Recherche

Guillaume Piketty

Extraits

ActuaLitté

Non classé

Français, libre

Officier des corps francs pendant la drôle de guerre, Pierre de Chevigné (1909-2004) rallia la France libre à la fin de juin 1940 et devint l'un des hommes de confiance du général de Gaulle. Il vécut avec ce dernier l'apothéose de la libération de Paris et fut nommé compagnon de la Libération en 1945. Élu à l'Assemblée nationale sous les couleurs du MRP, haut-commissaire à Madagascar en 1948 et 1949, secrétaire d'État à la Guerre (1951-1954) puis ministre de la Défense nationale en mai 1958, il rompit avec l'homme du 18 juin dont les conditions du retour au pouvoir l'avaient ulcéré. Il bascula alors dans une opposition résolue au magistère gaullien. Adossée à des archives américaines, britanniques et françaises largement inédites, cette biographie apporte des éclairages nouveaux sur les débuts de la France libre au Moyen-Orient, sur les négociations militaires entre Américains et Free French en 1942 et 1943, ainsi que sur les hauts et les bas de la libération du Nord de la France au fil de l'été 1944. De Madagascar en crise à l'Algérie en guerre en passant par l'Indochine tumultueuse, elle parcourt les premières étapes d'une décolonisation française dont Chevigné, à sa manière, incarna les prises de conscience et les fractures. Une histoire d'aventure et de liberté, d'amour et de service, de passion et de rupture.

05/2022

ActuaLitté

Militaire

La Bataille des Ardennes

La dernière folie de Hitler. Durant six semaines, en décembre 1944 et janvier 1945, les Ardennes belges et luxembourgeoises sont le théâtre de combats furieux, dans la neige, la glace, le brouillard et le froid, mettant aux prises les combattants allemands et alliés. Elles sont alors le lieu de hauts faits individuels et collectifs : résistances héroïques dans des villages et des villes en flammes, arrivée providentielle de renforts, chevauchée des chars de Patton, retraite allemande assez étonnante d'efficacité malgré l'épuisement et le moral en chute libre. Le lieu, aussi, de terribles massacres à Baugnez, à Stavelot, à Bande et ailleurs. Le 16 décembre 1944 à l'aube, après plusieurs mois de préparatifs secrets, en un dernier coup de dés, Hitler lance trois armées sur les Ardennes belges et le nord du Luxembourg. Les objectifs de l'opération "Wacht am Rhein" sont clairs : foncer vers l'ouest et franchir la Meuse, s'emparer du port d'Anvers et avancer jusqu'à Bruxelles. Alors, espèrent les nazis, il sera possible de négocier avec les Anglo-Saxons. Le 31 janvier 1945, ces derniers sont de retour sur leur ligne de départ. Ils ont perdu près de 100 000 hommes et un millier de blindés ainsi que plusieurs centaines d'avions, autant de forces qui vont leur manquer cruellement au moment où leur pays sera envahi de toutes parts. Véritable épopée, la bataille des Ardennes a été la plus coûteuse de celles livrées par l'armée américaine en Europe au cours de la Seconde Guerre mondiale.

08/2015

ActuaLitté

ouvrages généraux

La bataille des Ardennes

Le 16 décembre 1944, après plusieurs mois de préparatifs secrets, Hitler tente un dernier coup de dés face aux Alliés. Les objectifs de l'opération Wacht am Rhein dans les Ardennes sont clairs : foncer vers l'ouest, s'emparer du port d'Anvers et avancer jusqu'à Bruxelles. Guillaume Piketty livre un récit captivant de la bataille des Ardennes, qui a été la plus coûteuse en vies, prisonniers et désertions pour l'armée américaine dans l'Ouest de l'Europe au cours de la Seconde Guerre mondiale. Pendant six semaines, soldats allemands et alliés se livrent des combats acharnés dans la neige, la glace, le brouillard et le froid, malgré l'épuisement physique et moral. Le 31 janvier 1945, les Allemands ont perdu près de 100 000 hommes, un millier de blindés et plusieurs centaines d'avions. Autant de forces qui vont leur manquer cruellement au moment où leur pays sera envahi de toutes parts.

02/2023

ActuaLitté

Résistance

Résister

La colère, la honte, le doute, la peur, l'excitation, l'euphorie, la lucidité, le dépassement de soi, la solitude, l'abandon... cette étrange palette des sentiments est celle du vécu résistant qu'a voulu reconstituer l'historien Guillaume Piketty. Carnets, journaux, lettres de prison invitent à ressentir leurs émotions, leurs réflexions, leur motivations. L'intensité qui émane de ces témoignages est saisissante. Tout est dit : la radicalité d'un engagement, la grandeur d'un combat, la force d'une morale. Comment entre-t-on en résistance ? Comment vit-on la clandestinité ? Comment reprendre une vie " normale ", sociale, familiale, après ?

09/2011

ActuaLitté

Militaire

La bataille des Ardennes

Le 16 décembre 1944, à l’aube, après plusieurs mois de préparatifs secrets, Hitler lance trois armées, dont deux de Panzers, sur les Ardennes belges et le Nord du Grand-Duché de Luxembourg. Les objectifs de l’opération "Wacht am Rhein" ("Garde au Rhin") sont clairs : foncer vers l’Ouest et franchir la Meuse, s’emparer du port d’Anvers et avancer jusqu’à Bruxelles. Alors, espèrent les Nazis, il sera possible de négocier avec les Anglo-saxons. Mais le déséquilibre des forces engagées et les conditions météorologiques défavorables aux Alliés qui ne peuvent compter dans un premier temps sur leur aviation ne les empêchent pas de freiner la progression des Allemands. Les forces d’Hitler sont peu à peu sont repoussés. Le 30 janvier 1945, les Allemands sont de retour sur leur ligne de départ. Ils ont perdu plus de 85 000 hommes, 600 chars et des centaines d’avions, autant de forces qui vont leur manquer cruellement au moment où leur pays sera envahi de toutes parts. De leur côté, les Anglo-Américains ont perdu plus de 90 000 hommes, 800 chars et plusieurs centaines d’avions. La bataille des Ardennes fut le théâtre de combats extrêmement rudes. Elle fournit la matière d’une passionnante étude de l’expérience combattante sur le front Ouest au tournant des années 1944 et 1945. Faut-il céder et se rendre ou bien tenir coûte que coûte ? Pourquoi combattre et avec quels moyens ? Comment contre-attaquer pour, finalement, vaincre ?

10/2013

ActuaLitté

ouvrages généraux

En attendant la victoire

Diriger depuis Londres le combat de la France Libre, organiser la France combattante et s'imposer aux Alliés : pour mener à bien ces actions, le général de Gaulle devait impérativement connaître la réalité de la France captive. En témoignent les messages qu'on lui envoie, qu'il adresse en retour, et que les archives ont conservés. Engagement de militaires refusant la défaite, admiration d'anonymes prêts à prendre les armes, missives de résistants historiques exposant les difficultés, parfois inextricables, pour structurer les réseaux et unifier les mouvements, avec des moyens toujours insuffisants, les conflits entre chefs, et jusqu'au sacrifice ultime pour que vive la France de demain... L'occupant nazi et le régime de Vichy se dévoilent dans la terreur et la répression qui les caractérisent, avec leur politique d'extermination des Juifs et l'efficacité meurtrière de la Milice. Mais on découvre, à travers des archives souvent inédites, combien Geneviève de Gaulle, Sartre, Camus, Jean Moulin, Simone Weil, Jean Zay, Léon Blum ou encore l'abbé Pierre, ainsi que des citoyens inconnus, croyaient en la victoire et l'ont rendue possible.

04/2024

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté