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Herbert Lieberman

Extraits

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Policiers

La fille aux yeux de Botticelli

A l'église Saint-Stéphane d'Istanbul, un Botticelli est lacéré. A Londres, Munich et Paris, le Dr Manship, curateur du Metropolitan de New York, est frappé par un inconnu qui s'enfuit. A Rome, des toiles de maîtres sont mutilées, et des femmes retrouvées mortes et sans yeux. Quelqu'un, c'est clair, refuse que la plus grande rétrospective Botticelli de tous les temps se tienne aux USA... Hautain et solitaire en son palais du Quirinal, le comte Ludovico Borghini se frotte les mains et rêve de puretés inquiétantes. Entre le comte et le docteur, le duel s'engage.

12/1996

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Policiers

Le vagabond de Holmby Park

Errant comme à son habitude dans Holmby Park, un vagabond croit un soir assister au viol, voire au meurtre d'une femme. Il a vu des arbres bouger fort et entendu des cris, mais comment pourrait-il l'affirmer alors que, depuis son enfance, on le prend pour un demeuré et ne croit à rien de ce qu'il dit ? L'ennui, c'est qu'il tire de cette scène confuse la conclusion que la victime n'est autre que sa sœur, Frankie, depuis longtemps disparue, et veut retrouver ses assassins, y compris avec l'aide de la police. Ce qui a de quoi faire sourire. Sauf certains membres d'un gang qui, eux, ne savent que trop bien de quoi il retourne en réalité.

06/2003

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Policiers

La traque

Sur un fond très largement et très précisément documenté - la guerre acharnée et terriblement meurtrière que se livrent agents israéliens et réfugiés nazis au Paraguay - Herbert Lieberman installe d'emblée un suspense haletant. Au cœur de la forêt indienne, dans les domaines somptueux appartenant à l'Ordre noir , les deux camps s'affrontent dans une lutte à mort. Part l'auteur de Nécropolis, Grand Prix de littérature policière 1978.

06/1995

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Policiers

Le concierge

Sis au cœur de New-York, le Parker Regency Hôtel accueille depuis des années les clients les plus riches et huppés de la planète -ceux auxquels on ne refuse aucun passe-droit. Roger Paladine, grand patron du service de la conciergerie le sait, et y veille. Il ne faudrait surtout pas que, froissé, l'habitué s'imagine aller ailleurs. Mais que faire lorsque, après avoir fermé les yeux, on se retrouve embringué dans quelque chose qui ressemble à un meurtre ? Tel est le problème auquel Roger Paladine, le brillant, le subtil " Concierge " du Parker Regency, est confronté lorsque le comte Gobbo est retrouvé pendu dans les caves de l'hôtel.

05/1998

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Disques et K7 Littérature

Nécropolis

New York, la "cité des morts", regorge de crimes atroces et de fous dangereux. Paul Konig, médecin légiste, règne sur une morgue où défilent cadavres, enquêteurs et familles en deuil. Autopsiant, disséquant, analysant chaque indice sur les macabres dépouilles qui lui sont confiées, il observe la terreur qui baigne la ville... Une ville dans laquelle sa fille, Lolly, a mystérieusement disparu depuis quelques mois. Herbert Lieberman atteint le sommet du roman noir.

03/2021

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Policiers

La nuit du solstice

Chaque année, à l'époque du solstice d'été, un dangereux maniaque, juché sur les toits de New York, fait tomber un énorme bloc de béton sur les foules qui se pressent à la sortie des théâtres et des cinémas. Crimes parfaits, bien sûr. Pas de piste, pas de mobile apparent. Mooney, parfait prototype de gros flic, dur et débonnaire, absolument rebelle à la hiérarchie, mène l'enquête, dans une ville à l'aspect de bocal putride, parmi les obsédés de la pire espèce, les déchets les plus asociaux qui hantent les bas-fonds de la mégalopole. Très vite, l'enquête va se fondre dans cette atmosphère lourde, insidieuse, rapidement terrifiante, à l'égal de l'extraordinaire Nécropolis qui avait fait la gloire d'Herbert Lieberman (Grand Prix de littérature policière en 1978). On fera connaissance avec deux des plus étonnants personnages que le roman policier américain ait inventés : Watford, l'éternel assisté, vaincu par l'abjection urbaine, qui s'injecte des saloperies, des excréments, toutes sortes de rebuts, sous sa propre peau, perdu dans une manière d'extase rédemptrice : et le richissime Peter Quintius, fleur du gratin, comme l'autre est une fleur de la fange. Quintius élève des cactus dans une serre, des nightbloomers, ainsi appelés parce qu'ils fleurissent la nuit : le maléfice répondant ainsi, page après page, à l'immondice et à l'horreur, comme autant de variations nocturnes et ténébreuses, jusqu'à la nausée. Rarement suspense aura été plus violent et plus maîtrisé, les personnages plus fascinants, la vision d'un auteur de romans noirs plus précise, à l'instar des maîtres de l'après-guerre, de Goodis à McBain, mais sans doute dans une dimension plus foisonnante, qui permet une plongée mémorable dans un univers en proie aux démons, au sang et à l'ignominie. De la fin du livre, nous ne dirons rien, sinon ceci : à New York, rien ne se passe vraiment comme ailleurs. Quand un tueur disparaît, un autre prend aussitôt sa place. L'horreur ne peut pas s'interrompre, ni la nuit des esprits, ni la peur de chacun.

04/1985

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