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Il y avait un jardin...

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Il y avait un jardin...

Au temps de Jésus, les femmes n'ont pas la parole, elles sont un simple élément du décor. Pourtant, le Fils de Dieu les regarde, les voit, leur parle et en fait même des "disciples" . Il marche, elles le suivent. Il parle, elles lécoutent. Et inversement. Elles ont besoin de lui ? Il s'approche. Ensemble, ils dialoguent. Jusqu'à la fin, connues ou anonymes, avec une foi humble et insistante, elles sont présentes : des femmes qui pleurent au passage du Christ sous le poids de la Croix, qui sont au pied du gibet, jusqu'aux porteuses d'aromates du dimanche matin à qui l'ange annonce que la promesse est tenue, que le Christ est ressuscité, et elles croiront. Les hommes ont largement commenté la Semaine sainte. Pourtant, il y a une façon féminine d'approcher le Christ avec liberté, de parler d'amour, de pardonner, d'ouvrir les bras à ce qui vient de fragile, d'agréable et de désagréable. AUTEURS Marie-Laure Choplin, Anne Ducrocq et Laurence Nobécourt se sont penchées de toute leur foi, avec leur écriture forte et personnelle, sur les trois jours du Triduum pascal. Trois jours saints entre tous où le chrétien est invité à quitter sa "petite biographie" pour n'être plus que disciple. Formatrice et animatrice d'ateliers, Marie-Laure Choplin a notamment publié Un coeur sans rempart (Labor et Fides, 2018) et Jours de Royaume (Labor et Fides, 2021). Anne Ducrocq partage sa vie entre l'écriture et la spiritualité. Elle est l'auteur de nombreux livres, dont Méditations sur la vie avec Christophe André (Gründ, 2016). Ecrivain et poète, Laurence Nobécourt a publié de nombreux ouvrages, dont Le chagrin des origines (Albin Michel, 2019) et Opéra des oiseaux (Grasset, 2022).

02/2024

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Littérature française

Un vrai jardin

"Je pénétrai sans méfiance, c'était un vrai jardin ; dès la grille on voyait que la terre existait. Puis la grille se ferma doucement et l'on était dans le jardin. Dehors et assez loin, les gens allaient à la guerre. Quelques bombes tombaient et secouaient la toile de tente. Il y avait longtemps qu'on ne l'appelait plus le ciel parce que d'ici-bas on le voyait se déchirer et s'effranger au-dessus des murs. La terre sentait bon. J'avais un nom. La ville avait un nom, et tout le monde en avait un sauf le jardin qui s'appelait seulement le jardin parce qu'il n'y en avait qu'un". H. C.

07/1998

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Jardinage

Pour un jardin vivant

Jardin sauvage ou structuré, fleuri ou nourricier, pour jouer ou pour rêver... Il y a forcément un jardin qui vous convient ! Mais par quoi commencer pour faire de cet espace un lieu de vie à part entière ? Dans ce livre, écrit par un jardinier amateur pour les jardiniers amateurs, Stéphanie Dessy vous guide, étape après étape, depuis les premières réflexions jusqu'à la conception en passant par le plan. Pour nourrir votre créativité, elle vous propose des exemples de réalisations, des avant-après, des sélections de fleurs en fonction des saisons... Et parce que nos jardins doivent être un lieu d'accueil du vivant et de la biodiversité, vous trouverez dans cet ouvrage tous les conseils pour protéger les espèces végétales et animales déjà présentes et accueillir de nouvelles venues. A la fois livre d'inspiration et guide pratique, Pour un jardin vivant vous donne toutes les clés pour imaginer et construire un jardin qui vous ressemble.

03/2024

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Un jardin pour l'éternel

Tout a commencé en Champagne lors de l'offensive menée par Joffre. Durant l'attaque, Pierre-Ezéchiel Séguier eut la moitié de sa jambe fracassée. Il fallut l'amputer à l'intérieur d'une tente pleine de boue, de sang, de membres déchiquetés. " Si l'on attend l'ambulance, vous risquez d'y laisser votre peau ", conclut le chirurgien après un bref examen. " Je suis fait au fer et au sang ", rétorqua le blessé avec la raideur de ceux qui méprisent les faiblesses du corps et de l'âme. L'opération fut expédiée, après qu'on l'eut forcé à avaler un verre d'eau-de-vie. Lorsque le membre fut sectionné d'un coup de scie sec et précis, la moitié du cigarillo qu'il tenait entre ses dents tomba : il n'avait pas concédé à la douleur le moindre gémissement. Echappant à la boucherie de la guerre de 14-18, hanté par les charniers qu'il garde en son cœur, Pierre-Ezéchiel Séguier devient un fou de Dieu. Le fier Cévenol, de retour chez lui, s'en remet à l'Eternel. D'une combe, où mourut sacrifiée une centaine de camisards, le fermier tente, dans une folie digne de celle qu'il a vue sur les champs de bataille, de bâtir un jardin d'Eden. Et dans ce temple naturel, il faudra bien qu'il dresse une croix... qui ne le conduira pas où il le croyait.

04/1999

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Un Jardin pour l'Eternel

Profondément marqué par l'enfer de la Grande Guerre, Pierre-Ezéchiel Séguier, infirme, revient au pays. Au maire, son ami qui le fait accueillir en héros, il demande de lui céder enfin cette combe qu'il convoite depuis l'enfance et se voit exaucé. Ainsi hérite-t-il, selon l'avis de tous, d'"un bas-fond où il ne pousse que des pierres "... Alors quel est le mystérieux motif de son attirance pour ce lieu hanté par les luttes des camisards au XVIIIe siècle ? Pourquoi y fuit-il sa ferme et ses semblables ? Quelle obsession l'appelle si fort du fond de cette nature désolée et sauvage ? Et que dire encore de l'acuité grandissante de ses sens, aussi nouvelle qu'inexplicable ? Pareil à Jacob et tant d'autres humains avant lui, Pierre-Ezéchiel est aux prises avec l'Ange, avec Dieu, en butte aux horreurs vécues, à sa souffrance béante. Il arpente "le silence éternel des espaces infinis" où, entre précipices et hauteurs célestes, il est impossible de prévoir lesquels finiront par le recueillir... Ce grand roman de Jean Carrière au style remarquable nous plonge autant dans l'âpre beauté des paysages cévenols que dans l'intimité d'une âme que l'Eternel semble mettre à la question.

04/2022

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La stratégie de la main invisible

Il n'y a jamais eu qu'un seul chef des services de la propagande allemande en France occupée : le major Heinz Schmidtke, unique haut responsable militaire allemand en poste à Paris pendant toute cette période. Et, paradoxalement, aucune biographie de ce personnage n'existait à ce jour. Cet oubli historique est enfin réparé. Si le grand public a plutôt retenu le nom d'Otto Abetz, qui dépendait des Affaires étrangères du Reich, Heinz Schmidtke fut le véritable maître du système mis en place par le ministre de l'Education du peuple et de la Propagande, Joseph Goebbels. Il avait sous sa responsabilité la surveillance, la censure et l'orientation de toute la vie intellectuelle, culturelle et politique française. La rédaction de cet ouvrage a été rendue possible grâce à la redécouverte des archives secrètes de la propagande allemande, conservées au service départemental de Bourges. Ces documents confidentiels, courriers, directives, comptes rendus et rapports réservés à un usage strictement interne aux autorités allemandes révèlent tout un système de communication jusque-là méconnu.

02/2023

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