On peut citer Ahmadou Kourouma, Ferdinand Oyono et bien d’autres écrivains, dont les écrits découlent de l’époque coloniale. Une France qui, en matière d’édition, s’incarne dans le petit territoire de Saint-Germain des Près, avec ses manières feutrées et ses coups de poignard. Ici, c’est un coup de colère qui résonne. De quoi faire désordre…