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En Mémoire de mon père

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Science-fiction

En Mémoire de mon père

C'est l'histoire d'un immigrés André Miang qui découvre l'Europe, on partage cette découverte de la France de son point de vue, on a ses interrogations sur la vie, et il nous parle de son pays natal le Sankuru.

10/2015

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Guerre d'Algérie

Mon père, appelé en Algérie

Bertrand Tillier propose une approche à la fois intime et réflexive de la guerre d'Algérie. Il se fonde sur les photos prises par son père, appelé du contingent en Algérie en 1962 et le récit familial. L'historien met en tension la mémoire individuelle et collective - refoulée - de l'expérience de guerre, exprimée ou tue dans la sphère intime. . L'auteur du texte de ce livre est le fils de l'auteur des photographies. Historien des images, Bertrand Tillier propose pour ce nouvel opus de la collection Format passeport une approche à la fois intime (ce sont ses propres archives) et plus réflexive et générale sur la guerre d'Algérie. Il se fonde sur les photographies prises par son père, appelé du contingent en Algérie en 1962 et le récit familial. L'historien met en tension la mémoire individuelle exprimée ou tue dans la sphère intime et la mémoire refoulée de l'expérience de guerre. Les photos envoyées à leurs proches par les jeunes appelés, photographes amateurs pour beaucoup d'entre eux, se conforment à une certaine mise en scène, puisque prises au piège d'un discours précis, national, officiel et médiatique. Elles donnent à voir une réalité choisie, ciblée, lisse, écran à la guerre. Néanmoins, ces photographies, produites dans un contexte de guerre deviennent en quelque sorte témoignage de l'indicible car vecteurs de " moments de glissement et de débordement où les sentiments, les objets, les expressions du visage échappent d'emblée à toute normalisation ". Remplaçant les mots non dits, elles permettent une transmission d'un passé aux générations suivantes : " Chaque groupe porteur d'une mémoire se dirige vers le miroir qui racontera son histoire " (Benjamin Stora). La valeur des photos des appelés du contingent réside dans ce pouvoir de transmission ; elles constituent un support pour un travail de mémoire et de reconstitution, aussi partiel soit-il, tentant de rompre le silence ; regarder ces photos est une " modalité de communication dans les familles " (Raphaëlle Branche). Retrouvant les photos de son père dans une pochette, Bertrand Tillier, historien des images, met ainsi en lumière le rôle des générations postérieures dans la construction de la mémoire familiale. Grâce à la curiosité d'un fils historien pour les photographies de son père, ce texte dévoile comment, derrière l'objet photographique témoin d'une histoire dans l'Histoire, se lisent des souvenirs, un passé, une mémoire personnelle, familiale mais aussi commune et collective.

03/2023

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Non classé

Mon père adoré

Une biographie du père modèle parti bien trop tôt. Les années passent et les souvenirs restent. Comment ne pas honorer ce Monsieur qui était d'une gentillesse sans fin. Un exemple pour tous, un cierge des cierges, une messe, des messes ne suffiront pas à rendre la gloire de cette modeste famille. Toujours là pour les siens. Un caractère de grande classe. Des anecdotes sans fin de mémoire retrouvée pour faire avancer la locomotive du passé. Des pleurs, des rires et des émotions qui resteront gravés pour l'éternité. Une bible passée de main en main entre les frères de passage de ce destin qui ne passe pas. La lumière continuera de briller. La vie de ce monsieur est un témoignage de bonté, de respect et d'amour envers les siens d'abord et des personnes rencontrées lors de sa vie. Toujours un sourire, une farce, pour faire briller le jour de difficulté. Déjà 40 ans qu'il s'en est allé au loin, toutefois toujours près de nous. Ce livre est une preuve pour l'honorer.

11/2021

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Littérature néerlandaise

Mon Pere Couleur De Nuit

" Nous, nous avons eu la varicelle et la rubéole. Et Simon, lui, après être tombé d'un arbre, est resté des semaines au lit avec un traumatisme crânien. Mais le camp, nous ne l'avons pas encore eu. " C'est son père qui a le camp. Surtout au visage, aux yeux. Hannah a vu au zoo un loup qui a les mêmes yeux que lui. Comment, devant le gouffre qui menace d'engloutir sa, famille, Hannah parviendra-t-elle à arracher une part d'arc-en-ciel ? Avec ses mots d'enfant, légers comme des bulles, elle va dire l'indicible et colorier la nuit qui retient son père. Et ainsi, par petites touches, la vie, si noire soit-elle, se poétise et la tendresse ingénue repousse, la barbarie. Carl Friedman écrit sur une ardoise d'écolière un magistral travail de mémoire. Une étoile dans le brouillard.

01/2001

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Littérature néerlandaise

Mon Père couleur de nuit

"...Nous, nous avons eu la varicelle et la rubéole. Et Simon, lui, après être tombé d'un arbre, est resté des semaines au lit avec un traumatisme crânien. Mais le camp, nous ne l'avons pas encore eu. " C'est son père qui a le camp. Surtout au visage, aux yeux. Hannah a vu au zoo un loup qui a les mêmes yeux que lui. Comment, devant le gouffre qui menace d'engloutir sa famille, Hannah parviendra-t-elle à arracher une part d'arc-en-ciel ? Avec ses mots d'enfant, légers comme des bulles, elle va dire l'indicible et colorier la nuit qui retient son père. Et ainsi, par petites touches, la vie, si noire soit-elle, se poétise et la tendresse ingénue repousse la barbarie... " Carl Friedman écrit sur une ardoise d'écolière un magistral travail de mémoire. Une étoile dans le brouillard.

01/2003

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XXe siècle

Le pain de mon père

1962 : Pierre, poussé par l'histoire, quitte Guyotville le village d'Algérie où il est né. Jeune conscrit, il largue les amarres d'une vie heureuse et insouciante. Il part à la conquête de la métropole, avide de découvrir la France qui hante ses rêves. Sa deuxième vie sera là, où il assouvira sa passion de cultures et de rencontres. 2006 : Appel irrépressible, Pierre fait le chemin à l'envers et revient sur les traces de sa jeunesse avec deux amis de son village. Commence alors une épopée haletante, tout ce passé enfoui rejaillit. C'est un déferlement de retrouvailles chaleureuses, émaillées d'anecdotes truculentes, hilarantes, picaresques, tendres et émouvantes. On est bouleversé par l'accueil enflammé des amis retrouvés. On n'a rien oublié de l'enfant turbulent et frondeur "faisant partie de la famille" du fils du boulanger. Pierre, l'humour en bandoulière, nous fait aimer ce coin d'Algérie, niché entre soleil et mer, exhumé de sa mémoire miraculeusement intacte. Le pain de mon père est un hymne enthousiaste, joyeux et espiègle à l'amitié, à l'enfance retrouvée par la puissance du souvenir gravée sur fond de bonheurs tendres.

08/2018

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