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Journal de bord de l'Aquarius

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Journal de bord de l'Aquarius

"Un récit bouleversant, haletant, terrifiant. Une plongée au coeur du pire et du meilleur de l'humanité. Une ode à l'engagement". Guillaume Meurice Antoine Laurent, marin, a seulement 25 ans lorsqu'il rejoint la mission Aquarius comme sauveteur. Ce navire, emblématique pour son action humanitaire, effectue des opérations au large de la Libye, sur la route migratoire la plus meurtrière au monde. Plus de 30 000 personnes seront secourues par l'Aquarius durant ses presque trois ans d'exercice. Mais le sang-froid de l'équipage sera mis à rude épreuve face aux tempêtes, aux embarcations de fortune, aux cris de détresse. Et pendant que des femmes et des hommes disparaissent tous les jours en mer, l'Europe ferme les yeux et les frontières. Pourtant, dans la nuit émerge l'espoir en une main tendue, l'humanisme de ces volontaires qui donnent corps au principe de solidarité. La grande Histoire croise la petite, le sort de centaines d'êtres humains brisés rencontre celui d'un jeune homme, dont le témoignage et l'introspection sensible, tout en délicatesse et rage contenue, rendent hommage à ces héros anonymes.

04/2021

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Journal de bord

Un journal de bord retrace, après coup, un chemin parcouru rythmé d'étapes et de haltes. La particularité de celui de Georges Séféris est qu'il est formé de poèmes. Ces recueils sont la marque et le témoignage d'un itinéraire géographique (en sa qualité de diplomate, Georges Séféris se déplaça beaucoup en Europe), historique, le présent de la Grèce reflète celle de l'Antiquité, mais aussi intérieur et existentiel. Il est tout à la fois un voyage à travers le monde et celui à travers la langue. Journal de Bord I, II, IIIregroupe trois recueils qui marquent autant d'étapes dans la production poétique de leur auteur. Le premier, écrit entre 1937 et 1940, le deuxième, entre 1941 et 1944, et le troisième, entre 1953 et 1955, couvrent une période trouble qui va des prémices de la Seconde Guerre mondiale au prélude du drame chypriote. La traduction que propose Vincent Barras tente au plus près de maintenir les spécificités de la langue grecque : rythme sobre et sévère. Poésie consciente et pessimiste, comme sur le retour, elle se refuse à s'abîmer dans les excès du lyrisme. Ses poèmes, déployant plus un monde sonore que musical, parlent plus qu'ils ne chantent. Ou alors ils psalmodient. Yves Bonnefoy, dansLe nom du roi d'Asiné, parle de Georges Séféris en ces termes : "L'auteur du Journal de bordn'est pas de ceux qui plantent sur les tours d'un lyrisme facile les oriflammes de l'éros, pratiqué de façon directe ou détournée mais toujours dans la solitude du moi, supposée rendue légitime par la beauté des paroles. Ses poèmes sont un échange conduit avec quelques proches ou proposé à d'autres personnes pouvant ainsi devenir des proches, dans une relation qui aide à leur liberté. Séféris a tôt et profondément compris que le devenir de l'esprit passait par l'évolution, la révolution, du rapport du moi et de l'autre ; et que cette recherche avait une de ses voies dans la création poétique".

09/2011

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Littérature française

Journal de bord

Dans ce deuxième roman Journal de bord, qui prolonge J'ai insulté les Gloires, Michel Magnol, placé au croisement de la foi et de la transgression, nous donne à entendre ses voix intérieures. Les rencontres de l'artiste avec anges et démons tracent une histoire, celle peut-être de son alter ego - Je, les autres - dans un miroir, un monde dantesque. Au lecteur de suivre les arabesques du parcours, de rebondir de mur en mur.

06/2012

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Actualité politique internatio

Journal de bord de Gaza

Vivre sous une tente, c'est endurer une chaleur d'enfer pendant la journée, avec des mouches qui pénètrent à l'intérieur et n'arrêtent pas de vous agacer. Et la nuit, c'est l'inverse : il fait froid. Il faut mettre deux ou trois couvertures. C'est se réveiller en ayant mal partout, parce qu'on dort sur un sol déformé. Vivre sous une tente, c'est dépendre de l'aide humanitaire et ne manger que des boîtes de conserve. C'est chercher tous les jours un endroit pour charger nos téléphones et nos lampes rechargeables. Vivre sous une tente c'est faire la queue pour l'eau et la nourriture. Pour faire la cuisine, il faut un four en argile et du bois. Quand on n'a pas de bois, on utilise n'importe quoi. Beaucoup de gens brûlent des cartons ou du plastique. On respire presque toute la journée cette fumée de plastique. On fait la lessive dans les seaux, on porte les mêmes vêtements trois ou quatre jours pour économiser l'eau. Pour les toilettes, on creuse un trou. Vivre sous la tente, c'est surveiller en permanence les insectes, les serpents, les scorpions. C'est une vie d'humiliation. Mais cette tente est le symbole de la résilience palestinienne. Nous en avons fait un symbole politique, pour dire que nous allons rentrer chez nous. Parce qu'un jour, tout cela va s'arrêter. Rami Abou Jamous est un journaliste palestinien. Il tient depuis février 2024 son Journal de bord de Gaza sur Orient XXI, pour lequel il a obtenu, en octobre 2024, le prix Bayeux des correspondants de guerre dans la catégorie presse écrite, ainsi que le prix Ouest-France. Un témoignage de première main incroyablement émouvant. Une immersion inédite dans le quotidien des Gazaouis.

11/2024

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Poésie

Journal de bord 365+1

Sous la forme de réflexions poétiques et philosophiques, ce recueil s'interroge sur la Vie et son caractère éphémère. Mémento éclairé de cartels et d'oeuvres graphiques de l'auteur, ce journal de bord suit la courbe des pensées qui hantent les hommes : vie, perte, amour, deuil, joie. Une oscillation infinie. Professeur de français, Damien Schmit se passionne depuis toujours pour l'écriture, la peinture et la musique, qui s'entremêlent dans ses écrits, parus aux Editions du Panthéon.

03/2025

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Littérature française

Journal de bord d'un marin

Aucun sentiment n’équivaut celui de débarquer après un long séjour en mer. Le premier pas sur terre, la première marche sont d’un plaisir totalement inconnu des terriens mais, ô combien précieux pour les marins?! Les premiers instants à terre dépassent tous les plaisirs. Je délire, toutes mes sensations sont excitées, au maximum de leur activité. J’apprends la signification du mot extase. Ce sont des moments que je dirai?: excès de vie, je sens un plaisir inexplicable, chaque millimètre de mon corps vit à l’extrême, je sens le vent fouetter mes cheveux, je sens la résistance de la terre sous mes pieds. Je regarde autour de moi, rien n’est évident. Chaque visage, chaque arbre mérite une pause. J’ai comme l’impression que toutes mes sensations étaient en jachère en mer et aussitôt que j’ai mis mes pieds à terre, elles se sont subitement éveillées, encore plus fortes et plus aiguisées.

05/2023

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