Recherche

Jacques Darras

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Québec Amérique : une littérature venue du Québec

Fondée en 1974 et reprise en 2020 par Caroline Fortin, fille du fondateur Jacques Fortin, Québec Amérique se distingue par sa passion pour la littérature francophone et son engagement envers la qualité et l'innovation éditoriale.

ActuaLitté

Dossier

Le Prix Jean d'Ormesson

En mars 2018, quelques mois après la disparition de Jean d'Ormesson, le 5 décembre 2017, sa fille Héloïse d'Ormesson annonce la création d'un prix littéraire pour lui rendre hommage. « C’est avec joie et fierté que je vous annonce la création du prix Jean d’Ormesson, qui sera décerné le 6 juin prochain au Centre national du livre (pour s’approcher de la date anniversaire de la naissance de mon père le 16 juin 1925) », explique-t-elle.

ActuaLitté

Dossier

Le prestigieux et convoité Prix Goncourt

Récompense la plus populaire, la plus médiatique et la plus convoitée de la rentrée littéraire, le Prix Goncourt rythme depuis plus d'un siècle la vie littéraire française en désignant un lauréat ou une lauréate, au début du mois de novembre. Pour l'éditeur du livre en question, l'annonce signifie la plupart du temps des ventes assez confortables à l'occasion des fêtes de fin d'année.

ActuaLitté

Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Grégoire Delacourt

Grégoire Delacourt est un écrivain français, né en 1960, dont les œuvres ont suscité l'intérêt tant au niveau national qu'international. Avant de se consacrer pleinement à l'écriture, Delacourt a fait carrière dans la publicité, un domaine où il a acquis une expertise notable. Cette expérience a influencé son style d'écriture, caractérisé par une capacité à capter l'attention du lecteur avec des récits à la fois accessibles et profonds.

ActuaLitté

Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Joël Dicker

Joël Dicker est né en 1985 à Genève où il vit toujours. Il est l’auteur de cinq romans traduits en 40 langues qui se sont vendus à plus de 12 millions d’exemplaires.

ActuaLitté

Dossier

Cinq livres à offrir pour Noël

« Sans les cadeaux, Noël ne serait pas Noël. » On ne peut qu’être d’accord avec la romancière Louisa May Alcott, c’est pourquoi on vous propose nos conseils de lecture, avec Actes Sud, afin de gâter vos proches, et pourquoi pas, de leur donner des idées...

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

Nous ne sommes pas faits pour la mort

Je sais que je vais mourir. J'espère " savoir " mourir. Je ne sais pas ce qu'est la mort. La mort n'est pas de l'ordre du savoir mais de la spéculation, nourrie par une épreuve chaque fois unique, chaque fois répétée. " Après la première mort il n'y en a plus d'autre ", lance le poète Dylan Thomas. Les poètes - anglais, surtout - n'ont pas peur de la familiarité avec la mort. Mais que peut-on espérer des philosophes comme Heidegger qui nous clouent désespérément à l'horizon de notre propre mortalité ? Pour la première fois depuis des siècles, nous vivons dans une non-représentation de la mort. Par scepticisme, athéisme, matérialisme ou " modernisme " affichés. Combien de temps croyons-nous pouvoir encore tenir dans un tel désert ? Ne plus imaginer la mort c'est accepter, de fait, la mort de l'imagination. C'est mourir à la vie de notre vivant. La question adressée par ce livre à la philosophie, à la religion et à l'art est une affirmation joyeuse du rôle dévolu à la poésie en temps de détresse.

03/2006

ActuaLitté

Critique littéraire

La Transfiguration d'Anvers. Certitudes magnétiques en poésie

Le livre de Jacques Darras s'ouvre par une longue et magistrale médiation sur Descartes : "René Descartes à la Onzième Heure". Une deuxième partie s'interroge sur le piétinement de la littérature française, et particulièrement de la poésie, dans des schémas devenus purement académiques : "L'interminable restauration du symbolisme". La troisième partie, "Dans la clairière du temps", appelle à un renouvellement du regard et de l'écoute. Une méditation sur Descartes, oui, mais en voici les premiers mots, qui ouvrent le livre : "Je débarquai à Bruxelles en 1993, venant de Picardie." Ce serait un bon commencement de roman, et, de fait, l'écriture de Jacques Darras est bien une aventure. Lorsque l'aventure n'est plus là, que reste-t-il de la littérature : "Le xi, siècle colonial eut beau tenter de prolonger chez nous les visions des Illuminations, l'épopée abstraite d'un Saint-John Perse continuer de marcher en caravanes de songes aux frontières du monde, l'aventure était bel et bien finie. Comme l'avait froidement pressenti Victor Segalen, guère écouté. Dans la cassure en deux morceaux de la statue Whitman, les membres et les pieds furent d'un côté confisqués par le pas cadencé du réalisme socialiste cependant que l'autre moitié, la partie tête et coeur, s'immobilisèrent autour du sujet lyrique." Quand Jacques Darras plaide pour une écriture épique, lorsque inlassablement il invoque Whitman et dénonce l'impasse symboliste, il ne dit rien d'autre : "J'appartiens, souligne-t-il, à une première génération que les frontières en général, avec la poésie d'expression anglaise en particulier mais aussi la littérature de langue d'ail de l'autre et secondairement les littératures de Flandres et de Wallonie, auront amené à reconsidérer le modèle national de bienséance littéraire. Pour cette raison il fallait bien évidemment se démasquer soi-même, tomber le masque dans l'expression, prendre à son compte l'aventure d'un sujet explorateur du "territorialement" proche. Bref il fallait repartir de la petite flache rimbaldienne post-coloniale dépressive où nous étions tous embourbés - impuissants petits tritons lyriques." On le voit, Jacques Darras ne craint pas de déplaire, et son écriture libre jusqu'à l'insolence agit sur nous comme un puissant tonifiant.

02/2015

ActuaLitté

Poésie

Moi, j'aime la Belgique ! (poème parlé marché)

"Nous entrons dans un monde de nationalités d'emprunt. Nous serons des immigrants légers. Plus d'évasion d'impôts à la Charles Baudelaire : nous apportons notre moitié rêveuse à la Belgique, elle apporte la sienne à la France. Exemple, je m'assieds sur une banquette d'un café d'Anvers où je laisse s'écouler un Escaut de temps. Devenu rivière de moi-même, je me réfléchis, nous nous réfléchissons à plusieurs dans nos confluences. Des ombres s'asseoient à côté de moi, ni plus anciennes ni moins réelles, je leur parle elles me parlent elles ne passent plus. Rubens s'entretient avec Spilliaert et Ensor. Le chanteur Jacques Brel souffle dans les cheveux du petit Emile Verhaeren. D'imperturbables iguanodons se désaltèrent, croqués par un dessinateur de bandes dessinées. La grande Garabagne d'Henri Michaux ? Non, nous sommes dans un pays réel rêvé ! Vous préférez la Suisse ? Pourquoi pas, mon livre est une méthode universelle - le PPM, Poème Parlé Marché". Jacques Darras.

03/2001

ActuaLitté

Poésie

Du cloître à la place publique. Les poètes médiévaux du nord de la France (XIIe-XIIe siècle)

Pourquoi personne n'avait-il encore rassemblé les textes médiévaux en langue d'oïl les plus remarquables, dans un seul et même ouvrage ? Pourquoi nulle anthologie n'avait-elle conduit le lecteur d'aujourd'hui jusqu'à eux, par le biais d'une traduction sensible à la langue ancienne ? Est-ce parce que composés en français des XIIe et XIIIe siècles ils déployaient une richesse lexicale inouïe, une morphologie singulière, une complexité référentielle peu compatibles avec la compréhension restreinte du lecteur contemporain ? Nous avons pris le parti de rassembler les textes majeurs de cette littérature et de les traduire en français contemporain, pour les rendre accessibles, tout en suivant au plus près leur prosodie octosyllabique et leur lexique imagé. Cette anthologie a ainsi été conçue comme une véritable entreprise poétique moderne. Voici donc la première anthologie à ce jour de la littérature composée en langue d'oïl, dans le nord de la France (Artois et Picardie) aux XIIe et XIIIe siècles. Soit très précisément dans les années où s'édifia la cathédrale d'Amiens et se développa la prospérité communale et commerciale d'Arras (banques, commerce du drap, association littéraire dite Carité des Jongleurs). Les problèmes d'Arras devinrent vite ceux d'une cité moderne. La littérature apparue dans la ville à ce stade traite pour la première fois en France des questions d'argent, de liberté et de santé. Elle n'a plus rien à voir avec la poésie lyrique des petits seigneurs féodaux du sud de la France, codificateurs de l'amour courtois.

09/2017

ActuaLitté

Poésie

La Maye Tome 4 : Van Eyck et les rivières dont la Maye

"Qu'est-ce qui nous fait tellement aimer une frontière ? ". Ce livre est un roman, ce livre est un poème. Il est écrit en prose, il est écrit en vers. Il s'intéresse à l'histoire, il a le souci de la géographie. Il circule à cheval dans le XVe siècle, il roule en automobile au XXIe siècle. Il franchit la frontière entre la France et la Belgique, la France et la Suisse, voyageant de Lille à Bruges, de Dijon à Bruxelles, sur les routes de l'ancienne Bourgogne. Bref, il ne tient pas pour acquis ni définitif le partage des espaces nationaux dans l'Europe contemporaine. Il désunit les couples, déplace les bornes, rebat les cartes à grandes chevauchées amoureuses. Fil d'or souple unissant entre eux ces morceaux d'histoire dispersés, s'articulent les panneaux du célèbre Agneau mystique peint à Gand par Jan van Eyck. Dans les silences de l'Histoire, les blancs de l'action, les lendemains de conflits, le peintre a laissé monter un hymne choral composé d'amour et d'admiration. A ces moments-là, il est bon que le roman traverse en direction du poème. Après le tome III, L'Embouchure de la Maye dans les vagues de la mer du Nord (Le Castor Astral), ce "roman-poème" a constitue le tome IV du long poème La Maye. Prix Apollinaire, Grand Prix de poésie de l'Académie française, Jacques DARRAS est aussi traducteur de Walt Whitman, William Blake, S.T. Coleridge et Malcolm Lowry (Gallimard/Grasset).

04/2019

ActuaLitté

Critique Poésie

Epique !

En ce début de XXIe siècle, l'épuisement est général, la confiance dans le temps long manque cruellement. Partout triomphe la communication brève aux antipodes du poème. Le moins qu'on puisse dire est que l'époque n'est pas à l'épique. En apparence seulement, car ne serait-ce pas plutôt notre conception vieillissante du genre qui demande à être réactualisée ? - Qu'y a-t-il de commun entre L'Iliade, La Henriade de Voltaire, La Main coupée de Blaise Cendrars et Le Voyage au bout de la nuit de Louis Ferdinand Céline ? La guerre. La guerre on y va, puis au retour on compose un poème plus ou moins héroi ? que, en vers ou en prose, qualifié " épopée ". Il arrive toutefois que la guerre soit tellement destructrice que plus aucune litté- rature épique n'est acceptable à son sujet. Le modèle est alors congédié. C'est ce qui s'est produit au XXe siècle avec les deux guerres mondiales. Depuis, personne n'évoque plus l'épopée, en poésie. - Pourquoi, dans ce cas, ne pas opérer le genre de son rapport consubstantiel à la guerre ? C'est ce que Jacques Darras propose. En s'engageant avec humour sur la durée d'une vie entière, contre notre seul véritable ennemi commun, le temps, la poésie redonne sa légitimité de facto à l'épopée. Tous épiques désormais ? Prix Apollinaire en 2004 Grand Prix de poésie de l'Académie franc ? aise en 2006

09/2021

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté