Je ne sais à quoi peut servir un auteur par temps de guerre. Mais ce dont je suis certain, c’est qu’il peut, par exemple, se sentir légitime à « l’ouvrir », si dans son parcours, un « quelque chose de ses rencontres », l’expérience « d’un ou une autre » dans un « ailleurs et autrement », peuvent être versées à la compréhension, à la progression commune des choses.