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J'aimerais tant me tromper

Extraits

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Littérature francophone

Ils se sont tant aimés

"Ma jeunesse m'a trompée. Il va falloir que je m'habitue, pour le temps qu'il me reste, à ne pas penser à l'avenir, à ne plus convoquer le passé, et à vivre le présent... Quelqu'un m'a dit, et c'était un sage, que l'amour est le meilleur des remèdes contre la peur et la douleur. Est-ce que tu m'aimes encore ? " Installés à Casablanca, Nabile et Lamia se sont aimés, mariés, trahis, puis ils ont divorcé. Des années plus tard, ils se retrouvent. Le temps a passé, charriant avec lui son cortège de désillusions, mais leur lien est resté intact. Sous l'impulsion de Lamia, plus passionnée et libre que jamais, ils vont se réinventer une vie à deux, à rebours de la tradition. Mais le bonheur est une chose fragile... Ils se sont tant aimés, deuxième volet des Amants de Casablanca, explore la puissance d'un premier amour, l'inconstance du désir et les aléas d'un couple à l'épreuve de l'âge, dans un pays partagé entre modernité et forces de la régression.

03/2025

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Essais

Cherchez l'erreur !

Si vous ne vous êtes jamais trompé, n'ouvrez pas ce livre ! Vous seriez déçu d'apprendre que vous avez manqué l'expérience la plus fondamentale de votre vie. "Si je me trompe, c'est bien parce que je suis persuadé d'avoir raison" : Kathryn Schulz part de ce paradoxe pour traquer avec humour l'erreur dans toutes les circonstances de la vie – illusions, croyances, théories, passions... Elle démontre que la propension à se tromper est une condition de la pensée, indispensable à l'avancée des connaissances. Contre toute attente, l'erreur est même indissociable de nos qualités les plus précieuses : l'empathie, l'optimisme, l'imagination, la confiance, le courage. En bref, l'erreur nous rend meilleur. Mais comment se fait-il que nous ayons tant de mal à admettre nos erreurs ? Jusqu'où pouvons-nous considérer nos certitudes comme fiables ? Quel bénéfice y a-t-il à reconnaître que nous avons eu tort ? Pourquoi est-il inévitable et profitable de se tromper ? Kathryn Schulz nous entraîne dans une enquête au long cours, où les relations humaines et les faits divers ont autant leur place que les événements historiques. On y rencontre aussi Platon, saint Augustin, Descartes, Shakespeare, Freud, Wittgenstein, ou encore Molière, Proust, Coetzee, Philip Roth... Une analyse décapante de la nature de nos erreurs et de toutes leurs implications. Au mieux, avoir tort vous irritait ; au pire, c'était un cauchemar. Désormais, vous saurez qu'il est bon d'être faillible, que c'est même votre génie !

03/2012

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Essais

Cherchez l'erreur !

Si vous ne vous êtes jamais trompé, n'ouvrez pas ce livre ! Vous seriez déçu d'apprendre que vous avez manqué l'expérience la plus fondamentale de votre vie. "Si je me trompe, c'est bien parce que je suis persuadé d'avoir raison" : Kathryn Schulz part de ce paradoxe pour traquer avec humour l'erreur dans toutes les circonstances de la vie – illusions, croyances, théories, passions... Elle démontre que la propension à se tromper est une condition de la pensée, indispensable à l'avancée des connaissances. Contre toute attente, l'erreur est même indissociable de nos qualités les plus précieuses : l'empathie, l'optimisme, l'imagination, la confiance, le courage. En bref, l'erreur nous rend meilleur. Mais comment se fait-il que nous ayons tant de mal à admettre nos erreurs ? Jusqu'où pouvons-nous considérer nos certitudes comme fiables ? Quel bénéfice y a-t-il à reconnaître que nous avons eu tort ? Pourquoi est-il inévitable et profitable de se tromper ? Kathryn Schulz nous entraîne dans une enquête au long cours, où les relations humaines et les faits divers ont autant leur place que les événements historiques. On y rencontre aussi Platon, saint Augustin, Descartes, Shakespeare, Freud, Wittgenstein, ou encore Molière, Proust, Coetzee, Philip Roth... Une analyse décapante de la nature de nos erreurs et de toutes leurs implications. Au mieux, avoir tort vous irritait ; au pire, c'était un cauchemar. Désormais, vous saurez qu'il est bon d'être faillible, que c'est même votre génie !

01/2021

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Littérature française

Because I Love You

Je laisse derrière moi ce qui m'a détruite. Mes peurs, mes doutes, mes douleurs. Je ne sais pas ce que je vais trouver en allant à Los Angeles, mais je sais ce que je quitte. Quitte à me tromper. Mais en arrivant, je ne vais pas mettre les pieds dans un monde tout rose. Est-ce que je suis condamnée à souffrir toute ma vie ? Et qui est ce garçon qui semble cacher bien des choses ? Pourquoi me regarde-t-il ainsi ? Ce départ va-t-il me permettre de me libérer de tout ce qui me retient prisonnière depuis tant d'années ?

01/2023

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Ouvrages généraux

Etes-vous sûr d’avoir raison ?

Tout le monde pense avoir raison. Et s'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, on peut faire confiance à la mauvaise foi de chacun pour défendre ses opinions lors des débats en famille ou sur les réseaux sociaux : vaccin, pass sanitaire, #MeToo, complotisme, climat, wokisme, politique, religion, etc. J'y mettrais ma main au feu, ma tête à couper. Mais comment puis-je être sûr de ne pas me tromper ? D'où nous viennent nos opinions et nos certitudes ? Pourquoi y sommes-nous tant attaché(e)s ? Et dans le fond, faut-il avoir raison ?

09/2022

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Littérature française

Mémoires de Lucien Bonaparte

" Depuis la République consulaire, sous tous les régimes, des pamphlétaires m'ont pris trop souvent pour but de leurs loisirs. Des révélations, des mémoires secrets, des recueils d'anecdotes, fruit d'une imagination sans pudeur et sans frein, ne m'ont pas ménagé. J'ai tout lu dans ma retraite. Je me suis d'abord étonné que n'ayant jamais fait de mal à personne, j'aie pu m'attirer tant de calomnies. Mon étonnement a cessé quand j'ai mieux apprécié ma position : éloigné des affaires publiques, sans influence et presque toujours en opposition sourde ou patente avec les puissances, quoique assez près d'elles pour qu'on redoutât sans cesse ma rentrée en faveur, comment la malice des courtisans aurait-elle pu me laisser en repos ? Et depuis la chute de ma famille, on n'a pas cru sans doute déplaire aux plus forts en continuant cette noble exploitation. Je me suis donc résigné à ce qui me paraissait l'effet naturel d'une position que j'avais choisie ou qui m'était imposée ; et j'ai laissé le champ libre aux braves gens qui aiment tant à frapper sur les proscrits. J'ai trouvé dans ma conscience de quoi me consoler de toutes les injustices. Aussi, n'est-ce pas dans un but personnel que je me détermine à publier ces mémoires. Je le fais parce qu'ils me semblent offrir des matériaux de quelque valeur à une histoire si féconde en grands évènements et dont l'étude sérieuse peut être utile à l'avenir de la patrie. L'opinion publique m'indiquera si je me suis trompé ; et dans ce cas, cette première partie de mes mémoires serait la seule que je me permettrais de publier.

02/2023

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