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Femmes criminelles

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Femmes criminelles

Causette se penche sur les femmes criminelles, à travers des portraits et enquêtes détonnants. Et notamment : - Femmes et poison, l'accord parfait ? - Crimes sexuels : quand les femmes sont coupables - Portraits glaçants : des tueuses dans l'Histoire - Infanticides : des chiffres sous-estimés - Terrorisme : les femmes aussi...

06/2021

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Criminalité

Femmes criminelles

"Femmes, je vous aime..." De son propre et mélodieux aveu, Julien Clerc disait n'en connaître que des fragiles et difficiles. Gilbert Thiel, lui, choisit d'évoquer les femmes criminelles qui sont souvent peu fragiles et très difficiles voire fort dangereuses. Dans cet ouvrage-référence, qui recense une cinquantaine de portraits féminins, l'ancien magistrat évoque le parcours de tueuses en série comme celui de la Bretonne Hélène Jégado ou celui de femmes qui sous l'Allemagne nazie, ont apporté un concours actif à la solution finale. Il brosse également le portrait des femmes activistes de la bande à Baader, des Brigades rouges et d'Action directe, d'empoisonneuses comme Marie Lafarge, de mafieuses, d'écorcheuses ou encore des veuves noires de Daech. Sans oublier Denise Labbé, Jeanne Weber, Louise Bassarabo, Simone Weber, Marie-Elisabeth Cons-Boutboul, etc., ou encore les soeurs Papin dont il choisit de nous décrypter la terrible évolution dans le monde du crime. Des femmes qui se révèlent, depuis la nuit des temps, parfaitement capables de rivaliser avec la gent masculine en matière de crime.

08/2024

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Femmes criminelles de France

LE CRIME AU FEMININ est plus rare que le crime au masculin, il n'en est pas moins une réalité. A travers plus d'une vingtaine de destins féminins tous différents les uns des autres, les auteurs, Serge Cosseron et Jean-Marc Loubier, abordent les facettes diverses de cet objet historique fascinant : les unes jalouses, d'autres battues, les unes dominatrices, d'autres soumises, toutes ces femmes plongent dans le crime selon une trajectoire personnelle, dans l'absence d'un "milieu du crime" féminin.

02/2021

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Femmes criminelles de France

Le crime au féminin est plus rare que le crime au masculin. Il représente une infime partie des crimes de sang jugés depuis plus d'un siècle et demi dans notre pays. Parfois, à l'issue de son procès, même si sa responsabilité a été démontrée, la criminelle est déclarée non coupable et sort libre du tribunal. Et avant l'abolition de la peine capitale en 1981, la criminelle était rarement condamnée à mort ; quand c'était le cas, la grâce lui était généralement accordée. Le crime au féminin n'est donc pas perçu de la même façon par la société que le crime au masculin. Serge Cosseron et Jean-Marc Loubier dressent ici le portrait de femmes criminelles qui, de la moitié du XIXe siècle aux années 1990, tuèrent par amour, par jalousie, par cupidité, par vengeance ou par désespoir, pour des raisons personnelles ou politiques, ou bien encore sur un coup de folie. S'appuyant sur des archives judiciaires, des récits, des témoignages, des rapports d'expertises médicales et psychiatriques, les auteurs font oeuvre d'historiens en explorant dans sa crudité et sa violence cet univers du crime qui ne cesse, aujourd'hui encore, de fasciner et d'intriguer. Nous croiserons donc des femmes dont les noms sont restés gravés dans les mémoires, telles Simone Weber, condamnée pour avoir dépecé son ex-amant, les soeurs Papin, auteurs d'un double meurtre morbide, Violette Nozière, la parricide des surréalistes, Marie Besnard, la Bonne Dame de Loudun, et beaucoup d'autres encore dont on avait jusque-là oublié les forfaits pourtant fort singuliers...

11/2012

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Amnésie criminelle

Violette Prévot, psychiatre à la vie familiale compliquée a créé un groupe de soutien pour libérer la parole de femmes qui, tout comme elle, font face à la terrible douleur d'être infertiles ou stériles. Un soir, Violette est agressée. Thomas Puget, son ami et collègue met sa carrière entre parenthèse pour prendre soin d'elle en collaborant étroitement avec l'inspecteur Gourand. En parallèle, un inconnu est admis aux urgences dans un état critique. Surnommé John pour cause d'amnésie, il tombe peu à peu amoureux de son infirmière dévouée Julia. Des flash-back sanglants et le prénom de Sandra le hantent dans ses cauchemars... Alors que Violette, harcelée, doit faire face à un coup du sort qui la bouleverse au plus profond de son être, Laure, la meilleure amie de Julia est enlevée et séquestrée. Tous étroitement liés sans même se connaître, l'inspecteur va devoir fouiller dans la vie de chacun pour trouver la clé de l'énigme. Les fantômes du passé vont les rattraper à tour de rôle et les plonger dans une terrifiante chasse à l'homme. Personne n'en sortira indemne...

09/2022

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Essais

Figures criminelles de la perversion feminine

La question de l'existence de la perversion chez la femme a longtemps été controversée -voire niée- malgré les figures manifestes historiquement et cliniquement. En lui méconnaissant cette part de destructivité, s'agit-il de préserver une image idéalisée de la femme, et de la mère, indemne de toute haine et de toute violence ? L'enjeu de cet ouvrage est de penser le rapport de la femme à la perversion. C'est une recherche appuyée sur une clinique de psychologue en milieu pénitentiaire auprès de femmes incarcérées pour des faits criminels. Après avoir exposé les différentes évolutions historiques, sociales et psychiatriques du concept de perversion, ce livre présente différentes figures criminelles et actuelles de la perversion féminine : les violences sexuelles commises par des mères, le sacrifice et le meurtre d'enfant, la séduction leurrante de la femme dite fatale et les cruautés barbares mises en acte par de jeunes adolescentes. Au-delà du crime au féminin, il est également question des enjeux du discours de ces femmes, de leur position de complice et de leur posture de défi. C'est pourquoi la clinique du transfert et ses impasses dans les cures seront prises en considération afin de penser et d'enrichir les questionnements quant aux dispositifs de soin dans un cadre judiciaire. Enfin, l'hypothèse centrale développée ici est d'entendre la nécessaire constitution d'un fantasme matricide structurant pour le devenir-femme, la haine offrant la possibilité à la fille de se détacher d'une figure maternelle idéalisée mais aliénante. En cas d'échec, cet affect de haine pourrait se déchaîner dans le réel du crime pervers.

04/2024

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