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Graham Greene, Georges Belmont, Hortense Chabrier

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Le consul honoraire

L'Amérique du Sud, avec ses sourdes agitations révolutionnaires... Un groupe de guérilleros croit enlever un ambassadeur des Etats-Unis en otage, et n'enlève qu'un consul britannique, " honoraire " de surcroft, qui n'intéresse personne - surtout pas son lointain gouvernement. Dans ce beau et grand roman, la confusion de notre temps se traduit par une tragi-comédie des erreurs. Ce qui ne l'empêche pas d'être gravé à la pointe sèche de cet humour qui est la marque de l'alliage subtil dont est fait le génie de Graham Greene.

09/2003

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Le consul honoraire

Au début des années 1970, l'Amérique du Sud bruisse de mouvements révolutionnaires. Pour attirer l'attention, l'un d'eux décide d'enlever l'ambassadeur américain. Mais il y a erreur sur la personne et les guérilleros capturent à sa place un consul honoraire britannique, de surcroît alcoolique, sans grande importance pour eux, ni pour son pays. De tous ses romans, Le Consul honoraire était celui que Graham Greene préférait. Peut-être parce que sous les atours de la tragi-comédie s'installe peu à peu un drame étouffant. Un drame, où, comme toujours chez l'écrivain anglais, la politique sert avant tout de décor et de révélateur à des personnages égarés à la recherche de leur humanité.

11/2008

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Le consul honoraire

Au début des années 1970, l'Amérique du Sud est livrée à des mouvements révolutionnaires. Pour attirer l'attention, l'un d'eux décide d'enlever l'ambassadeur américain. Mais les guérilleros kidnappent à sa place un consul britannique " honoraire ", alcoolique de surcroît, et sans grande importance pour eux, ni même pour son lointain gouvernement... Il émane de ce roman peuplé de vils personnages une atmosphère étouffante, représentative du monde tel que le voyait Greene. Et des actes manqués, des maladresses incroyables, qui en font une comédie grinçante où la fiction se veut le reflet de la réalité. " Greene estimait que Le Consul honoraire était son meilleur roman, du moins celui qui le dérangeait le moins, juste devant La Puissance et la Gloire. On ne peut que partager son appréciation. " Thierry Clermont

04/2021

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