J-b-h. Blondeau

L'éditeur d'une biographie de Johnny Hallyday, vient d'être condamné : 1 € de dommages-intérêts pour diffamation, et 1 € de plus pour atteinte à la vie privée, rapporte l'AFP. Adeline Blondieau, ex-femme du chanteur, a obtenu réparation, justice est faite.

Dans le procès qui l'oppose à Johnny Hallyday, Adeline Blondieau, son ex-épouse, a finalement obtenu gain de cause. Accusé de diffamation, le chanteur a été condamné ce jeudi 16 juin par la cour d'appel de Paris. La raison du conflit : un passage de son autobiographie intitulée Dans mes yeux. 

« Netflix, fournisseur officiel d’images de la start-up nation. » Pour roman Blondeau, auteur de l’essai Netflix, l’aliénation en série (titre provisoire), tout est là. Au croisement du monde digital, de la calamité environnementale que représente le streaming et de la quête d’immédiateté, ces deux syllabes résonnent, encore, et encore. Et ce, malgré la concurrence : Netflix est devenu un symbole.

La Fontaine, idéal pour démasquer le Corbeau de la Cellule 34

Depuis sa sortie chez Plon en 2013, la biographie de Johnny Hallyday, Dans mes yeux, est surtout connue pour les déboires judiciaires qu’elle a entraînés. Après avoir reçu 2 euros symboliques de la part de la maison d’édition l'année de la sortie de l'ouvrage, Adeline Blondieau décrite comme « vile », « hystérique », « volage » dans ledit livre avait porté plainte pour diffamation publique contre Johnny Hallyday et Amanda Sthers, les deux auteurs. La décision du tribunal est tombée aujourd’hui : l'ex-épouse du chanteur a perdu son procès. 

Après avoir obtenu symboliquement gain de cause en référé, en attaquant les éditions Plon, à raison de 2 euros de dommages et intérêts pour diffamation et atteinte à la vie privée dans le cadre de la publication d'une biographie de Johnny Hallyday, l'ex-épouse du chanteur a déposé plainte ce lundi, par l'intermédiaire de son avocat. Adeline Blondieau, confirme sa plainte contre les co-auteurs de Dans mes yeux, Johnny alias Jean-Philippe Smet et l'écrivaine Amanda Sthers, dans l'attente d'une « indemnisation réelle ».

Dans « Plaidoyer pour le naturalisme », un article publié dans la revue Comœdia le 3 août 1927 et précurseur du mouvement populiste des années 1930, André Thérive mentionnait le roman d’un certain Jean Louwyck comme représentant d’un naturalisme renouvelé et issu de Maupassant. Ce roman, Un homme tendre, était paru six ans plus tôt chez Albin Michel.

Les éditions Armeline, qui publièrent certains des ouvrages de Christian J. Guyonvarc'h, viennent d'apprendre son décès, le 9 janvier dernier, de cet homme spécialisé dans les études celtiques. 

Brochés, couvertures bleu marine, titres en impression or : malgré des formats divers et variés, les ouvrages de la maison d’édition Better Call Julia sont reconnaissables. Julia Pietri, à l’origine de cette dernière, a beaucoup à dire et encore plus à partager. Après un premier titre à destination des femmes et deux albums pour la jeunesse, elle revient avec trois nouveaux ouvrages et deux nouvelles autrices.

C'est en 2013 que J.K. Rowling, auteure internationalement connue pour la saga Harry Potter, publiait sous le pseudonyme de Robert Galbraith L'appel du coucou, un roman policier. Pour Rowling, il s'agissait de s'offrir un espace de tranquillité littéraire, malheureusement pour elle vite dérangé par la révélation de ce pseudonyme.

C'est le New York Times qui fait fuiter l'information : Knopf vient de faire signer un contrat à sept chiffres pour s'octroyer le droit d'exploiter les oeuvres de B.J. Novak, dont le premier devrait sortir quelque part en 2014. 

L'acteur B.J. Novak, dont le nom est associé à Inglorious Basterds, Dans l'ombre de Mary ou la série The Office, verra bientôt celui-ci apposé sur deux ouvrages, publiés par Penguin Random House. Pour ses débuts dans le monde de l'édition, l'acteur américain propose un recueil de nouvelles, mais aussi un livre pour enfants.

Le distributeur Carlotta Films publiera le 27 janvier prochain, en DVD et Blu-Ray, La Maison de la mort de James Whale, réalisateur du film de 1931 tiré de Frankenstein de Mary Shelley. Un long-métrage adapté cette fois du roman Dans la nuit de J.B. Priestley (1928, traduit en français par Claire-Eliane Engel aux éditions Excelsior).

Alors qu’une première liste de 20 titres avait été annoncée, titres choisis parmi les nouveautés des rentrées littéraires de septembre et janvier derniers, c’est à l’issue d’une réunion virtuelle ce 23 mars que les membres du Jury du Prix des Libraires 2020 ont finalement dévoilé une dernière liste de 5 titres.

ROMAN FRANCOPHONE – Chavirer de Lola Lafon fait partie des 36 titres de la dernière rentrée littéraire sélectionnés par les libraires pour le Prix Libraires en Seine 2021. Un grand roman sensible et juste, physique et social, efficace et bouleversant.

Ce coup-ci, on ne peut contester la qualité d’"ensablé" de Pierre Herbart, ni que nous aurions pu le connaître si nous nous étions intéressé aux parutions littéraires au début des années soixante-dix, temps où l’approche irrésistible ( tu parles…) de la révolution confisquait les énergies des gens de notre génération. En général, nous n’avons pas beaucoup de sympathie pour qui adhéra de près ou de loin à l’idéologie communiste dont le temps apprit à tous les esprits ou presque quelle était sa véritable nature ; mais, après tout, même Breton à qui on ne la faisait pas, en fut un moment…

Réalisateur du film Frankenstein, adapté du livre de Mary Shelley, James Whale ne s'arrêta pas en si bon chemin : après le succès de son film d'épouvante, il embraye avec La Maison de la Mort (aussi connu sous le titre Une soirée étrange), en 1932. Le distributeur Carlotta propose, à partir du 28 août prochain, une version restaurée de cet autre chef-d’œuvre du cinéma d'épouvante.

Alors que les éditions Plon s'apprêtent à inonder les librairies d'une nouvelle biographie consacrée à l'idole des jeunes, des bonnes feuilles commencent à circuler sur la Toile. Signée de la romancière Amanda Sthers, l'ouvrage intitulé Dans mes yeux (à paraître le 7 février 2013, 150 pages, 16,90 €) nous promet de percer le mythe vivant qu'est devenu Johnny Hallyday.

La deuxième édition de la Nuit de la lecture donnera cette année l’opportunité à un plus grand nombre de participants de s’impliquer. Ainsi, on passera, pour qui le souhaite, une nuit blanche de lecture, en musique, grâce à la sélection que présente l’ACIM. L’Association pour la coopération des professionnels de l’information musicale a en effet décidé d’apporter sa contribution.

Les éditions Finitude publie le dernier tome des Mémoires de Julien Blanc. Eh bien, on ne peut pas dire que le dernier tome de la suite autobiographique «  Seule la vie »de Julien Blanc : «  Le Temps des Hommes » ait été écrit pour attirer le lecteur soucieux de se remonter le moral au fil des pages. Si «  Joyeux, fais ton fourbi… » finissait sur une note un peu plus gaie, de sortie des Bat’ d’Af’, de retour à la vie civile, d’espoir de changement de route, «  Le Temps des Hommes » n’y donne pas vraiment suite.

Le recrutement d’éditeurs se poursuit pour la maison d’Arles avec un acteur de poids : Harmonia Mundi va en effet intégrer le catalogue des éditions Mémoire d’encrier, société québécoise, dont le travail en matière de poésie est unanimement reconnu. À compter du 1er janvier, Rodney de Saint-Éloi, son fondateur, change donc de crémerie. 

Nous entretenons un lien curieux avec Stephen Hecquet, mort à presque quarante-et-un ans il y a maintenant plus d’un demi-siècle et nous le devons à notre mère. Stephen Hecquet était, au début des années cinquante avocat, à une époque où parait-il la profession était d’une bonne rentabilité, n’attirant pas l’attention des services fiscaux qui traitait ses revenus au forfait, évidemment sous-évalués.

Les dernières photos de Saint Exupéry réapparaissent

Malgré le contexte inhabituel, le Prix Hemingway maintient ses actions, et a dévoilé les 23 finalistes de son édition 2020. Ils comprennent 19 auteurs français et 4 Espagnols et ont été annoncés le 27 mai 2020 lors d'une conférence de presse à la bodega Pablo Romero de Nîmes. Le lauréat de la récompense sera connu en septembre prochain.

Mais qui peut bien se souvenir de Robert Francis, Pierre Godmé à l’état civil et ingénieur de son métier, qui dans sa courte vie (1909-1946) réussit à écrire une « Histoire d’une famille sous la Troisième République » dont le dernier tome, le Bateau-Refuge reçut le prix Femina en 1934, année agitée ? Nous n’avions jamais relevé mention de son nom jusqu’à trouver dans une grande librairie d’occasion située aux côtés du canal du midi, à quelques encablures de Narbonne, l’un de ses livres, le Bateau-Refuge donc, publié chez Gallimard, dans une cinquante-quatrième édition qui indique le succès de librairie.

Il est étrange que la littérature croise le chemin du communisme qui fut l’ennemi déterminé de toute libre expression artistique là où le malheur des temps le conduisit à s’imposer à un pays.

Avec la rentrée, c’est la promotion des romans qui bat son plein. Les médias impatients commentent les œuvres, les interrogent et parfois même semblent avoir lu les ouvrages dont ils parlent. C’est que les auteurs, avec une malice ingénue, s’évertuent à inventer des histoires dont on ne démêle pas si aisément le faux du vrai...