la modernité, dans leur sensibilité à leur temps et leur engagement politique, ou encore dans leur trajectoire. Cette rencontre inédite vise, au-delà de la filiation réelle entre ces deux créateurs, indépendants d'esprit, à mettre en lumière ce compagnonnage.

07/2021

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Beaux arts

Courbet, l'outrance

" Ce n'est pas le Courbet communard qui m'a retenu ici. C'est le Courbet peintre. La manière de Courbet. Ses manières, ses mauvaises manières. Sa grossièreté de paysan (de Franche-Comté) mal dégrossi, de plébéien. Qu'il soit devenu communard, d'ailleurs, n'est pas pour étonner. On se moquait de lui : il ignorait les livres, il était sans orthographe. L'école et lui s'étaient très tôt brouillés. Mais Courbet est ailleurs : c'est un peintre-né. Ses manières sont, à tous égards, fort peu académiques. L'Académie ne s'y trompait pas : le Salon le rejeta avec constance. Courbet, c'était un homme énorme : cette hénaurmité, cette outrance, sont indissociables de son personnage tonitruant et de son œuvre scandaleuse, lieu d'une vraie jouissance esthétique et sensuelle. L'animalité n'est jamais loin dès lors qu'on évoque ce peintre. "

04/2004

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Beaux arts

Bonjour monsieur Courbet

"Quand je regarde Un enterrement à Ornans, je ne vois pas ce tableau seulement comme un visiteur peut le regarder au musée d'Orsay, je le regarde aussi depuis la Roche d'Haute-Pierre, comme depuis les coulisses de cette scène ordinaire (un enterrement) que Courbet éleva au rang de peinture d'histoire. Je reconnais presque quelques-uns des acteurs, le sacristain qui porte la croix, une des vieilles avec son bonnet blanc ; ma grand-mère avec son profil sévère pose aussi parmi le groupe de femmes. Si le regard plonge depuis le sommet de la Roche d'Haute-Pierre au fond des gorges de Nouailles où la Loue prend sa source, il plonge encore au fond du trou, de la fosse autour de laquelle, au centre d'Un enterrement, chacun s'approche inexorablement en portant ou simulant le deuil, distrait par une pensée ou par un des deux enfants de choeur. L'un semble attirer les regards parce qu'il a commis une maladresse. L'autre, c'est lui plutôt qui retient mon attention, regarde ailleurs. C'est l'Enfant, le récitant à l'avant-scène qui rêve toute la Comédie que nous jouons, cette procession, de la naissance à la mort". Jean-Pierre Ferrini.

09/2007

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