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Georges Salines

Extraits

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Romans policiers

Le murmure des âmes perdues

Le commissaire François Delarocha, chef de la brigade de répression du proxénitisme au 36, quai des orfèvres, s'intéresse à une bien étrange affaire, qui sur fond de traffic humain, de drogue et de terrorisme, va le mener sur les traces de son père, "le chat d'oran" et de son histoire familiale. Un polar haletant et vif qui s'inspire de faits réels.

01/2022

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Romans policiers

Par le verbe par le glaive

13 novembre 2015, des attaques sévissent dans Paris. François Delarocha, chef de la BRI est rappelé de toute urgence au 36, quai des Orfèvres. Alors qu'il enfile son gilet de protection, il pense à sa famille en espérant qu'ils sont tous à l'abri. Dans quelques minutes, il sera au Bataclan et devra donner l'assaut...

09/2024

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Biographies

Georges Séféris, mon frère

"Tu es comme l'artisan qui nettoie les vieilles icônes salies par les siècles. Alors se révèle le doux visage dans son auréole d'or vif." La simplicité fervente des mots, l'éclat précis de la comparaison donnent le ton de ce livre et en font deviner la substance : c'est à Jeanne, sa soeur, que s'adresse Georges Séféris, et lui, l'écrivain consacré par le prix Nobel, l'auteur de ces poèmes "écrits dans la vraie couleur, mais enveloppés d'une brume" (Yves Bonnefoy), que les lecteurs français ont découverts en 1963, murmure familièrement sa gratitude envers celle qui a partagé ses grands secrets torturants, chancelé comme lui aux malheurs de l'histoire et aux souffrances de la Grèce, accompagné, dans la plus tendre sollicitude, son effort pour atteindre à l'essentiel et aller au plus loin. Dans ce journal à deux voix, livre d'heures où s'inscrivent, avant la gloire, deux vies parallèles, nous découvrons véritablement Georges Séféris ; au coeur souriant du quotidien ou dans les bouleversements du monde, il est celui qui "ferme les yeux, cherchant le lieu secret où les eaux se croisent sous la glace."

11/1978

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BRI, les formes de l'ombre

Seb, Martial, Djamel, Fabien, Lucas et Samantha font partie de la BRI, l'unité d'intervention de la PJ parisienne. Ces six policiers partagent un métier passionnant, risqué mais surtout très prenant. Entre interventions, entraînements et vie de groupe, la routine n'existe pas dans ce service d'élite surtout quand Nicolai Novic et Sebastian Sdarise, deux dangereux criminels décident de passer à l'action en éliminant leurs rivaux...

05/2021

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Non classé

George Adéagbo

Georges Adéagbo a fait des études de droit à Abidjan, Côte d'Ivoire. En 1967 il part pour la France ou il fait un stage chez Pechiney. Suite au décès de son père, il retourne au Bénin en 1971 pour assumer les affaires paternelles. C'est alors que débute son activité artistique, il commence à écrire des écrits philosophiques et à collecter, dans les rues ou proche de la lagune, de nombreux objets abandonnés ou perdus. Il recueille tout : vêtements, tissus, chaussures, disques, livres, jouets, coupures de journaux, notes écrites, cailloux, paquets de cigarettes, morceaux de plastique. Tous ces objets, chargés d'une mémoire, d'une histoire et tombés dans l'oubli, Georges Adéagbo les organise dans un ordre précis. Georges ne s'approprie pas les objets, ce sont les objets qui le sollicitent. Il dit de lui-même " Je marche, je pense, je vois, je passe, je reviens, je ramasse les objets qui m'attirent, je rentre, je le lis, j'écris des notes. J'apprends1. " La démarche artistique de Georges Adéagbo n'est pas comprise par ses proches, critiqué, incompris, il est pris pour un fou et sera même interné. En 1993 Georges Adéagbo rencontre Jean-Michel Rousset, un commissaire d'exposition, alors collaborateur du marchand d'art français André Magnin également directeur artistique de la Contemporary African Art Collection. Débute ainsi sa carrière artistique, il peut enfin présenter ses " installations " ailleurs que dans sa cour. L'année suivante, il expose à la Saline royale d'Arc-et-Senans. Puis s'ensuivra d'autres expositions en Europe et partout dans le monde. En 1999, c'est la consécration : il expose à la Biennale de Venise et il devient le premier artiste africain à recevoir le prix du jury de la Biennale de Venise2. Il rencontre alors Stephan Köhler, qui deviendra le coordinateur de ses futures expositions3. Trois ans plus tard il participe à la documenta de Cassel orchestrée par Okwui Enwezor4. Avec le temps, ses oeuvres sont plus soignées mais elles restent conforme aux codes de l'art conceptuel. Georges Adéagbo se saisit des éléments clés des sociétés qu'il croise pour construire un libre langage. Observateur implacable de la marche du monde, ses oeuvres pointent les constantes de l'Histoire (le racisme, la pauvreté, la crise, les guerres) et creusent un dialogue souterrain entre sa culture africaine et celles des pays où il est invité à exposer5

04/2021

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Criminalité

Femmes de policier d'élite

Véronique Fauvergue et Catherine Salinas assistent toutes deux en direct sur leur écran de télévision à l'assaut mené conjointement par leur époux, le patron du RAID et le numéro 2 de la BRI, à l'Hyper Cacher, porte de Vincennes à Paris. Mariées à deux policiers d'élite, leur vie et celle de leurs enfants peuvent alors basculer à tout instant. Ce 9 janvier 2015, chaque minute qui s'écoule accroit leur tension : leur époux rentrera-t-il ce soir ? Comment parvenir à mener une vie d'épouse et de mère malgré les absences répétées de leur mari, les dangers qu'il affronte et le risque constant de le perdre ? Comment ont-elles vécu les attentats de 2015 qui ont ensanglanté la capitale, puis toute la France en 2016 ? Comment ont-elles protégé leurs enfants le soir du 13 novembre 2015, qui endeuilla notamment le Bataclan ? Depuis 30 ans, elles sont femme de policier d'élite, mais avant tout femme de policier. Véronique Fauvergue et Catherine Salinas ne se connaissent pas. Chacune à leur tour, elles se confient sur tous ces thèmes à Caroline de Juglart, journaliste à M6, avant de se rencontrer pour la première fois et de partager leurs expériences...

04/2019

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