Recherche

Histoire de France à pleines dents

Extraits

ActuaLitté

Histoire de la gastronomie

Histoire de France à pleines dents

Quel sont les liens entre Charlemagne et le miel, Catherine de Médicis et l'artichaut ? Entre le cassoulet et la guerre de Cent Ans ou bien entre les prunes et la Deuxième Croisade ? Les aliments ont leur histoire et leurs légendes, intimement liées à la grande Histoire. Tel est le parti-pris des deux auteurs - l'un fromager, l'autre historienne -, qui nous invitent à un passionnant voyage gastronomique pour mieux revisiter le récit national. Notre cuisine est le fruit de multiples influences : pensons au vin romain, aux macarons italiens, au croissant autrichien ou encore à la choucroute mongole. La nourriture, depuis toujours au coeur d'enjeux politiques et culturels majeurs - comme l'attestent la "poule au pot" d'Henri IV ou le "pain de l'Egalité" des Républicains -, en dit long sur une société. Nos pratiques alimentaires contemporaines sont également questionnées : le végétarisme, l'engouement pour les légumes oubliés ou encore l'enthousiasme collectif pour le couscous. Un livre riche et alléchant, à déguster lentement ou à dévorer d'une seule bouchée.

09/2019

ActuaLitté

Ouvrages généraux

Histoire de France à pleines dents

Quels sont les liens entre Charlemagne et le miel ? Entre le cassoulet et la guerre de Cent Ans ou bien entre les prunes et la deuxième croisade ? Les auteurs nous invitent à un passionnant voyage gastronomique pour mieux revisiter le récit national. Notre cuisine est le fruit de multiples influences, du vin romain à la choucroute mongole. La nourriture, au coeur d'enjeux politiques et culturels - comme l'attestent la "poule au pot" d'Henri IV ou le "pain de l'égalité" des Républicains -, en dit long sur une société. Notre alimentation contemporaine est également questionnée : le végétarisme, l'engouement pour les légumes oubliés ou encore l'enthousiasme collectif pour le couscous. Un livre riche et alléchant, à déguster lentement ou à dévorer d'une seule bouchée.

03/2023

ActuaLitté

Non classé

Une histoire du cinéma français

Avec les années 60, le cinéma français entre pleinement dans la modernité. A bout de souffle de Jean-Luc Godard et la Nouvelle Vague dans son ensemble sont passés par là, ouvrant la voie vers des approches inédites et personnelles de concevoir le 7e art. Avec le cinéma "enchanté" de Jacques Demy, la singularité, déjà, d'Alain Cavalier, celle de Georges Franju, et le travail d'expérimentation que poursuit Alain Resnais avec L'Année dernière à Marienbad et Muriel, la formule "cinéma d'auteur" prend plus que jamais tout son sens. Mais cela serait vite oublier, si ce n'est l'essentiel, tout un pan de notre cinéma. Fidèle à sa tradition, la France confirme dans la décennie 60 la vitalité d'un cinéma classique et populaire de qualité : Gérard Oury triomphe avec Le Corniaud et La Grande Vadrouille, Henri Verneuil fait dans le grand spectacle avec Week-end à Zuydcoote et Le Clan des Siciliens, Philippe de Broca immortalise Jean-Paul Belmondo en aventurier charmeur dans L'Homme de Rio. Et puis, il y a Le Trou, le dernier chef-d'oeuvre de Jacques Becker, le retour de Bunuel en France pour Le Journal d'une femme de chambre et Belle de jour, Jean-Pierre Melville à son meilleur... Toute la richesse des années 60 est bel et bien là, dans la coexistence de tous ces cinémas, du plus exigeant au plus populaire. Qui plus est, dans une période en pleine effervescence, coincée entre la fin de la guerre d'Algérie et la déflagration de Mai 68, le cinéma français, plus que jamais, va se faire le témoin de l'évolution des moeurs et des problématiques politiques de l'époque, quitte à prendre position et à s'engager. Tour à tour critique musique et cinéma, auteur pour la télévision et producteur radio, Denis Zorgniotti enseigne désormais l'Histoire du cinéma à 3IS Nantes. Diplômé en études cinématographiques et enseignant, Ulysse Lledo est critique de cinéma.

06/2022

ActuaLitté

Non classé

Une histoire du cinéma français

Une histoire du cinéma français se présente comme une série d'ouvrages, classés par décennies successives (des années 30 à nos jours) pour offrir au lecteur un panorama complet du cinéma français. Pour chaque année sont mis en avant les films majeurs, un grand réalisateur, une actrice et un acteur, ainsi qu'un grand dossier thématique abordant pour le cinéma les questions essentielles de la période. A travers ces analyses, et la mise en perspective des oeuvres et des artistes dans un contexte historique, social, politique et même technique, ce livre se veut le récit pertinent – et à l'occasion, impertinent ! – de l'histoire, riche mais encore trop méconnue, de notre cinéma. Tome 4 : 1960-1969 Avec les années 60, le cinéma français entre pleinement dans la modernité. A bout de souffle de Jean-Luc Godard et la Nouvelle Vague dans son ensemble sont passés par là, ouvrant la voie vers des approches inédites et personnelles de concevoir le 7e art. Avec le cinéma "en-chanté" de Jacques Demy, la singularité, déjà, d'Alain Cavalier, celle de Georges Franju, et le travail d'expérimentation que poursuit Alain Resnais avec L'Année dernière à Marienbad et Muriel, la formule "cinéma d'auteur" prend plus que jamais tout son sens. Mais cela serait vite oublier, si ce n'est l'essentiel, tout un pan de notre cinéma. Fidèle à sa tradition, la France confirme dans la décennie 60 la vitalité d'un cinéma classique et populaire de qualité : Gérard Oury triomphe avec Le Corniaud et La Grande Vadrouille, Henri Verneuil fait dans le grand spectacle avec Week-end à Zuydcoote et Le Clan des Siciliens, Philippe de Broca immortalise Jean-Paul Belmondo en aventurier charmeur dans L'Homme de Rio. Et puis, il y a Le Trou, le dernier chef-d'oeuvre de Jacques Becker, le retour de Bunuel en France pour Le Journal d'une femme de chambre et Belle de jour, Jean-Pierre Melville à son meilleur... Toute la richesse des années 60 est bel et bien là, dans la coexistence de tous ces cinémas, du plus exigeant au plus populaire. Qui plus est, dans une période en pleine effervescence, coincée entre la fin de la guerre d'Algérie et la déflagration de Mai 68, le cinéma français, plus que jamais, va se faire le témoin de l'évolution des moeurs et des problématiques politiques de l'époque, quitte à prendre position et à s'engager.

06/2022

ActuaLitté

Actualité politique internatio

La TVA, son histoire, ses crises

L'histoire de la TVA, des origines et son invention par maurice Lauré, puis sa création en France par Valéry Giscard d'Estaing, enfin sa quasi généralisation dans le monde-à l'exception des Etats Unis. Au delà de ses atouts et de son efficacité, qu'en est-il de ses défauts réels ou supposés ; des défis auxquels elle doit faire face, l'évasion et la fraude, une perte évaluée à plus de 60 milliards d'? pour le budget de l'union Européenne. Focus sur les fraudes massives à la Tva ; les fameux carrousels ; la fraude à la TVA sur les quotas de carbone, et en pleine actualité, l'opération Amiral .

03/2025

ActuaLitté

Empire colonial

Une contre-histoire de la colonisation française

Vis-à-vis de la France, la génération actuelle a pour mission d'inventer une nouvelle formule de gouvernement. Une formule qui convienne à un vieux pays devenu soudainement multiracial et multiconfessionnel. Une formule qui embrasse les nouvelles réalités démographiques sans casser la société. Une formule gagnante qui assure la puissance, le bonheur collectif et la prospérité. Pour l'instant, cette formule n'existe pas, même si tout le monde fait semblant que tout va bien. Les alarmes sonnent mais l'équipage se saoule sur le pont et chante en coeur que la République Française a réponse à tout. Ni les Français de souche, ni les Français de branche n'ont vocation à participer à un naufrage collectif. Pourtant, les chances sont grandes pour que les jeunes qui ont aujourd'hui entre vingt et trente ans assistent ou participent même à la dislocation de la France. Il leur appartient de conjurer le sort pour ne pas être la génération-fléau, celle qui a vu venir le danger et n'a rien fait, celle qui a préféré cracher dans la soupe au lieu de préserver l'héritage. Je suis sérieux, les ingrédients sont là soit pour une guerre civile, soit pour un lent détricotage de la nation française, écartelée entre les égoïsmes minables des uns et des autres. Pour paraphraser Fanon, cité en exergue de ce propos : le contexte est opaque, mais la mission est claire. Elle est évidente même. Elle fait peur surtout, car il n'existe pas de formule sur étagère pour régler le problème. D'où la tentation de fuir vers le passé à la recherche de coupables parmi les morts et les disparus. On n'y risque rien car un cadavre ne rend pas les coups de pied. Il comparaît silencieusement devant le tribunal de la mémoire qui tient session chaque jour, samedi et dimanche compris. Poussés par leurs aînés, les jeunes d'aujourd'hui mordent à pleines dents dans la chair en décomposition. D'un côté, ceux qui accusent leurs ancêtres d'avoir colonisé. De l'autre, ceux qui se présentent comme les victimes du colonialisme, bien qu'ils n'aient jamais vu de colon de leur vie, ni connu ne serait-ce qu'une seule journée d'occupation étrangère. Dans les deux cas, ce sont des lions en puissance qui se comportent comme des hyènes. Ils sont poussés au crime par des lobbies puissants. Ces officines de la haine chantent en choeur la nécessité du devoir de mémoire. Elles ont intérêt à porter à incandescence la question coloniale. Telle une nuée de criquets, partout où elles passent, elles amènent la dévastation. Elles ne fécondent rien, elles pondent la dissension et le malaise entre les frères et les soeurs...

01/2023

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté