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Eugène Dabit

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Littérature française

L'Hôtel du Nord

Emile et Louise Lecouvreur font l'acquisition de l'Hôtel du Nord, par l'intermédiaire de mercier, marchand de fonds. Au comptoir : Philippe Goutay et sa femme. Parmi les locataires : Renée, qui est aussi la bonne de l'hôtel, et son amant, l'ouvrier Pierre Trimault, qui prend la poudre d'escampette en apprenant qu'il va être père. Des habitués, déjà : les joueurs de cartes, le père Louis et Marius Pluche ; Julot, l'éclusier du canal Saint-Martin. Des gens de passage... Des histoires... Eugène Dabit nous conte ici la vie et la mort du petit hôtel du quai de Jemmapes, encore debout aujourd'hui, et qui a inspiré à Marcel Carné l'inoubliable Hôtel du Nord, avec Arletty, Louis Jouvet, Bernard Blier... Atmosphère ! Atmosphère !...

05/1993

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Littérature française

Petit-Louis

"Nous vivions tranquilles, sans gros soucis. Mon père ne votait pas, ne lisait pas le journal. Le Monde ? Une catastrophe ou un grand crime nous y faisaient penser. Puis nous n'y songions plus". Ainsi parle Louis Decamp, dit Petit-Louis. En toile de fond de ce roman d'apprentissage, Eugène Dabit décrit la vie à Paris pendant la guerre, la vie au front ensuite. Sa plume est toujours allusive, économe, d'une extrême pudeur.

04/1988

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Littérature française

Un mort tout neuf

Eugène Dabit, Un mort tout neuf Un mort tout neuf est la chronique d'un enterrement. Quatre jours séparent le décès de la cérémonie : Dabit relate les mille détails qui font qu'un mort peu à peu devient la propriété des vivants. Au travers d'une description parfaitement lucide des moeurs petites-bourgeoises, il nous montre finalement ce que la mort a de plus tragique : son incapacité à bouleverser le cours de la plus banale mesquinerie. Eugène Dabit (1898-1936), après avoir connu le front durant la Première Guerre mondiale, débuta une carrière de peintre et écrivit en 1928 le célèbre Hôtel du Nord. Auteur d'une dizaine de romans, il décède prématurément au cours d'un voyage en U. R. S. S. organisé par André Gide.

03/2009

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Littérature française

UN MORT TOUT NEUF

Dans les décors du Paris populaire des années trente, "des petits-bourgeois réunis autour d'un mort, dans une ville étouffante". C'est ainsi qu'Eugène Dabit a résumé son propre roman tout en rendant compte, dans Europe du 15 octobre 1934, de Tandis que j'agonise de William Faulkner. Car il a le sentiment d'avoir, un an plus tôt, traité du même sujet, d'avoir écrit un Tandis que j'agonise à la française, en retraçant la vie d'un homme à travers sa mort. "Ses parents, ses amis, sa maîtresse, les lettres, les meubles, son argent, les souvenirs qu'il laisse, le font revivre. Lui, on ne le voit pas, on ne l'entend pas. Le livre commence avec sa mort ; et se termine avec son ensevelissement, le quatrième jour." Lorsqu'il écrivait ces mots à Roger Martin du Gard, le 31 janvier 1933, Dabit était en train de mettre en forme les notes qu'il avait prises du 2 janvier, à la mort de son oncle maternel, Auguste Hildenfinger, au 5 janvier, jour de son enterrement. En passant de la réalité à la fiction, Eugène Dabit a fait le portrait d'un homme ordinaire dont il reconstitue d'une manière impartiale toute l'existence, avec ses secrets dérisoires, sa banalité exemplaire. Le romancier de L'Hôtel du Nord a réussi là un tour de force, sans cesser d'être vrai et émouvant.

05/1990

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Littérature française

Un mort tout neuf

Un mort tout neuf, roman incontournable d'Eugène Dabit, a été publié pour la première fois en France en 1934. Vous souhaitez lire autrement et profiter d'une expérience de lecture originale ? Grâce à notre charte éditoriale, nous vous offrons l'opportunité de découvrir ce roman dans une édition aérée et dans un grand format, facilitant ainsi votre lecture pour vous permettre de profiter d'une expérience de lecture unique.

11/2022

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Non classé

Villa Oasis ou Les faux bourgeois

Une belle et forte peinture des petits-bourgeois des années trente: les faubourgs, les guinguettes, les "nouveaux riches", leurs espoirs et leur déchéance. Un récit plein de vivacité et de sensibilité.

10/1998

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