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Giancarlo Carofiglio

Extraits

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Policiers

Les raisons du doute

Guido Guerrieri est appelé à la prison de Bari pour défendre en appel un prévenu condamné pour trafic de drogue. Reconnaissant en lui Fabio Ray-Ban, l'agitateur fasciste qui fut le cauchemar de son adolescence, il décide de refuser. Or, l'homme clame son innocence: il prétend avoir été dupé par son premier avocat. Et il lui lance: "On raconte que vous ne vous dérobez pas quand la cause est juste. On raconte que vous êtes un type bien." Guerrieri hésite, car les preuves sont accablantes; il sait qu'il est malvenu et dangereux de s'en prendre à un confrère. Mais quand la femme du détenu, d'une beauté stupéfiante, se présente à son cabinet, toutes ses réserves s'évanouissent. Séduit par cet avocat malheureux en amour, féru de boxe et de littérature, le lecteur se laisse entraîner dans une affaire qui lui dévoile les rouages de la machine judiciaire italienne, ainsi qu'une ville aussi animée qu'inquiétante.

03/2010

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Policiers

Les yeux fermés

Guido Guerrieri, avocat à Bari, voit débarquer dans son bureau l'inspecteur Tancredi, accompagné d'une femme en blouson de cuir qu'il prend d'abord pour un officier de police. Il s'agit en fait de sœur Claudia, directrice d'un foyer d'accueil pour femmes battues, et accessoirement professeur de boxe chinoise. Tous deux demandent Guido de se constituer partie civile pour une jeune femme harcelée et frappée par son ex-compagnon, à qui personne n'ose s'attaquer dans cette ville de l'Italie du Sud, car il est le fils d'un puissant magistrat. Guido finit par accepter, conscient de se fourrer dans un guêpier. Et de fait, au fur et à mesure que le procès se prépare, les pressions commencent à s'exercer. Avocats, juges, experts, tous ont un prix, et pour qui connaît le système, il existe toutes sortes de manières de faire dévier le cours de la justice... Guido Guerrieri, le quadragénaire attachant de Témoin involontaire est de retour dans ce roman au style enlevé, nourri des observations de l'auteur sur la machine judiciaire. Carofiglio y aborde des thèmes aussi noirs que la violence, la pédophilie et la prédation avec intensité et humanisme.

04/2008

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Beaux arts

Alessandra Chiffi, Giancarlo Mustich. "Siamo in tre"

Au mois d'août 2017, l'oeil du collectionneur Guillaume Saint-Clair s'arrête sur les dessins réalisés in vivo dans Les rues de Lecce par les artistes Alessandra Chiffi et Giancarlo Mustich. Revenu à Paris, il pariage son enthousiasme avec le galériste Georges Franck qui, à son tour, l'expose à l'historienne et historienne de l'Art, Agnès Callu. Le présent ouvrage rapporte les forces profondes de multi-rencontres triangulaires qui mettent au jour la " pensée-dessin " du couple d'artistes italiens aux " sentiers de la création " inédits. Configuré dans l'imaginaire de chacun, le geste graphique surgit, bondissant, privilégiant, chez elle, des bouquets de figures implorantes sous une ligne cubiste aux prologues hugoliens ; faisant danser, chez lui, dans la verticalité d'escaliers d'inspiration palladienne, des formes usinées de voltigeurs futuristes ; montrant au " Masculin Féminin ", une oeuvre duelle où les traits de chacun s'enlacent unis par une Cosa mentale aux registres esthétiques partagés.

05/2019

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Littérature étrangère

Trois heures du matin

L'histoire d'un père et de son fils, et de leur rencontre. Un bouleversant roman d'apprentissage. Antonio est un étudiant solitaire. Son père, un brillant mathématicien. Leur relation n'a jamais été simple. Au début des années 1980, par un après-midi de juin, ils atterrissent à Marseille. Par un malheureux concours de circonstances, ils vont y passer deux jours et deux nuits sans sommeil. Pour la première fois, les deux hommes doivent apprendre à se connaître. Une quête complexe, à l'ombre de la figure maternelle, magnifique mais insaisissable. Leur chemin, sinueux, parfois joyeux, traverse un Marseille hallucinatoire, des bords de mer spectaculaires et des recoins peuplés de créatures nocturnes. Un voyage aventureux et déchirant. Dans une langue précise, capable de saisir les nuances les plus subtiles, Gianrico Carofiglio livre une histoire inoubliable sur le passage du temps, les illusions et les regrets, sur l'amour.

03/2020

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Littérature étrangère

En attendant la vague

Roberto et Emma sont patients du même psychiatre. Elle paie le traumatisme d’un mariage qui a mal tourné. Lui tente de débrouiller l’écheveau d’un passé nébuleux. D’une séance à l’autre, les souvenirs de Roberto affluent et le font remonter à l’époque heureuse où son père et lui affrontaient les vagues de l’océan sur leur planche de surf. Mais aussi à un passé plus proche et apparemment plus complexe, une vie de clandestinité et de danger pour s’infiltrer, sous de fausses identités, dans des réseaux de drogue d’envergure internationale. Jusqu’au jour où tout a basculé, où ses repères, et notamment le sens du bien et du mal, se sont comme volatilisés. Finira-t-il par surmonter ses démons ? Quant à Giacomo, enfant solitaire, secrètement amoureux de la plus jolie fille de sa classe dont il sent tout à coup la souffrance, il n’a que ses rêves et le chien Scott qui l’y guide pour retrouver le père dont il a été privé trop tôt et parvenir à se construire. La rencontre de ces trois personnages révèlera bien des surprises. Tout au long du roman, le lecteur suivra aussi Roberto durant ses longues promenades dans Rome, au cours desquelles il semble découvrir pour la première fois une ville qu’il habite pourtant depuis bien longtemps.

05/2013

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Policiers

Le silence pour preuve

Les époux Ferrara sont fous d’angoisse : leur fille a disparu depuis six mois, évanouie dans le néant, et les pistes suivies jusque-là n'ont mené à rien. Refusant de se rendre à l’évidence et de voir classer l’affaire, ils veulent charger Guerrieri, avocat assez renommé, d'enquêter sur cette disparition. Après bien des hésitations, celui-ci finit par accepter. Le voilà qui se met à interroger les proches de Manuela, son ex-fiancé, suspect numéro un mais doté d’un alibi de fer, Anita, qui l'a conduite à la gare à la fin du week-end, et puis Caterina et Nicoletta, qui étudiaient avec elle à Rome. La nuit, donnant libre cours à sa mélancolie, Guerrieri aime vagabonder seul dans la ville ou se réfugier dans le bar de Nadia, une femme fascinante au passé ambigu. Pendant plus de la moitié du roman, Guerrieri a l'impression de tourner en rond, les éléments qu'il recueille sont sans importance… Celle qui n'est pas sans importance par contre, c'est la belle Caterina, l'amie qui semble prête à collaborer et même à l'aider, à certaines conditions… Et puis, soudain, la solution arrive comme une douche froide, en regardant simplement là où personne n'avait jamais regardé. Plus détective qu'avocat, donc, Guerrieri n'en est pas moins séduisant, avec sa manie des citations littéraires, cinématographiques et musicales, ses allures de perdant à la Charlie Brown malgré ses succès professionnels, son habitude de confier ses secrets à son sac de boxe…

05/2011

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