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Je ne devais jamais savoir

Extraits

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Roman d'amour, roman sentiment

Je ne devais jamais savoir

Et si toute votre vie reposait sur un mensonge ? Rose a 24 ans. Elle pensait que ses deux parents étaient morts. Jusqu'au jour où une lettre bouleverse tout : son père est en vie... et ne sait même pas qu'elle existe. Pour l'approcher, elle quitte tout et se fait embaucher dans l'hôtel qu'il dirige à Paris. Sans révéler qui elle est, elle observe, cherche à comprendre. Mais plus elle avance, plus les questions s'accumulent. Pourquoi sa mère a-t-elle gardé le secret ? Pourquoi son grand-père lui a-t-il menti toute sa vie ? Et au milieu de tout ça, il y a cette rencontre, inattendue, troublante. Entre passé enfoui, secrets de famille et émotions nouvelles, Rose s'apprête à découvrir bien plus que la vérité.

05/2025

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Ne pas tomber pour la bad girl

Rien de bon ne vint d'avoir écouté mon coeur. Il était négligent et irrationnel, et s'investissait beaucoup trop lorsque je lisais un roman d'amour. Donc je l'ai mis sous clé. Je n'avais que quelques règles et je les respectais. Je DEVAIS les respecter. 1. Ne jamais m'attacher. 2. Partir avant que les sentiments naissent. 3. Quoiqu'il arrive, en aucune circonstance, ne jamais tomber amoureuse. Lui aussi était un playboy qui suivait les mêmes règles. Ensemble, ce que nous partagions était fun, c'était chaud, et c'était temporaire. Jusqu'à ce qu'il fasse tout foirer. Nous n'étions pas destinés à finir ensemble. Mais plus j'essayais de le repousser, plus il tombait pour mes airs de bad girl.

10/2021

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Littérature française

C'est drôle d'avoir dit ça

"Il n'y a pas eu de cérémonie, pas d'enterrement, pas d'au revoir. Je ne devais jamais revoir mon grand-père". Anna, devenue jeune étudiante insouciante, découvre en s'installant à Paris, un monde qui semble lui appartenir et dont on ne lui a jamais parlé. Les Beaux-Arts, un Paris léger et délicieux, mais soudain des interrogations sur son nom à la résonance interdite, un journal de guerre écrit en Vendée sous l'Occupation, adressé par sa mère. Intriguée par les incohérences et les ombres du récit familial, Anna essaie de relier les phrases du passé à celles du présent, et n'a de cesse de mener l'enquête, jusqu'à la découverte d'un secret, mais d'un choix surtout, porté par tous.

10/2023

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Révolution française

"On ne meurt qu'une fois "

Qu'avait été Marat sinon un improvisateur solitaire, " un cerveau brûlé, un fou atrabilaire, ou bien sanguinaire, ou bien un scélérat soudoyé... ", comme ne cessaient de le crier, selon lui, les ennemis de la liberté, c'est-à-dire ses ennemis ? La soif, jamais satisfaite, de châtiment et de sang versé, l'exaltation de la mise à mort qui inspirèrent, dans les mois qui suivirent la mort de Marat, " la grande Terreur ", se passèrent aisément du prophète disparu. Ce que Charlotte Corday n'avait pas vu, n'avait pas su, c'est que, tuant Marat, elle ne faisait, obéissant à son devoir, que massacrer un symbole. Mais il nous faut regarder ce qu'elle a voulu, ce qu'elle a rêvé. Sa mission, son devoir ne pouvaient être de sauver la Révolution, ni même de mettre fin aux crimes qu'exaltait Marat. Ils étaient de punir le " monstre ", de " venger la France " et les Français. Elle l'avait dit fièrement, lors de son procès, répondant aux questions du président Montané : " Le président - Quels sont les motifs qui ont pu vous déterminer à une action aussi horrible ? L'accusée - Tous ses crimes. C'est lui qui entretient le feu de la guerre civile pour se faire nommer dictateur ou autre chose... Je savais qu'il pervertissait la France. J'ai tué un homme pour en sauver cent mille. Le président - Croyez-vous avoir tué tous les Marat ? L'accusée - Celui-ci mort, les autres auront peur... peut-être. " Charlotte Corday savait qu'elle n'avait pas assassiné tous les Marat, et elle ne pouvait être assurée que les " autres Marat " auraient peur. Seulement elle pensait avoir accompli son devoir, comme un héros antique. Elle est Judith, et elle a tranché la tête d'Holopherne. Elle a levé sur César le poignard de Brutus. Devant le Tribunal de Dieu, ou celui de l'histoire, ou celui de sa conscience, elle devait être la " meurtrière de la tyrannie ". Elle ne devait penser ni à ses souffrances ni aux souffrances de ceux qu'elle avait pu aimer. Elle avait " offert sa vie ", sûre d'" avoir bien servi l'humanité ". J.-D.B.

03/2006

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La Quête

" Si je devais faire un graphique de ma recherche en terre ésotérique, il se superposerait directement à mon parcours amoureux. Autant pour ce qui est du travail, je sais ce que je veux, je sais où je vais et pourquoi, je sais gérer les imprévus, surmonter les obstacles... Autant en amour, je suis aussi démunie qu'un chat sans poils dans une forêt en Sibérie. Je ne sais rien, je ne comprends rien et je ne tire absolument aucune leçon de l'histoire. Comme tous les enfants ayant un souci avec la reconnaissance, l'abandon, leur papa, enfin bref, comme tous les enfants, non ? Tout cela pour dire que c'est mon premier chagrin d'amour qui m'a jetée dans les bras de mon premier travail thérapeutique, à savoir une psy. A partir de là, la boîte de Pandore était grande ouverte. Et je n'ai jamais cessé depuis. De chercher. "

05/2021

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Biographies

Cet Amour-La

" Oui, je crois bien que pendant toutes ces années je n'ai pas compris grand-chose, j'étais comme abruti, il le fallait. Et vous m'y avez aidé en me laissant seul à ne pas comprendre, jamais un mot de consolation, jamais un mot d'encouragement, jamais un mot aimable. Comme si l'amour devait en passer par cette dureté intégrale, comme si l'amour devait se protéger de lui-même, se détruire lui-même pour avoir lieu et continuer à avoir lieu. Comme si l'amour n'en passait pas seulement par vous et par moi, comme si on était moins important que lui. Que les livres à faire. Comme s'il fallait cette humilité de tous les instants pour qu'autre chose puisse exister. Yann, il ne faut pas se croire, vous le dites souvent, ce mot d'enfant, entendu dans les cours de récréation. Non, il ne faut pas se croire, nous ne sommes rien, nous sommes de pauvres gens, démunis, on ne comprend pas, on essaye de comprendre, on écrit et parfois on voit quelque chose et il faut continuer... " Yann Andréa a frappé à la porte de Marguerite Duras l'été 1980 à Trouville, après lui avoir adressé d'innombrables lettres pendant cinq ans. Ils ne se sont plus quittés. Seize ans de vie partagée entre un " monstre " de la littérature et un amant, le dernier, son préféré. Entre eux, Cet Amour-là, que Yann Andréa cherche à garder vivant au-delà de la mort.

02/2002

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