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Ferdinand Foch

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Histoire de France

Foch

Il y a cent ans, les bugles sonnaient le cessez-le-feu et la fin de la Grande Guerre. Les Alliés étaient vainqueurs et un homme, en France, incarnait la victoire : le maréchal Foch (1851-1929). Puisant comme toujours aux meilleures sources, l'auteur a entrepris de reprendre l'une après l'autre les étapes de la carrière du maréchal en tentant de démêler le mythe de la réalité. Ce long et passionnant travail de tri lui a permis de dégager un portrait balancé, loin des poncifs et de l'hagiographie. Les enseignements de Foch à l'Ecole de guerre — qui apparaissent avoir programmé la défaite de 1914 plus que prévu la victoire de 1918 —, sa conduite de la bataille, son limogeage et son retour en grâce, sa nomination au commandement suprême en 1918 sont ici examinés, de même que la vie de celui que le général de Gaulle qualifiait de "chef immortel", un chef hautain, borné, confus autant que fédérateur, clairvoyant et inspirant, qui à lui seul a porté quatre ans durant l'espoir inextinguible de la victoire. Jean-Christophe Notin se penche également, de manière inédite et approfondie, sur l'influence qu'il a exercée pendant mais aussi après la conférence de la Paix où son obstination menaça de couper la France du reste de ses alliés. Unanimement saluée par la critique et plébiscitée par le public, cette biographie d'exception, qui a reçu le prix Louis-Marin, a été revue et augmentée d'une introduction inédite.

10/2018

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Histoire de France

Mémoires. Tome 1, La Bataille de la Marne

"L'Allemagne de 1914, lancée dans la Weltpolitik, n'eût jamais déclaré la guerre si elle avait posément compris son intérêt. Elle pouvait, sans faire appel aux armes, poursuivre dans le monde son développement économique. Qui eût osé se mettre en travers ? Formidable déjà, et soutenu d'ailleurs par une active propagande comme aussi par une puissance militaire reconnue sur terre et sur mer, qui garantissait à ses voyageurs de commerce comme à ses ingénieurs en quête de concessions à l'étranger un accueil des plus avantageux et par là une capacité de pénétration et d'acquisition incomparable, le développement allemand dans une marche constante distançait grandement celui des autres nations. Sans faire de guerre nouvelle, l'Allemagne conquérait progressivement le monde. Mais le gouvernement de Berlin, grisé par sa puissance et emporté par un parti pangermaniste aveugle, pleinement confiant d'ailleurs en son armée supérieure à toute autre, ne craignait pas de recourir aux armes et d'ouvrir une ère de lourdes hécatombes et de redoutables aventures pour hâter cette domination du monde qui lui était réservée, à son sens."

02/2012

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Histoire de France

Mémoires. Tome 2, La Bataille des Flandres, Les armées du Nord Octobre 1914-novembre 1916

Après les événements, on a baptisé cette seconde partie de la guerre qui a suivi la bataille de la Marne : la Course à la mer. Le mot était d'un joli effet, il donnerait à lui seul une idée fausse de la manoeuvre qui était entreprise, il ne répond en rien à la pensée qui dirigeait les opérations militaires. C'est à l'ennemi que nous avons couru ; nous avons tenté de le déborder et d'envelopper son aile droite, ou, quand il prenait de l'avance, nous avons paré à son développement, car lui aussi cherchait par plus de vitesse à réussir une manoeuvre analogue de débordement. De là résultait une course à l'aile, à l'aile nord des armées opposées. Il nous fallait en même temps l'arrêter et l'immobiliser sur le reste du front qui s'allongeait de plus en plus. C'est cette manoeuvre symétrique qui a fait rapidement remonter cette aile, à une allure des plus accélérées, à travers l'Île-de-France, la Picardie, l'Artois, la Flandre, jusqu'à la mer du Nord. Le mer en fut ainsi le terme sans jamais en avoir été le but.

07/2012

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Littérature française

Ferdinand

Ferdinand, nous le connaissons tous. Les plus chanceux l'ont rencontré dans la vie, les autres dans leurs rêves. C'est lui qui nous cajole quand nous sommes tristes, qui nous encourage quand tout le monde nous lâche, qui nous apprend sans rien dire, qui nous accompagne quand personne ne comprend. C'est pour lui aussi que nous sommes là. Jusqu'au bout, parce que l'amour d'une grand-père ça n'a pas de prix... Heureusement. L'écriture de Lucie Braud est subtile. Ferdinand est approché à partir des yeux que sur lui pose sa petite-fille. Seuls quelques épisodes nous éclairent sur cette relation sans qu'ils ne rendent compte de détails triviaux : refus de l'anecdote, refus de l'image d'Epinal, du décor et du subterfuge facile. Refus aussi de l'épanchement dans cette écriture, et voilà ce qui donne force à un récit où le personnage central, c'est le lien d'amour entre ces deux êtres. Aucun pathos, seules l'intensité et la pudeur.

02/2012

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Histoire de France

Foch, chef de guerre

A l'appui d'archives jusqu'alors non exploitées, mais aussi à partir des journaux et mémoires de contemporains, de lettres, Elizabeth Greenhalgh étudie la contribution de Foch à la victoire alliée en 1918, ses méthodes de commandement, ses relations avec les chefs militaires français et alliés et avec les hommes politiques. En 1914, Ferdinand Foch, maréchal de France, n'a jamais commandé de troupes sur le terrain et est à deux ans de la retraite. L'auteur s'attache donc à montrer comment la Première Guerre mondiale a forgé la personnalité et les compétences de celui qui devient le commandant en chef des forces alliées. Dans cette perspective, elle traite de la contribution d'un commandement unifié à la victoire des Alliés, du rôle d'un Etat-Major général, des mécanismes de commandement au niveau du corps et de l'armée. Son étude porte encore sur le rôle des niveaux intermédiaires de commandement, et celui des généraux, enfin, sur le rôle d'une coalition dans une guerre moderne et industrielle. Foch, chef de guerre est l'analyse détaillée de la carrière de Foch, de ses idées et de ses méthodes pendant la guerre, de la manière dont ses idées ont évolué tout au long de la guerre, jusqu'au poste de commandant en chef. Sont aussi apportées les réalités politiques de la paix - comment Foch a perdu la guerre (la question du Rhin) -, le rôle "diplomatique" de Foch et ses relations avec les chefs des armées alliées et les chefs politiques de cinq nations de la Première Guerre mondiale : Joffre, Pétain, Nivelle, Clemenceau, Poincaré, Pershing, Haig, Kitchener, Wilson... Cette étude pionnière prend la guerre de haut. L'étude des relations entre les chefs militaires alliées, détaillées, sont particulièrement éclairantes, de même que les relations avec les politiques, en particulier les relations avec Clemenceau. Salué par la critique à l'occasion de sa publication en anglais, ce livre dense offre une lecture très enrichissante et "neuve" de la Première Guerre mondiale.

09/2013

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Littérature française

Focy

Focy est l'histoire d'un Africain, né dans un petit village de la Basse-Guinée où il passe une petite enfance heureuse. Son oncle l'inscrit à l'école française, à Forécaria, ce qui ne l'empêche pas de retrouver ses camarades d'enfance pendant les congés ou les vacances scolaires. A travers ses expériences personnelles, il nous fait découvrir quelques aspects de la culture africaine qui ajoutent au charme et à la richesse du continent noir.

10/2019

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