Recherche

Ion Creanga

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Quand les mots dansent au son des mélodies

Que serait notre monde sans la musique qui fait vibrer nos âmes et la littérature qui nourrit notre imagination ? Tels deux instruments de l'orchestre de l'expression artistique, résonnent chacun avec leur timbre propre. Dans cette liste d'ouvrages soigneusement sélectionnés, nous plongerons dans une symphonie littéraire où les mots dansent au son des mélodies.

ActuaLitté

Dossier

Livres, actualités : tout sur Anne Frank et son Journal

Morte en 1945 à Bergen-Belsen, Anne Frank a légué à l’humanité un journal devenu historique. Ce récit fait part des réflexions qui occupent la jeune adolescente, alors qu’elle est partie avec sa famille aux Pays-Bas, pour échapper aux nazis. Nous sommes en 1942, elle a 13 ans. 

ActuaLitté

Dossier

Nos horizons désirables : le livre a rendez-vous avec son avenir

Devant les défis importants du domaine du livre, les experts et volontaires s'engagent activement. L'Agence coordonne les Rencontres régionales du livre et de la lecture dans la région des Hauts-de-France, un événement visant à collaborer pour façonner l'avenir du secteur et envisager des perspectives prometteuses.

ActuaLitté

Dossier

Mangas.io : l’avenir du manga numérique ?

Une application pour lire ses mangas en illimité et légalement : la communauté l’attend depuis des années. Cependant, aucune solution ne semble pour l’instant satisfaire les millions de lecteurs pirates français... Mais grâce à son système à l’abonnement, Mangas.io tente de faire évoluer le marché du manga numérique. 

ActuaLitté

Dossier

Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

ActuaLitté

Dossier

Le métier d'éditeur : mythes et légendes au pays des histoires

Comment l’industrie qui vend des romans, des albums, des récits fantastiques, terrifiants, pourrait échapper à faire elle-même l’objet d’histoires ? Pas la Grande Histoire Littéraire, que l’on invoque avec des majuscules, non. Celle des rumeurs, du qu’en-dira-t-on, entre bruits de couloirs et légendes urbaines.

Extraits

ActuaLitté

Littérature étrangère

Contes, souvenirs d'enfance et histoires. Pages choisies

Ion Creanga est, jusqu'au bout de la langue, un conteur emporté par son récit qu'à son tour il transcende en maître. Tel un Bartleby rural, le "cossard" de L'histoire du Paresseux, réfractaire par principe à la ruche humaine, se laisse pendre haut et court. L'attitude des "sots" de Petite histoire rappelle celle du père de Tristram Shandy. La revanche féroce des brus maltraitées de La Belle-mère aux trois brus, et la truculence anticléricale du conte grivois L'Histoire des histoires, renvoient au Décaméron. Le vétéran Ivan Tourbinka, qui a reçu du "bon Dieu" un drôle de pouvoir, est un "trompe-la-mort" apparenté au Federigo de Mérimée, au Charlot de Fabio Stassi. Chirica le diablotin de L'histoire de Stan l'Averti rejoint, lui, le Diable boiteux d'Alain Lesage, les djinns et autres éfrits des Mille et une nuits : des esprits du mal amenés à servir d'attachants humains et à faire le bien. L'histoire du Cochon sème dans le terroir roumain le mythe d'Eros et Psyché. Souvenirs d'enfance, récit autobiographique des aléas d'un gamin tout sauf modèle mais croquant la vie, "heureuse nature", penche un peu du côté de Lazarillo de Tormes, tout en déguisant les gens bien réels en ogres, en sorcières, en silènes, en bonnes ou mauvaises fées...

02/2016

ActuaLitté

TRAVAUX SUR LA MEMOIRE

Les absents. Robert Créange, partisan de la mémoire

Le 16 août 1942, deux enfants cachés sur le bord de la route voient disparaitre leurs parents dans une voiture allemande. Robert et Françoise, alors âgés respectivement de 11 et 13 ans, attendront en vain leur retour. La sociologue Claire Lévy-Vroelant recueille le récit de vie de Robert Créange, grande figure d'un engagement politique et pour la mémoire de la déportation. Le 16 août 1942, non loin de la ligne de démarcation, deux enfants cachés sur le bord de la route voient disparaitre leurs parents dans une voiture allemande. Robert et Françoise Créange, alors âgés respectivement de 11 et 13 ans, attendront en vain leur retour. Comment survivre à des questions qui n'obtiendront jamais de réponse ? Comment mener sa vie quand elle est précocement chargée d'un tel héritage ? Comment dire, comment raconter ? Et pourquoi, pour qui le faire ? Françoise Créange a déposé son témoignage au Mémorial de la Shoah en 1997, elle a accompagné son frère aux commémorations et aux cérémonies où il officiait, elle a relu ses discours sans pour autant développer son goût pour le souvenir. Robert, lui, en a fait sa raison de vivre. Il a fini par accepter, trois quarts de siècle plus tard, de raconter sa vie à une sociologue obstinée. La sociologue se trouve être une lointaine parente de la famille Créange-Salomon. Cousine éloignée, d'une génération plus jeune mais nourrie des mêmes images, mêmes clichés, mêmes plaisanteries et mêmes silences face à un passé indicible. Une première intrigue se noue ici, dans la construction progressive, entre les deux protagonistes, d'un espace de paroles singulier. Parole courtisée, livrée dans le trouble et dans les pleurs, déclamée ou murmurée, qui se cherche sans toujours se trouver, parole traçante, glaçante, hilare, pudique, mutine, suivant le fil des souvenirs perdus et retrouvés et reconstitués. Car la mémoire n'en finit pas de travailler et, si comme Robert Créange, nous acceptons ses ruses et ses revirements, ses tyrannies et ses délices, c'est que nous continuons d'être vivants. Né en 1931 et décédé en décembre 2021, Robert Créange s'est décidé à entreprendre ce travail de mémoire avec Claire Lévy-Vroelant seulement en 2015, après un long temps d'hésitation. Pour parler de l'enfant meurtri, de l'adolescent délinquant, du soldat révolté d'être envoyé en Allemagne pour son service militaire peu après la guerre, de l'instituteur anticolonialiste qui choisit le Niger, du jeune militant dévoué corps et âme au parti communiste, du cadre du comité d'entreprise de Renault-Billancourt, du secrétaire général de la fédération nationale des déportés internés résistants et patriotes (FNDIRP), de l'initiateur, avec quelques autres, de la Fondation des amis de la mémoire de la déportation, du pédagogue infatigable sur les lieux des crimes, l'histoire de sa vie pourrait suivre le cours d'un long fleuve sinon tranquille du moins apaisé. Mais le récit parfois s'emballe, ou bute sur une énigme et les questions douloureuses resurgissent. Pourquoi le passeur a-t-il vendu les parents et pas les enfants ? Malgré les recherches après la guerre, il ne sera jamais retrouvé. Le souvenir du passage de la ligne de démarcation en août 1942 se brouille au point qu'une nouvelle version se fait jour. Nouveaux souvenirs, nouvelle intrigue. Pourquoi le grand-père, arrêté et interné à Drancy, n'a-t-il pas été déporté ? Le récit élude ou trébuche sur des dates, des noms, des scènes mais la liste des élèves de la classe de sixième du lycée Claude-Bernard, à la rentrée de septembre 1941, est restée gravée, indélébile. Une enfance bourgeoise, protégée, une pratique religieuse fort modeste qui n'exclut ni l'engagement socialiste et franc-maçon du père, ni son " sionisme pour les autres ", la montée des persécutions, la décision de quitter Paris... L'homme public qui aime jouer avec un humour de potache, qui maîtrise parfaitement la présentation de soi et l'art oratoire en privé comme en public, est pris de court lorsqu'il se trouve en situation de tête à tête. En allant au plus profond des choses, son récit tangue. Comment dire, raconter avec une extrême précision quand les souvenirs les plus lointains se transforment au fur et à mesure de leur mise en mots. L'épreuve est alors d'accepter que la mémoire puisse divaguer hors des sentiers battus et des images convenues : le témoignage change le témoin et celui qui l'écoute, silences compris. Le récit se déroule selon un ordre chronologique mais chaque " chapitre " peut aussi se lire comme un fragment insulaire, intelligible en soi et pourtant relié aux autres. Récit en archipel d'une vie singulière, bouleversée comme tant d'autres, s'attachant aux traces, aux indices, aux petits signes. Le récit de la vie de Robert Créange est constellé d'anecdotes, relatées non sans saveur et sans humour mais il énonce dans un même élan une édification et une déconstruction de soi. Le maître mot de cette histoire, c'est la fidélité sans faille à un engagement tôt contracté. Ce récit peut aussi se lire comme une invitation à questionner sa propre histoire, ce qui lui donne sens et consistance

02/2023

ActuaLitté

Roman d'amour, roman sentiment

Mon Lion

Rubie a un rêve : réussir le Conservatoire de Paris pour devenir actrice. Mais la vie là-bas étant chère, et son travail de serveuse ne suffisant pas, elle tombe dans l'univers de la prostitution. Cléandre est un barman, ancien drogué, lassé de son couple. Il fume pour échapper à ses angoisses, elle, prend des anxiolytiques. Ces deux personnages vont essayer de vaincre leurs démons, entre crises d'angoisses et délires hallucinatoires, à l'aide de la plus merveilleuse des drogues : l'amour. Comme une nouvelle échappée belle.

10/2021

ActuaLitté

Non classé

On 'Nominal Non-Predicating' Adjectives in English

The study tries to show - on the basis of a large collection of data - that the labelling of adjectives such as environmental, nuclear, linguistic, urban as 'nominal, non-preicating' does not adequately account for observable language behaviour. 'Lexicalized' terms such as polar bear behave like unitary nouns, but otherwise these adjectives can well be found in predicative position ; they may also accept adverbial modification. Various syntactic tests demonstrate that attempts to explain predicative occurrences as resulting from ellipsis, from Head Noun Deletion, fail in a large number of cases. The conclusion reached in this thesis is that the adjectives in question cannot generally be considered 'attributive-only'.

12/1987

ActuaLitté

Policiers

Mon comte est bon

Le nettoyage d'un portrait, acheté dans une vente publique lilloise, révèle une signature de Greco. Cette signature est-elle autographe ? S'agit-il d'un Greco authentique ? Pour le savoir, son acquéreur, le marchand de tableaux déjà campé par l'auteur, se rend à Tolède et à Madrid. Le conservateur du Prado auquel il présente la toile est assassiné peu après sa visite. Lui-même sera l'objet d'une tentative de meurtre... Parallèlement à ce récit mouvementé, on lira des extraits du journal de Francisco Preboste, le fidèle collaborateur du maître tolédan. Dressant le contexte historique dans lequel le portrait a été peint, ils feront découvrir au lecteur un important secret que le marchand lui-même ne connaîtra sans doute jamais.

09/2019

ActuaLitté

Littérature française

Mon con d'chien

"Putain qu'est-ce qu'on va lui raconter à la zine, déjà qu'elle nous fait chier avec la zique qu'elle dit toujours qu'on joue trop fort la nuit... Et voilà que ce con d'chien il a étendu le chien à la zine, qu'est-ce qui t'a pris toi con d'chien d'avoir shooté le caniche à la zine, y t'a foutu les boules ou quoi?"

04/2010

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté