Aurélie Tramier s’est hissée jusqu’en finale de la dernière édition du Prix Maison de la Presse. Une récompense tournée vers la littérature populaire et résolument romanesque, parfaitement en phase avec son dernier roman, Bien-Aimée, publié à La Belle Étoile. Il raconte un camp français peu connu de la Seconde Guerre mondiale, à l’histoire extraordinaire : d’abord destiné à l'internement d'Allemands comme Max Ernst, l'ancienne tuilerie devint à la défaite française, une étape avant Auschwitz…