Recherche

Jean-Paul Brighelli

Extraits

ActuaLitté

Non classé

La fabrique du crétin

Pourquoi l'Education nationale a-t-elle autorisé les dérives successives qui ont amené à la présente apocalypse scolaire ? A La Fabrique du crétin, 2005 (150 000 ex vendus), Jean-Paul Brighelli apporte une suite, dressant un bilan sans langue de bois. La mort programmée de l'école L'Ecole de la transmission des savoirs et de la formation des citoyens est à l'agonie. Elle accomplit aujourd'hui ce pour quoi on l'a programmée voici un demi-siècle : adaptée aux nécessités du marché, elle fabrique à la chaîne une masse de consommateurs semi-illettrés et satisfaits d'eux-mêmes. Soucieuse d'élaborer enfin l'égalité promise par la République en nivelant par le bas, elle a réussi à détruire ce que la France avait mis deux cents ans à élaborer. Plus de quinze ans après avoir prédit sa mort programmée, Jean-Paul Brighelli revient au chevet de l'Ecole et la trouve plus mal en point que jamais. Collège unique, " pédagogisme ", méthode globale, regroupement familial, laïcité à géométrie variable... les causes sont nombreuses, et l'action des ministres succssifs n'a pu empêcher la déroute. Aujourd'hui, l'Ecole est au pied du mur : elle sera " soit l'instrument d'une dissolution dans l'individualisme et le communautarisme, soit l'outil d'une résurrection ". Est-il trop tard pour réagir ? " Dans cette enquête aux accents satiriques, Jean-Paul Brighelli constate l'arrivée de ce qu'il avait prédit en 2005. Et le moins que l'on puisse dire, que notre homme est très remonté ! " (Lire Magazine) " L'agrégé de lettres modernes décrit la "déroute' du système scolaire français et s'inquiète d'une école qui, à défaut de former des citoyens, fait des élèves de simples consommateurs. " (Marianne)

08/2023

ActuaLitté

Non classé

La fabrique du crétin

L'Ecole de la transmission des savoirs et de la formation des citoyens est à l'agonie. Elle accomplit aujourd'hui ce pour quoi on l'a programmée voici un demi-siècle : adaptée aux nécessités du marché, elle fabrique à la chaîne une masse de consommateurs semi-illettrés et satisfaits d'eux-mêmes. Soucieuse d'élaborer enfin l'égalité promise par la République en nivelant par le bas, elle a réussi à détruire ce que la France avait mis deux cents ans à élaborer. Plus de quinze ans après avoir prédit sa mort programmée, Jean-Paul Brighelli revient au chevet de l'Ecole et la trouve plus mal en point que jamais. Collège unique, "pédagogisme", méthode globale, regroupement familial, laïcité à géométrie variable... les causes sont nombreuses, et l'action de Jean-Michel Blanquer — dont il dresse aussi le bilan contrasté — n'a pu empêcher la déroute, surtout en temps de Covid. Aujourd'hui, l'Ecole est au pied du mur : elle sera "soit l'instrument d'une dissolution dans l'individualisme et le communautarisme, soit l'outil d'une résurrection". Est-il trop tard pour réagir ?

03/2022

ActuaLitté

Education nationale

L'école à deux vitesses

Paraissant à la rentrée 2023, un essai choc contre l'exclusion scolaire et fustigeant la faillite du système éducatif, par l'auteur de La Fabrique du crétin, vendu à plus de 150 000 exemplaires. Dans les rouages de la Fabrique du Crétin Au sein de l'Ecole telle qu'elle est, une minuscule élite s'est construit un système éducatif qui lui permet de se cloner, pendant que 90 % des élèves sont confinés dans des établissements du second rayon. C'est ce qu'on appelle l'héritocratie. Depuis quarante ans, les politiques publiques ont visé - non sans hypocrisie, vu les écarts d'investissement entre établissement richement dotés et les autres - à rectifier cet état de choses. Ce faisant, elles sont parvenues au résultat inverse... En fait, le système a mis au point les conditions de sa survie et de sa reproduction, quitte à éliminer les menaces que constitueraient les " petits pauvres " - étant entendu que les classes dirigeantes, auxquelles se joignent les classes intellectuelles (et au premier rang les enseignants, qui jouent un double jeu équivoque), a créé les conditions scolaires de la reproduction (comme disaient Bourdieu et Passeron) de leur oligarchie. Cet essai étudie la mise en place de ce système d'exclusion et montre comment toutes les décisions prises n'ont fait que conforter le système à deux vitesses. Les pédagogies prétendument destinées à mieux éduquer les enfants les moins favorisés, en dépensant des sommes considérables, ont permis de les rejeter plus sûrement... en douceur. Il est temps d'adopter une politique qui donnerait à tous des chances égales ! Et ainsi amener chaque enfant au plus haut de ses capacités, quelle que soit son origine sociale. Admettre une fois pour toutes que les " petits pauvres " ne sont pas plus bêtes que les plus fortunés. Sans quoi nous irions droit vers une déflagration scolaire...

08/2023

ActuaLitté

Education nationale

L'école sous emprise

Samuel Paty, professeur d'histoire décapité en 2020... Dominique Bernard, professeur de Lettres poignardé à mort dans son lycée d'Arras en 2023... Et tant d'autres menacés, insultés, agressés chaque jour dès qu'ils s'avisent de heurter les convictions des élèves et de leurs parents. Pour les enseignants, l'école se fait désormais la boule au ventre, sous le regard suspicieux de mouvances religieuses radicalisées, soutenues parfois par les enseignants eux-mêmes. Alors que l'Ecole publique traverse une crise multiforme, Jean-Paul Brighelli plaide en faveur d'un système éducatif restauré et d'une laïcité intransigeante pour contrer l'emprise de l'entrisme islamiste. Les enseignants doivent retrouver le droit d'instruire enfants et adolescents, sans s'autocensurer. Est-il vraiment trop tard, face aux réseaux infiltrés du fanatisme, pour ressusciter ces "hussards noirs de la République" que furent jadis les instituteurs ?

08/2024

ActuaLitté

Education nationale

L'école à deux vitesses

Paraissant à la rentrée 2023, un essai choc contre l'exclusion scolaire et fustigeant la faillite du système éducatif, par l'auteur de La Fabrique du crétin, vendu à plus de 150 000 exemplaires. Dans les rouages de la Fabrique du Crétin Au sein de l'Ecole telle qu'elle est, une minuscule élite s'est construit un système éducatif qui lui permet de se cloner, pendant que 90 % des élèves sont confinés dans des établissements du second rayon. C'est ce qu'on appelle l'héritocratie. Depuis quarante ans, les politiques publiques ont visé - non sans hypocrisie, vu les écarts d'investissement entre établissement richement dotés et les autres - à rectifier cet état de choses. Ce faisant, elles sont parvenues au résultat inverse... En fait, le système a mis au point les conditions de sa survie et de sa reproduction, quitte à éliminer les menaces que constitueraient les " petits pauvres " - étant entendu que les classes dirigeantes, auxquelles se joignent les classes intellectuelles (et au premier rang les enseignants, qui jouent un double jeu équivoque), a créé les conditions scolaires de la reproduction (comme disaient Bourdieu et Passeron) de leur oligarchie. Cet essai étudie la mise en place de ce système d'exclusion et montre comment toutes les décisions prises n'ont fait que conforter le système à deux vitesses. Les pédagogies prétendument destinées à mieux éduquer les enfants les moins favorisés, en dépensant des sommes considérables, ont permis de les rejeter plus sûrement... en douceur. Il est temps d'adopter une politique qui donnerait à tous des chances égales ! Et ainsi amener chaque enfant au plus haut de ses capacités, quelle que soit son origine sociale. Admettre une fois pour toutes que les " petits pauvres " ne sont pas plus bêtes que les plus fortunés. Sans quoi nous irions droit vers une déflagration scolaire...

08/2024

ActuaLitté

XVIIe siècle

Soleil noir

Languedoc, 1685. Sous l'influence de Madame de Maintenon, Louis XIV a révoqué l'Edit de Nantes : les protestants doivent se convertir – ou mourir. Déjà les premières dragonnades ont lieu dans les Cévennes : le prétendu marquis de Souvré, cruel et vaniteux, se fait un devoir de passer les huguenots parle fer et parle feu. Pierre d'Aumelas, fougueux seigneur d'un des villages martyrs, décide de porter une protestation à Versailles. Accompagné de son jeune frère de lait Balthazar, descendant de Maures espagnols et médecin déjà réputé, le voilà qui chevauche vers Paris. Mais obtenir une audience du roi est difficile, d'autant que Sa Majesté est gravement malade. Et que Souvré est prêt à tout pour causer sa perte. Pierre s'en remet dès lors au Grand Condé, auprès duquel il a jadis guerroyé dans les Flandres... Duels sans merci, intrigues amoureuses, festins orgiaques, massacres, viols, exécutions : voici l'envers du "Grand Siècle", miné par les querelles au sommet de l'Etat, les ambitions de Louvois, la vieillesse de Condé. Fondé sur des faits vrais, ce roman de cape et d'épée offre le portrait d'une France plongée dans un a petit âge glaciaire" et sur laquelle le Roi-Soleil jette autant d'ombre que de lumière.

06/2024

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté