Joseph Ki-Zerbo

L'Africain a toujours été et demeure créateur de cultures originales qui se sont épanouies et perpétuées, à travers les siècles, dans des voies qui leur sont propres. Cette conviction s'est renforcée depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale et se consolide, tous les jours, depuis l'accession à l'indépendance des pays d'Afrique. Sous l'égide de l'Unesco, d'éminents historiens se sont efforcés d'aborder l'étude de l'Afrique avec plus de rigueur, d'objectivité et d'ouverture d'esprit, en utilisant entre autres, avec les précautions d'usage, les sources africaines elles-mêmes. Leur oeuvre, d'importance capitale, l'Histoire Générale de l'Afrique, dans cette édition abrégée, comporte huit volumes.

L'Africain a toujours été et demeure créateur de cultures originales qui se sont épanouies et perpétuées, à travers les siècles, dans des voies qui leur sont propres. Cette conviction s'est renforcée depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale et se consolide, tous les jours, depuis l'accession à l'indépendance des pays d'Afrique. Sous l'égide de l'Unesco, d'éminents historiens se sont efforcés d'aborder l'étude de l'Afrique avec plus de rigueur, d'objectivité et d'ouverture d'esprit, en utilisant entre autres, avec les précautions d'usage, les sources africaines elles-mêmes. Leur oeuvre, d'importance capitale, l'Histoire Générale de l'Afrique, dans cette édition abrégée, comporte huit volumes.

L'Africain a toujours été et demeure créateur de cultures originales qui se sont épanouies et perpétuées, à travers les siècles, dans des voies qui leur sont propres. Cette conviction s'est renforcée depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale et se consolide, tous les jours, depuis l'accession à l'indépendance des pays d'Afrique. Sous l'égide de l'Unesco, d'éminents historiens se sont efforcés d'aborder l'étude de l'Afrique avec plus de rigueur, d'objectivité et d'ouverture d'esprit, en utilisant entre autres - avec les précautions d'usage - les sources africaines elles-mêmes. Leur oeuvre, d'importance capitale, l'Histoire Générale de l'Afrique, dans cette édition abrégée, comporte huit volumes

«A quand l'Afrique ?» : Le professeur Joseph Ki-Zerbo se situe dans la ligne de mire du savant sénégalais Cheikh Anta Diop, qui se demandait dès 1948 : «Quand pourra-t-on parler d'une renaissance africaine ?» La renaissance, le mot est lâché ! Les auteurs de cet ouvrage essaient d'apporter des éléments de réponse à la question du «comment» de la renaissance africaine, en perspective des réalités que vit l'Afrique d'aujourd'hui.

La vie d'étudiant, on le sait déjà, n'est pas du tout repos. Ce recueil de neuf nouvelles est plutôt un journal intime d'un étudiant. Il consigne et décrit avec exactitude ce que ses yeux ont vu, ce que ses oreilles ont entendu, bref tout ce qu'il a vécu lors de son " pèlerinage " sur le campus de Zogona (Université Joseph KI-ZERBO) : les grèves d'étudiants, la vie en cité, l'amour estudiantin, les parcours hors du commun...

L'éducation porte en soi ce qui fera la qualité morale des peuples et celle de l'éthique des individus. Elle façonne leur tempérament : elle est leur vertu, leur dynamisme, leur lumière et l'ouverture de leur esprit au progrès et au développement des peuples. Or les pays africains, après plus de 60 ans d'indépendance, pataugent toujours dans des problématiques récurrentes en matière d'évolution réelle et authentique. Cette défaillance est imputable aux intellectuels et aux élites politiques et économiques de ces pays eux-mêmes. Pourtant, dès les années 1960, Joseph Ki-Zerbo a prédit l'éventuelle déconfiture, déliquescence, voire le désastre actuel des systèmes éducatifs en Afrique noire francophone. Car rien n'a été fait par les Africains pour changer, sous forme de progrès et des lumières de l'esprit, cet état de leurs réalités.