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Finitude Editions

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Dossier

Le Syndicat national de l'édition (SNE)

Créé en 1874, le syndicat rassemblant les éditeurs de livres français devient le Syndicat national de l'édition à la sortie de la Seconde Guerre mondiale, en 1947, et réunit rapidement plusieurs centaines de maisons d'édition. La structure permet d'organiser l'action collective, notamment auprès des pouvoirs publics, mais aussi de mettre en œuvre des campagnes de promotion du livre et de la lecture au niveau national.

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Dossier

Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF)

Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF) est une association créée en 1873 par le Cercle de la librairie pour être au service des éditeurs en facilitant leur développement à l'international, l'exportation des titres, mais aussi les achats de droits de traduction. Aujourd'hui, cette mission est sensiblement la même.

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Dossier

Troisième édition du Prix Frontières - Léonora Miano 2023

L’Université de Lorraine (Crem, Loterr) en collaboration avec l’Université de la Grande Région (UniGR), lançait en 2021 la première édition du prix littéraire «Frontières», dédié à l’écrivaine Léonora Miano. Durant cinq années consécutives, il récompensera le meilleur roman de l’année abordant la thématique des frontières.

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Dossier

De Michel Glardon à Jean Richard : histoire des Éditions d'en bas

En raison de la crise sanitaire du Covid-19 et à la suite de la fermeture des librairies, sans oublier l’annulation des salons du livre, les Éditions d’en bas ont choisi la riposte. La maison, qui célèbre ses 45 ans, a souhaité partager son histoire, à travers des podcasts et des vidéos de leurs auteurs. Mais également faire découvrir des livres plus anciens à travers toutes ces années de publications.

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Dossier

Les éditions J'ai lu inaugurent le Prix Club des lecteurs 2023

Les éditions J’ai Lu ont souhaité se doter d’un prix véritablement incarné par ses votants, c’est-à-dire prix avec des vrais lecteurs dedans. Cette année, la maison lance donc son Prix Club des Lecteurs, une opération au long cours qui prolonge un dispositif d’animations pensé pour tous.

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Dossier

Foire du Livre de Francfort 2021 : une édition hybride

Reléguée sur internet en 2020 par la pandémie de coronavirus, la Foire du Livre de Francfort, un des événements majeurs du secteur de l'édition, espère bien accueillir les professionnels, du 20 au 24 octobre prochain. Une édition hybride est annoncée, avec une partie des événements en ligne.

Extraits

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Littérature française

Finitude

Depuis l'adolescence, Patrick Denono entretient une relation particulière avec les mots. Le déclic littéraire survient à la suite du décès de son professeur de lettres de sixième. Le monde tel que nous le connaissons trop peu pour lui. De cette réalité souvent cruelle qui vous enlève des ares chers, 1 tentera de s'en éloigner par l'écriture. Nouvelles, conte, poésies, saynètes sont une manière à lui de se jouer de cette cruauté et d'aller aa1saat de la ligne. Dans cet ouvrage il nous propose une déclinaison poétique de ce qui n'est plus ou tend disparaître...

09/2018

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Sociologie

La finitude peut-elle être positive ?. Approches steiniennes de la finitude

Dimension fondamentale de l'existence incarnée, la finitude évoque au premier abord l'expérience négative des limitations qui cernent l'être humain. Mais en quel sens l'expérience de la finitude est-elle porteuse d'une signification positive ? Les contributions ici réunies, dans leur diversité et leur complémentarité, abordent cette question à la lumière de la pensée d'Edith Stein. La compréhension steinienne de la finitude humaine est inséparable d'une lecture critique de la philosophie de l'existence de Heidegger, dans la mesure où Edith Stein a cherché à penser le désaccord qui l'opposait à l'analytique de l'être-pour-la-mort. Tout en désignant la personne humaine comme un être essentiellement limité et temporellement mortel, la finitude, telle qu'Edith Stein la conçoit, est positivement liée à la liberté entendue comme la capacité pour un individu de répondre à ce qui le précède et l'appelle : les valeurs, autrui, et ultimement le Tout-Autre. Profondément incarnée, la signification steinienne de la finitude est également liée à l'expérience de la blessure, solidaire d'une réflexion sur la vulnérabilité et la relation à l'altérité dont les implications s'avèrent d'une étonnante modernité. Conformément à la dynamique d'une ascension vers le sens de l'être qui sous-tend le rapport entre être fini et être éternel, Edith Stein va jusqu'à envisager la finitude humaine dans la perspective de " la relation de l'âme avec Dieu " . Ce volume offre enfin une étude comparative sur Edith Stein et Franz Rosenzweig. Avec les contributions de : Sophie Binggeli, Soeur Jean-Edith Ginot, Emmanuel Cattin, -Bénédicte Bouillot, Bérengère Guérin, Eric de Rus, Félix Resch.

10/2022

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Poésie

La finitude des corps simples

Ce nouveau livre de Claude Royet-Journoud s'ouvre par une très belle citation d'Emile Benveniste : "C'est pourquoi la question : à quoi sert le langage ? n'a qu'une réponse : A vivre". . Elle est d'autant plus belle qu'elle éclaire d'un jour différent de celui auquel on est habitué une oeuvre qui n'en est cependant pas moins inscrite dans le plus vif de la présence. Une oeuvre qui met le poème et les mots qui le composent, leur ambiguïté, leur volatilité, au centre de toute interrogation.

05/2016

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Développement durable-Ecologie

Economie circulaire. Système économique et finitude des ressources, 2e édition

Comprendre, mesurer et agir pour l'économie circulaire : un ouvrage de référence ! L'économie circulaire est un pilier de la transition vers une utilisation efficace des ressources. G7, Club de Rome, ONU, GIEC, Union européenne... un consensus s'est dégagé pour voir dans l'économie circulaire un changement de paradigme propice à la concrétisation d'un développement durable. Guidant le développement des politiques publiques de nombreux Etats et les stratégies d'entreprises à différentes échelles, elle propose un cadre d'observation mais aussi des solutions dont se saisissent les citoyens, les entreprises et les Etats. Les différentes dimensions constituant l'économie circulaire sont d'abord examinées pour inscrire sa trajectoire dans la vie des idées. S'appuyant sur des champs scientifiques existants et productifs en termes de méthodes et d'outils, les deux premières parties de l'ouvrage visent à situer et comprendre. La troisième partie est dédiée aux méthodes et outils destinés à mesurer, depuis les dimensions les plus macros dédiées aux Etats et territoires jusqu'à celles concernant les entreprises et leurs produits. Enfin, la dernière partie vise la mise en application, de l'échelle du citoyen à celle de l'Etat, s'appuyant sur de nombreuses études de cas. Entièrement actualisé et enrichi pour sa 2e édition, cet ouvrage constitue ainsi la référence pour comprendre, mesurer et agir dans le domaine de l'économie circulaire.

10/2019

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Philosophie

Leçons sur Derrida. Déconstruire la finitude

Derrida est un philosophe exemplaire du XXe siècle. Il connaît remarquablement tout ce qui s'est écrit en philosophie depuis Platon. Il partage avec Descartes le geste de rompre, de déconstruire, de déterminer de nouvelles références pour s'orienter, aujourd'hui, après le siècle des Grandes Guerres, des grandes crises, siècle en lequel l'homme se voit capable de tout détruire, de porter l'évolution vers sa propre fin. L'idée de finitude veut dire non seulement la limite de notre pouvoir de connaître mais encore celle des illusions de la modernité. Pour la première fois sans doute, au nom de la grandeur de l'humanité, de sa puissance, de sa morale et des progrès dont l'homme s'est voulu le maître, un monde est menacé de finir. Mais Derrida n'en reste pas à un constat de fin des temps. Sa déconstruction de la tradition se fixe pour but de délivrer un autre sens que celui de la raison si autoritaire et autocratique. Un sens qui ouvre des perspectives du côté de l'art, de la technique, des folies littéraires autant que de la vie animale dont le regard touche un réel très différent. L'univers des signes n'est pas le propre de l'homme et se trouve tracé déjà par des choses qui ne dépendent pas de nous, de notre interprétation, des ressources de notre domination intellectuelle. C'est cette approche des signes libérés de l'autorité de la conscience que ce livre veut reprendre avec Derrida pour reconduire à un réel autrement sensible. Réalité qui ne se laissera plus absorber par la finitude, par les fins de l'homme qui avaient bouché l'horizon en enfermant toute vie dans les ressources du "moi" le plus haïssable.

06/2015

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Philosophie

Maintenant la finitude. Peut-on penser l'absolu ?

Depuis plusieurs années, les "nouveaux réalismes" sont au coeur d'un vif débat philosophique. Ce livre y prend part en faisant la critique de l'une de leurs principales variétés, le " matérialisme spéculatif " de Quentin Meillassoux (auteur, en 2006, de Après la finitude). Il s'oppose à cette doctrine sur trois points. Loin d'être un "étrange savoir" de philosophes ignorant les sciences, l'idée que les connaissances sont relatives au langage, à l'action et à la situation — voire à ce que l'on vit à présent — est la clé pour comprendre les théories physiques. Loin de valoir "indépendamment des chercheurs", les faits "ancestraux" dont aucun être humain n'a pu être le témoin (comme le Big Bang) n'acquièrent leur sens que relativement à la recherche actuelle de leurs traces. Loin d'être pensable, l'absolu demeure dans l'angle mort du savoir rationnel. L'absolu n'a d'ailleurs pas besoin d'être pensé pour être envisagé ; il se manifeste comme un saisissement silencieux, comme le choc de percevoir à l'instant la souveraine contingence de ce qu'il y a. En voulant réfuter le constat kantien de la finitude humaine, le matérialisme spéculatif débouche ainsi, contre son gré, sur une finitude plus extrême encore : celle de l'expérience présente singulière. Par sa critique épistémologique, Michel Bitbol rétablit la réflexion philosophique contemporaine sur des bases sûres. Il montre que nulle spéculation, métaphysique ou post-métaphysique, ne peut prétendre à la connaissance. Et il confie l'absolu à l'ouverture contemplative.

02/2019

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