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Florent Eustache Hessou

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Théâtre

La première dame

Président d'un état démocratique, Lord Conquisto vit sous les transes de son épouse Èva. Ses immixtions dans les affaires publiques sont carnavalesques. Lors d'un remaniement ministériel dont elle récuse les choix, il trouve consolation dans les bras de sa domestique, Dimi. Celle qui est aussi la confidente de sa femme se découvre un destin de Cendrillon. Humiliée, la première Dame organise un coup d'état contre son mari. Satire politique et comédie sentimentale, cette pièce explore la complexité de l'influence occulte des femmes dans les sphères du pouvoir. Une écriture délibérément audacieuse, qui frôle souvent le surréalisme : " Non, un mari que je ne me suis pas donné, mais auquel je me suis offerte, un mari qui s'est livré à l'athlétisme sur mon corps pendant des années. Maintenant que l'architecture s'écroule, il saute vers un corps plus capiteux. Lord Conquisto, tu as boxé ma vie. (...) Tu m'as volée, pillée. La maison de mon cœur a été cambriolée dans tous les sens, dans tous les coins et recoins. Lord Conquisto, tu es le mâle où mon âme a mal. "

04/2004

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Musique, danse

Florent Schmitt

“Dieu que c'est beau ! C'est un des plus grands chefs-d'oeuvre de la musique moderne” s'exclamait Igor Stravinski le 23 février 1912 en découvrant "la Tragédie de Salomé" de son ami Florent Schmitt (1870-1958), déjà célèbre par son Psaume qui avait stupéfié les premiers auditeurs, habitués aux fluidités impressionnistes. Ce compositeur lorrain, si joué à son époque et qui a tenu une place particulière dans la brillante Ecole française de la IIIe République, présente une personnalité très indépendante, au langage à la fois romantique et moderne. Sa vie s'apparente à un roman fait de voyages, d’humour, d’anecdotes et de provocations. Il a écrit dans presque tous les domaines, notamment des pages symphoniques qui offrent un émerveillement de richesses sonores. Cet ouvrage est l’occasion de découvrir un compositeur majeur du début du XXe siècle (au même titre que son ami Ravel, Debussy ou Roussel) ainsi qu’un répertoire français flamboyant et injustement délaissé.

02/2012

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Lecture 9-12 ans

Pierre-Eustache

Je sais que je suis mignon. Avec mes yeux bleus, ma voix fluette, et ce petit corps court sur pattes qui ne demande qu'à grandir. Je sais. Mais je suis Pierre-Eustache de Saintgriffes, un baron ! On ne parle pas comme ça à un baron ! C'est comme si un chihuahua disait à un lion qu'il était vraiment trognon. Ridicule. Inconcevable même.

03/2020

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Cinéma

Jean Eustache

Pour beaucoup, le nom de Jean Eustache est associé à un film mythique ; La Maman et la Putain, dans lequel une génération entière reconnut le ton juste du " discours amoureux " au début des années 70. Chaque fois qu'il est à nouveau présenté au public, La Maman et la Putain voit confirmée sa faculté de bouleverser de nouvelles générations de spectateurs. Jean Eustache est l'un des cinéastes importants apparus dans la mouvance de la Nouvelle Vague. Ce moraliste d'une exigence farouche et d'une indépendance souveraine sut se donner les moyens de réaliser les films qu'il avait envie de faire, même si ceux-ci n'entraient pas toujours dans les standards de la production. Longs métrages comme La Maman et la Putain (1973) ou Mes petites amoureuses (1974), moyens métrages comme Les Mauvaises Fréquentations (1963), Le Père Noël a les yeux bleus (1966) ou Une sale histoire (1977) ; films produits pour la télévision comme Le jardin des délices de Jérôme Bosch (1979) ou Les Photos d'Alix (1980), tournages en 16 mm ou 35 mm, l'œuvre de Jean Eustache, depuis son premier film en 1963 jusqu'à sa disparition en 1981, est ici mise en lumière dans toute sa richesse, sa cohérence et son importance au regard de l'histoire du cinéma français. Sa reconnaissance à l'égard de ceux qu'il appelait ses " cinéastes de chevet " - Dreyer, Mizoguchi, Guitry, Lang, Renoir, Bressan -, sa lucidité, son amour absolu du cinéma dessinèrent son parcours vers une esthétique éminemment personnelle, entre document et fiction, entre la vie et le cinéma.

03/2005

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Cinéastes, réalisateurs

Jean Eustache

Les films de Jean Eustache continuent de nous parler, avec sensualité et gravité. A-t-on jamais vu filmographie entretenir un tel rapport d'intimité avec chacun de ses spectateurs ? Cinquante ans après la sortie de La Maman et la Putain, nous sommes toujours éblouis, éclaboussés et surtout concernés par la modernité du monologue de Veronika. Que s'est-il passé ? Et que se passe-t-il encore pour qu'une nouvelle génération, qui découvre enfin l'oeuvre d'Eustache, longtemps invisible, s'y dévisage à son tour, jusque dans ses questionnements les plus actuels ? Depuis sa disparition en 1981, la figure d'Eustache hante le cinéma français. Philippe Azoury cherche à se saisir de sa complexité comme de son tranchant, dans cet essai qui traverse l'oeuvre tout entière. On ne ressort pas indemne des films d'Eustache. Ils témoignent d'un amour infini pour le cinéma, mais d'un amour si grand qu'il nie son objet. Ils n'en finissent pourtant pas de nous servir d'éducation sentimentale. Auteur d'essais sur Jim Jarmusch, le Velvet Underground, Werner Schroeter, Philippe Garrel ou Jean Cocteau, Philippe Azoury a longtemps été critique de cinéma (notamment pour Libération, Les Inrockuptibles, AOC). Il est aujourd'hui scénariste.

06/2023

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Histoire de France

Florent l'artiflot

Florent Grilleau, né en 1885 à Varrains (Maine-et-Loire), est mobilisé le 4 août 1914 en tant que réserviste. Il est affecté au 266e régiment d'infanterie, il appartient au 6e bataillon de la 21e compagnie. Il sert comme mitrailleur de lie classe. Il quitte Tours le 11 août 1914 et part avec ses camarades pour Laxou à côté de Nancy. C'est le début de sa guerre, il ne sera rendu à la vie civile que le 26 mars 1919. Pendant toute cette campagne, il a écrit dans des carnets, comme beaucoup d'autres soldats, sa vie au jour le jour. L'auteur de ce livre est le petit-fils de Florent. Il a lu et relu ces notes manuscrites de guerre, souvent sèches, brèves, elliptiques, mais aussi parfois très détaillées, poétiques, dramatiques, émouvantes. Avec ce matériau brut, le descendant de poilu a voulu romancer la guerre de son grand-père. Il a bâti une histoire de terre et de sang, mais aussi de vie et d'amour. Sans éviter la guerre de tranchées, les morts, les blessés, les atrocités, les injustices, il s'est aussi attaché à décrire l'amitié, l'amour des permissions, le rêve de jours meilleurs, l'énorme envie que la paix revienne. Ce n'est pas un plaidoyer contre la guerre, c'est juste l'histoire d'un homme qui a décidé de se battre pour ne pas devenir allemand, qui a surtout envie de gagner la guerre pour enfin pouvoir se marier et fonder une famille. Une balade ethnographique dans la Grande Guerre...

11/2014

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