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Jours barbares

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Littérature anglo-saxonne

Jours barbares

Le surf ressemble à Un sport, un passe-temps. Pour ses initiés, c'est bien plus : une addiction merveilleuse, une initiation exigeante, un art de vivre. Elevé en Californie et à Hawaï, William Finnegan a commencé le surf enfant. Après l'université, il a traqué les vagues aux quatre coins du monde, errant des îles Fidji à l'Indonésie, des plages bondées de Los Angeles aux déserts australiens, des townships de Johannesburg aux falaises de l'île de Madère. D'un gamin aventureux, passionné de littérature, il devint un écrivain, un reporter de guerre pour le New Yorker. A travers ses mémoires, il dépeint une vie à contre-courant, à la recherche d'une autre voie, au-delà des canons de la réussite, de l'argent et du carriérisme ; et avec une infinie pudeur se dessine le portrait d'un homme qui aura trouvé dans son rapport à l'océan une échappatoire au monde et une source constante d'émerveillement. Ode à l'enfance, à l'amitié et à la famille, Jours Barbares formule une éthique de vie, entre le paradis et l'enfer des vagues, où l'océan apparaît toujours comme un purgatoire. Un livre rare dont on ne ressort pas tout à fait indemne, entreHell's Angels de Hunter S. Thompson etInto The Wild de Jon Krakauer. William Finnegan a acquis ses galons de journaliste lors de la guerre civile au Soudan, en Afrique du Sud pendant l'Apartheid, dans les Balkans ou à Mogadiscio. Ses reportages sur les théâtres d'opérations sont le fruit de longues immersions et de patientes observations, ou, comme il aime à le résumer : "Je fouine, je parle aux gens, j'attends. ' Il a reçu en 2016 pour Jours Barbares le prestigieux Prix Pulitzer.

03/2017

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Littérature anglo-saxonne

Jours barbares

Le surf ressemble à Un sport et un passe-temps. Pour ses initiés, c'est bien plus : une addiction merveilleuse, une initiation exigeante, un art de vivre. Elevé en Californie et à Hawaï, William Finnegan a commencé le surf enfant. Après l'université, il a traqué les vagues aux quatre coins du monde, errant des îles Fidji à l'Indonésie, des plages bondées de Los Angeles aux déserts australiens, des townships de Johannesbourg aux falaises de l'île de Madère. D'un gamin aventureux, passionné de littérature, il devint un écrivain, un reporter de guerre pour le New Yorker. A travers ses Mémoires, il dépeint une vie à contre-courant, à la recherche d'une autre voie, au-delà des canons de la réussite, de l'argent et du carriérisme ; et avec une infinie pudeur se dessine le portrait d'un homme qui aura trouvé dans son rapport à l'océan une échappatoire au monde et une source constante d'émerveillement. Ode à l'enfance, à l'amitié et à la famille, Jours Barbares formule une éthique de vie, entre le paradis et l'enfer des vagues, où l'océan apparaît toujours comme un purgatoire. Un livre rare dont on ne ressort pas tout à fait indemne, entre Hell's Angels de Hunter S. Thompson et Into The Wild de Jon Krakauer. Edition illustrée par AJ Dungo.

11/2021

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Littérature anglo-saxonne

Jours barbares

Bien plus qu'un sport, le surf est un art de vivre. D'Hawaï à la Californie, William Finnegan grandit entre le paradis et l'enfer des vagues. Gamin aventureux, il devient écrivain, reporter de guerre et traque les spots aux quatre coins du globe. De l'océan il fait son échappatoire et une source d'émerveillement, loin des vanités du monde. Une inoubliable ode à l'enfance, à l'amitié et à la famille.

06/2018

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Littérature anglo-saxonne

Jours barbares

Le récit d'une vie à contre-courant : une ode inoubliable à l'enfance, à l'amitié et à la famille. Bien plus qu'un sport, le surf est un art de vivre. D'Hawaï à la Californie, William Finnegan grandit entre le paradis et l'enfer des vagues. Gamin aventureux, il devient écrivain, reporter de guerre et traque les spots aux quatre coins du globe. De l'océan il fait son échappatoire et une source d'émerveillement, loin des vanités du monde. Surfer invétéré, journaliste au New Yorker depuis 1987, William Finnegan a acquis ses galons de reporter sur le terrain, de la guerre civile au Soudan à l'apartheid en Afrique du Sud, des Balkans à la résurgence des gangs néonazis en Californie. Il a reçu pour Jours Barbares en 2016 le prestigieux Prix Pulitzer dans la catégorie "Mémoires" et le prix de la revue America. Illustrateur et auteur de bandes dessinées, AJ Dungo a étudié à l'Art Center College of Design. Il vit aujourd'hui en Californie et consacre son temps libre à sa deuxième passion : le surf. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Frank Reichert Prix Pulitzer 2016 Elu meilleur livre de l'année par le magazine America Meilleure autobiographie de l'année, élue par la rédaction de Lire Prix étranger de l'Association des écrivains sportifs

10/2024

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Le jour des barbares

Ce livre raconte une bataille qui a changé l'histoire du monde, mais qui n'est pas aussi célèbre que Waterloo ou Stalingrad ; beaucoup de gens n'en ont même jamais entendu parler. Cette bataille, c'est celle d'Andrinople, qui eut lieu le 9 août 378 dans la province romaine de Thrace, aujourd'hui la partie européenne de la Turquie. Ce jour-là, les Romains subirent face aux barbares leur défaite la plus désastreuse depuis celle infligée par Hannibal en l'an 216 avant Jésus-Christ. Un siècle avant sa chute officielle, c'est à Andrinople que fut scellé le sort de la superpuissance mondiale qu'était alors Rome. Mais tout commence en 376, alors que des milliers de réfugiés goths affluent aux frontières de l'Empire, au grand désarroi des autorités romaines...

08/2017

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Le jour des barbares

Ce livre raconte une bataille qui a changé l'histoire du monde, mais qui n'est pas aussi célèbre que Waterloo ou Stalingrad ; beaucoup de gens n'en ont même jamais entendu parler. Cette bataille, c'est celle d'Andrinople, qui eut lieu le 9 août 378 dans la province romaine de Thrace, aujourd'hui la partie européenne de la Turquie. Ce jour-là, les Romains subirent face aux barbares la défaite la plus désastreuse depuis celle qu'Hannibal leur avait infligée en l'an 216 avant Jésus-Christ. Un siècle avant sa chute officielle, c'est à Andrinople que fut scellé le sort de la superpuissance mondiale qu'était alors Rome. Mais tout commence en 376, alors que des milliers de réfugiés goths affluent aux frontières de l'Empire, au grand désarroi des autorités romaines...

08/2006

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