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Félix Vallotton

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Félix Vallotton

"Il me semble qu'il n'y a que des semaines qu'on m'appelait "le petit Vallotton" . La vie est une fumée, on se débat, on s'illusionne, on s'accroche à des fantômes qui cèdent sous la main, et la mort est là. [... ] Il reste la peinture, heureusement." Félix Vallotton, Journal, 1921.

03/2021

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Vallotton Cinéma

Ironie du sort, le peintre suisse Félix Vallotton était né le 28 décembre de l'année 1865, trente ans jour pour jour avant la première projection publique du cinématographe. Il y avait longtemps que la peinture s'était mise à appeler le cinéma, à y préparer le regard. Avant même d'avoir été inventé, le cinéma semblait en attente. Alors, quand arrivele dernier tiers du XIXe siècle, on voit les peintres que l'on dit académiques, réalistes en tout cas, rivaliser pour péempter le terrain, s'ingéniant à insuffler du temps et du mouvement dans le spectacle des images. Avec Vallotton, ce désir fou s'empare de l'art moderne.

09/2021

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Littérature française

La vie meurtrière

Jacques Verdier, jeune peintre de vingt-huit ans, laisse en se suicidant une courte lettre à l'attention de celui qui découvrira son corps. Un manuscrit, autobiographie en forme d'aveux, accompagne le pli. Titré Un amour, il déroule de manière implacable le récit d'une vie qui ne pouvait mener qu'à une mort violente... En effet, le défunt, depuis sa plus grande enfance, a provoqué bien malgré lui d'épouvantables accidents mortels. Crises cardiaques, chutes, empoisonnements, brûlures se sont multipliés autour de lui, jusqu'à ce que la question lancinante de sa propre responsabilité l'accule à envisager une solution fatale...

02/2021

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Policiers

La Vie Meurtriere

Durant l'année 1907, Félix Vallotton se consacre à l'écriture d'un roman sombre et désillusionné, en partie autobiographique. "La Vie meurtrière", publié à titre posthume en 1927 avec sept dessins de l'auteur, raconte l'histoire de Jacques Verdier, un jeune peintre qui s'est suicidé d'une balle dans la tête à son domicile. Le commissaire de police dépêché pour l'enquête découvre sur place le manuscrit d'un roman intitulé "Un amour". Celui-ci relate à la première personne une série noire de morts plus ou moins accidentelles que l'auteur a - ou aurait - causé tout au long de sa vie. Il prend conscience qu'une sombre fatalité entraîne la mort des personnes qu'il aime. Se sentant coupable de cette funeste malédiction, il ne peut en finir que par le suicide. Félix Vallotton, dont l'oeuvre se compose de plus de 2000 peintures et gravures mais aussi de trois romans, décrit ici sans concession aussi bien le mal-être d'un jeune artiste que le malaise de la société. Sa vision amère et pessimiste de la vie et son regard acéré sur la noirceur de la petite bourgeoisie rappelle les zones d'ombre recouvrant certaines de ses peintures.

12/1996

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Littérature française

La Vie meurtrière

Si les toiles du célèbre Félix Valloton (1865-1925) frappent par leurs couleurs profondes, son roman La vie meurtrière, rédigé entre 1907 et 1908 et publié de manière posthume en 1927, est imprégné d'une inquiétante noirceur. Jacques Verdier, artiste de vingt-huit ans, s'est suicidé à son domicile. Il a laissé à l'attention du commissaire qui constatera les faits une courte lettre et un pli. Dans ce pli, un manuscrit au titre intrigant, Un amour, déroule de façon implacable le récit d'une vie funeste... Bien malgré lui, le défunt semble avoir provoqué depuis sa plus tendre enfance d'épouvantables accidents mortels. Crises cardiaques, chutes, empoissonnements, brûlures se sont multipliés autour de lui jusqu'à ce que la question lancinante de sa propre responsabilité l'accule à envisager une solution radicale. Jacques portait-il en lui, comme il le croyait un " fatal pouvoir ", un " principe de mort " ?

01/2009

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Littérature française

La Vie meurtrière

Durant l'année 1907, Félix Vallotton se consacre à l'écriture d'un roman sombre et désillusionné, en partie autobiographique. "La Vie meurtrière", publié à titre posthume en 1927 avec sept dessins de l'auteur, raconte l'histoire de Jacques Verdier, un jeune peintre qui s'est suicidé d'une balle dans la tête à son domicile. Le commissaire de police dépêché pour l'enquête découvre sur place le manuscrit d'un roman intitulé "Un amour". Celui-ci relate à la première personne une série noire de morts plus ou moins accidentelles que l'auteur a - ou aurait - causé tout au long de sa vie. Il prend conscience qu'une sombre fatalité entraîne la mort des personnes qu'il aime. Se sentant coupable de cette funeste malédiction, il ne peut en finir que par le suicide. Félix Vallotton, dont l'oeuvre se compose de plus de 2000 peintures et gravures mais aussi de trois romans, décrit ici sans concession aussi bien le mal-être d'un jeune artiste que le malaise de la société. Sa vision amère et pessimiste de la vie et son regard acéré sur la noirceur de la petite bourgeoisie rappelle les zones d'ombre recouvrant certaines de ses toiles.

10/2023

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