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Jean-Philippe Blondel

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Un si petit monde

1989. Tandis que le monde entier assiste à la chute du mur de Berlin, d'autres événements viennent bouleverser la vie des habitants de l'école Denis-Diderot. Philippe, revenu d'Amérique du Sud, a trouvé sa vocation : comme ses parents, il sera enseignant. Proche de la retraite, sa mère envoie valser les conventions, avec la complicité de son amie Janick. Partout, les lignes bougent, les repères changent. Seule Geneviève semble inébranlable... Mais n'est-elle pas celle qui, au fond, cache le plus lourd secret — un secret qui risque à nouveau de rebattre les cartes ?

05/2022

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Littérature française

Traversée du feu

C'est une vie ponctuée de "pourquoi ? ". Pourquoi Jean-Philippe Blondel a-t-il décidé ce jour-là de prendre le train, échappant ainsi à l'accident qui a emporté sa mère et son frère ? Pourquoi, quatre décennies plus tard, le destin le rattrape-t-il, l'obligeant à regarder de nouveau la mort en face ? D'une histoire qui aurait pu être racontée avec des sanglots, Jean-Philippe Blondel tire un récit empreint de tendresse, le livre joyeux et lumineux d'un homme qui a traversé le feu et qui relève la tête.

05/2024

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Littérature française

Café sans filtre

Il est 9 heures au Tom's. Il y a ce parfum dans l'air, qui donne des ailes. La journée peut commencer. Neuf personnes vont se croiser, installées en terrasse ou blotties à l'intérieur. Il y aura des rencontres et des ruptures, des regards appuyés et d'autres qui s'esquivent, des annonces et des secrets dévoilés. Et comme toujours au Tom's, il sera question d'amour. Croquant ce petit théâtre du quotidien, Jean-Philippe Blondel signe une merveille de roman, plein d'humanité, qu'on referme le coeur léger et le sourire aux lèvres. " Le roman du bonheur. " Gérard Collard - France 5 " Plein d'humour et de tendresse. " France Info " Savoureux ! " La Libre Belgique

05/2023

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Littérature française

Traversée du feu

Deux fois j'ai regardé la mort en face. Je n'en reviens pas d'être encore là. Ce que j'ai appris se résume en un mot : la joie. C'est une vie ponctuée de " pourquoi ? ". Pourquoi Jean-Philippe Blondel a-t-il décidé ce jour-là de prendre le train et non la voiture familiale, échappant ainsi à l'accident qui a emporté sa mère et son frère ? Pourquoi un deuxième accident coûta la vie à son père, le laissant, à vingt et un ans, formidablement libre et terriblement seul ? Pourquoi, quatre décennies plus tard, le destin le rattrape-t-il, l'obligeant à regarder de nouveau la mort en face ? D'une histoire qui aurait pu être racontée avec des sanglots, Jean-Philippe Blondel tire un récit empreint de tendresse et d'autodérision, le livre joyeux et lumineux d'un homme qui a traversé le feu et qui relève la tête, une ode à tous ceux qui prennent soin des autres, qu'ils soient enseignants ou soignants.

01/2024

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La grande escapade

Au milieu des années 1970, quatre familles d'instituteurs cohabitent dans l'école Denis-Diderot. Alors que le pays subit les effets du premier choc pétrolier, que les femmes revendiquent leurs droits et que la mixité s'impose dans les cours de récréation, rien ne semble devoir troubler le quotidien des Coudrier, des Goubert, des Lorrain et des Ferrant. Leur vie s'écoule entre coups de foudre et trahisons, éclats de rire et émotions. A moins qu'un vent de modernité ne s'engouffre tout à coup dans les classes et les corps et ne redessine les contours d'un monde très différent...

03/2021

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La grande escapade

On rit. C'est étonnant parce que, pris séparément, aucun d'entre eux ne pensait que la situation les pousserait à l'hilarité - or, de façon tout à fait inattendue, ils font contre mauvaise fortune bon coeur et les voilà qui s'esclaffent et qui se mettent à papoter, retrouvant les réflexes de cour de récréation, mais avec cet air de liberté unique qu'apporte avec lui l'Arbalète filant vers Paris. 1975. Tandis que le pays subit les effets du premier choc pétrolier, que les femmes revendiquent leurs droits et que la mixité s'impose dans les cours de récréation, rien ne semble devoir troubler le quotidien des familles d'instituteurs du groupe scolaire Denis-Diderot. A moins que le train du changement ne s'engouffre tout à coup dans les classes et les corps et ne redessine les frontières d'un monde très différent.

08/2019

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