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Il était une fois dans les Amériques

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Littérature anglo-saxonne

Il était une fois dans les Amériques

Il était une fois dans les Amériques , trois récits du génial David Grann à la suite. Plusieurs histoires où l'invraisemblance du réel défie les lois de la fiction, du Guatemala à Cuba, jusqu'au coeur de la forêt amazonienne. The Yankee Comandante En s'emparant d'un pan méconnu de l'histoire de la révolution cubaine, David Grann raconte le destin tragique de W. A. Morgan, le comandante yankee. Mêlant récit de guerre et épopée politique, espionnage, trahison fratricide et histoire d'amour, il dresse le portrait du cow-boy espiègle, personnage complexe qu'on croirait échappé d'un roman d'Hemingway. Un ami témoigne : "Jack Kerouac était encore en train d'imaginer ce que serait une vie sur la route, quand Morgan était déjà en train de la vivre. ' Chronique d'un meurtre annoncé Lorsqu'en 2008, mandaté par l'O. N. U. , le juge Castresana atterrit au Guatemala et s'empare de l'affaire du meurtre de Rodrigo Rosenberg, il ne se sait pas qu'il s'apprête à ouvrir une véritable boîte de Pandore. Dans un pays où le complot est la règle et la corruption une éthique, la suspicion règne. Par une minutieuse reconstitution des faits, David Grann démontre que le crime s'accommode autant de vrais mensonges que de fausses vérités. Enquête sur un homme dont la voix devient d'autant plus gênante qu'il est mort. Une machination tout droit sortie d'un roman de John Le Carré. La Cité perdue de Z Dans ce volume sud-américain, réédition du grand classique de David Grann adapté par James Gray. L'histoire fascinante et dramatique de Percy Fawcett, explorateur parti à la recherche d'une civilisation au milieu de l'Amazonie.

05/2025

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Il était une fois Barack Obama

En 2008, l'Amérique élit Barack Obama, le premier Afro-américain à présider à la destinée de la plus grande puissance du Monde. Au-delà du caractère historique de son élection, Barack Obama doit réparer les dégâts causés par huit années de règne désastreux de George W. Bush. Tant au niveau interne qu'international, cet homme dont le charisme planétaire rappelle John Fitzgerald Kennedy, est arrivé en sauveur d'une Amérique engluée dans l'une des plus grandes dépressions économiques de son histoire et de plus en plus abominée pour sa politique impérialiste destructrice. Jamais dans l'histoire, le monde n'a tant attendu d'un seul homme. Barack Obama mène la rupture avec la " diplomatie du cow-boy " pratiquée par G. W. Bush, renoue le dialogue et assainit les rapports entre l'Amérique et le reste du Monde. Il posa ainsi les bases d'une "Nouvelle Amérique" , celle qui réconcilie l'Amérique avec elle-même rappelant aujourd'hui plus que jamais que "la race n'est pas une fatalité, mais incontestablement un espoir pour tous ceux qui luttent pour l'égalité entre les personnes de toutes races et de toutes couleurs" , et celle qui respecte les autres.

05/2016

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Il était une fois Isabelle la Catholique

En 1492, Isabelle de Castille et son époux FerdinandA II d'Aragon mettent fin à la domination musulmane avec la prise de Grenade, dernier royaume musulman d'Espagne. Cette même année, la reine finance le voyage de Christophe Colomb à la découverte de l'Amérique. Le récit de la vie d'Isabelle la Catholique est animé par 7 voix et accompagné de 30 morceaux de musique classique. - Racontée par Marie-Martine Bisson - Dès 7 ans - CD présenté dans un coffret digipack avec un livret de 16 pages - Durée : 46 minutes - Avec les voix de Philippe Ariotti, Marc Brunet, François Cognard, Brigitte Lecordier, Sylvain Lemarié et Hélène Vauquois. - Le récit et les dialogues sont illustrés avec les musiques de Albinoni, Bach, Beethoven, Bizet, Boccherini, Borodine, Debussy, Delibes, Dvorak, Grieg, Mozart, Pergolese, Saint-Saëns, Tchaikovski, Telemann et Vivaldi.

10/2021

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Littérature française

Sept fois sept jours

Emmanuel d'Astier (1900-1969) a vécu à peu près toutes les phases de la dernière guerre. Il était en juin 40 officier de marine ; un ordre l'a fait regagner sa base navale de Saint-Nazaire et, après une défense dérisoire, partir à son tour avec cinq hommes et finir la guerre dans l'oisiveté apathique de Port-Vendres. Au seuil de cette même guerre, d'Astier "respirait le moment" . En réalité, c'est dix mois plus tard que sa vie fut forcée par les événements. Son rapport avec les hommes, jusque-là nonchalant, se trouva vraiment établi. La Résistance créa ce contact, en même temps que lui-même était l'un des premiers à créer la résistance. La Résistance en France, Londres, l'Amérique, Alger, la Libération, d'Astier a tout vu, tout pratiqué, toujours à un poste de commandement ; toujours prenant, avec autant de sérieux dans l'acte que de désinvolture aiguë dans le jugement, ses responsabilités et ses risques. Qu'importe que, à la fin, l'amertume l'emporte. Ce n'est qu'amertume de saison, une cendre passagère. Le septième jour est toujours le plus décevant ; mais le huitième jour ouvre sur l'avenir : le temps n'est plus de mesurer, mais d'entreprendre, en songeant que le progrès se poursuit à la petite semaine.

06/1961

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Etats-Unis (XXe et XXIe siècle

C'était Booker T. Washington

Quand bien même les Afro-Américains subissaient des injustices de la part des populations blanches, Booker T. Washington avait privilégié l'universalisme au communautarisme en vue de la dignité parla formation et l'autonomie économique. Il était l'un des rares Noirs à avoir réussi à dépasser la différence des couleurs dans le Sud de l'après-guerre civile. Son objectif avait consisté à parvenir à l'égalité sociopolitique entre les Blancs et les Noirs, dans une Amérique pourtant sous tension raciale. En dépit de moult critiques, WEB Du Bois avait fmi par admettre le statut de Booker T. Washington en tant que leader à la fois racial et national, l'ayant décrit comme " le seul porte-parole reconnu de ses dix millions d'amis et l'une des figures les plus remarquables " dans une nation de soixante-dix millions d'habitants. En plus, il était largement considéré comme la principale voix des anciens esclaves et le Noir américain le plus puissant de 1895 jusqu'à sa mort en 1915 au point d'avoir été reçu officiellement à la Maison Blanche par le président Theodore Roosevelt. Cette réception aurait-elle préfiguré la banalisation des Noirs dans la haute fonction publique des Etats-Unis (Colin Luther Powell, Condoleezza Rice, Charlotte Moton Hubbard...) et la victoire en 2008 de Barack Hussein Obama à l'élection présidentielle, ainsi que l'avènement de Kamala Harris ?

10/2024

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Paris était notre maîtresse

La nouveauté heurte. Elle n'est pas toujours perceptible. C'est souvent dans l'ombre qu'ont vécu les inventeurs et les précurseurs. On les a déclarés rêveurs et amuseurs. Ils ont eu la vie dure. L'inattention, le rejet, c'est le sort qu'ont subi les Américains de la Génération perdue, Lost Generation. Les plus remarquables n'ont peut-être jamais été connus. Ils ont disparu dans la nature. Les uns sur un matelas sale. D'autres dans des virées solitaires et des sauts dans le vide sans témoin. Eux seuls ont perçu leur originalité, leur nouveauté et leur misère. Ils étaient courageux, brutaux, moqueurs. Connus ou inconnus, les auteurs et acteurs de la Génération perdue ont voulu caractériser la condition humaine d'une époque, celle des années 20 et 30. Il y avait chez eux du sublime, de la jouissance, de l'orgueil et de la résignation. L'art et la littérature n'ont été qu'un aspect de leur vie. Ils avaient aussi beaucoup besoin d'action. Action et écriture se conjuguent bien. Les Américains de Paris des années 20 et 30 ont renouvelé le genre littéraire. Ils n'avaient rien de surréaliste et de dadaïste comme les Européens. Ils ont créé un fonds et un style qui correspondaient mieux au changement d'époque. Sous un aspect fantasque, blasé, ironique, ils ont décrit une part de l'humanité des temps modernes. On pourrait les résumer ainsi : -Qui êtes-vous ? -Je me cherche. -Où allez-vous ? -Je me le demande. -Que signifie votre vie ? -Rien. A leur retour aux Etats-Unis, ils portent sur leur pays un sentiment opposé à celui qui les a fait partir. Ils ne désirent alors rien de plus que de réintégrer la société américaine. L'Amérique du temps vit dans la démesure. Elle surpasse en créativité toutes les sociétés du monde d'alors. Elle a changé d'esprit. Elle juge maintenant ses expatriés acceptables. Eux le lui rendent bien. Ils se fondent avec délice dans la nouvelle Amérique et deviennent de good Citizen. Ils sont lus. Quelques-uns sont nobélisables. Beaucoup exercent des activités commerciales, éditoriales et autres. La plupart ont écrit quelques lignes sur la France à la fois de façon plaisante puisqu'ils parlaient de leur jeunesse, mais aussi avec de sévères critiques envers un pays qui les avait tant affligés par sa vétusté, sa saleté et son immobilisme. Ils ont aussi rempli leur vie d'autre chose que de papier. Ils ont multiplié les fugues, couru le monde, participé aux événements du temps, bref brûlé la chandelle par les deux bouts. Ils ont eu, plus que d'autres peut-être, le sens de l'insignifiance des choses et de leurs personnes. La mort compte moins quand on est dans l'action et qu'on a le sens de la dérision.

07/2021

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