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Elle s'appelle Salomé

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Actualité politique France

Elle s'appelle Salomé

Dialogue autour d'un féminicide. Le témoignage exceptionnel et rare de deux femmes qui partagent une réflexion émouvante et engagée sur la douleur absolue, la possibilité ou non de vivre " après ", l'hypothèse du pardon, la survivance du lien et bien sûr les combats contre les féminicides ou la prise de conscience du phénomène d'emprise. " Je veux la compter parmi mes enfants quand j'en parle. Je ne veux pas dire : J'avais une fille, elle s'appelait Salomé. Elle s'appelle toujours Salomé. " Août 2019, Salomé Garnesson, 21 ans, est étranglée, battue à mort et son corps abandonné au fond d'une impasse à Cagnes-sur-Mer par son assassin, celui qu'elle croyait aimer. C'était le 100e meurtre " conjugal " de l'année. En 2023, le meurtrier de Salomé est condamné à la perpétuité. Sandra Mathieu propose alors à la mère de Salomé, Muriel Dotta, avec qui elle entretient un lien d'amitié, d'entamer un échange autour de cette tragédie.

05/2025

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Non classé

Salomé(s)

Si la très jeune danseuse contorsionniste des Evangiles hante l'art et la peinture depuis les descriptions priapiques d'Augustin ou de Jean Chrysostome, c'est au coeur du XIXe siècle que Salomé entre de plain-pied et en grande pompe dans la littérature, avec l'Hérodias de Flaubert, suivi par Huysmans, avant qu'à son tour Jules Laforgue s'en mêle et qu'Apollinaire, enfin, ferme le bal avec le nouveau siècle. Sont rassemblées ici leurs quatre 'Salomé', auxquelles s'ajoute une cinquième, de Gustave Moreau, ainsi que quelques images choisies et en couleur, qui laissent entrevoir le mythe tout entier d'une fillette aux prises avec le pouvoir et la cruauté des hommes et des femmes. Tour à tour figure de la pleine soumission ou de la détermination tranchée, Salomé intrigue et gêne. Elle traverse les couloirs des siècles avec son cortège de têtes coupées, de danses des sept voiles et d'ingénuité libertine, qui risque de faire pâlir ou rougir ou s'étrangler de rage les sycophantes de nos sombres temps. Serait-elle cet ange sphérique que décrit Patricia Farazzi dans sa préface ?

08/2021

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Théâtre - Pièces

Salomé

Salomé veut la tête de Iokanaan (Saint-Jean-Baptiste). Cette Salomé est à la fois monstrueuse et follement attirante, car son regard transfigure totalement ce qu'elle voit et le bascule dans un autre monde, son monde à elle, elle voit « au travers », et si finalement elle ordonne le meurtre de Iokanaan, c'est qu'en refusant ses avances ce dernier a rompu le charme qui le rendait désirable par Salomé, le rejetant dans son monde réel où il n'est rien pour elle. Salomé pourrait être parnassienne, symboliste, surréaliste… elle a de tout cela en elle, c'est une pièce qui résonne étrangement et magnifiquement.

07/2014

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Universitaire

Salomé

Salomé veut la tête de Iokanaan (Saint-Jean-Baptiste). Cette Salomé est à la fois monstrueuse et follement attirante, car son regard transfigure totalement ce qu'elle voit et le bascule dans un autre monde, son monde à elle, elle voit « au travers », et si finalement elle ordonne le meurtre de Iokanaan, c'est qu'en refusant ses avances ce dernier a rompu le charme qui le rendait désirable par Salomé, le rejetant dans son monde réel où il n'est rien pour elle. Salomé pourrait être parnassienne, symboliste, surréaliste… elle a de tout cela en elle, c'est une pièce qui résonne étrangement et magnifiquement.

01/1996

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Poches Littérature internation

Salomé

Salomé veut la tête de Iokanaan (Saint-Jean-Baptiste). Cette Salomé est à la fois monstrueuse et follement attirante, car son regard transfigure totalement ce qu'elle voit et le bascule dans un autre monde, son monde à elle, elle voit « au travers », et si finalement elle ordonne le meurtre de Iokanaan, c'est qu'en refusant ses avances ce dernier a rompu le charme qui le rendait désirable par Salomé, le rejetant dans son monde réel où il n'est rien pour elle. Salomé pourrait être parnassienne, symboliste, surréaliste… elle a de tout cela en elle, c'est une pièce qui résonne étrangement et magnifiquement.

06/1994

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Théâtre

Salomé

Salomé est une tragédie d'Oscar Wilde dont la version originale de 1891 est en français. Une traduction en anglais a suivi trois ans plus tard. La pièce, en un acte, repose sur l'épisode biblique de Salomé1, belle-fille du tétrarque de Galilée Hérode Antipas, qui, à la consternation de son beau-père, mais au grand plaisir de sa mère Hérodiade, demande qu'on lui apporte la tête de Iokanaan (Jean le Baptiste) sur un plateau d'argent comme récompense pour avoir exécuté la danse des sept voiles. Versions et premières Wilde écrivit cette pièce à Paris, où il s'était retiré après avoir achevé L'Eventail de Lady Windermere. Il la dédia à Pierre Louÿs, qui apporta quelques corrections au texte mais n'intervint que très peu. Séduite par le rôle-titre, Sarah Bernhardt décida de l'interpréter elle-même, et les répétitions commencèrent au Palace Theatre de Londres. Ces répétitions durent toutefois s'interrompre lorsque la censure du Lord Chamberlain eut interdit Salomé au motif qu'il était illégal de représenter sur scène des personnages bibliques. Indigné, Wilde envisagea de renoncer à sa nationalité britannique et de devenir français afin de ne plus avoir à subir de telles restrictions. Le texte de la pièce fut publié pour la première fois en français en 1893. Dans un article intitulé "The Censure and Salomé" , publié dans la Pall Mall Gazette du 29 juin 1892, interrogé sur la raison pour laquelle il avait écrit Salomé en français, Wilde déclare : "I have one instrument that I know I can command, and that is the English language. There was another instrument to which I had listened all my life, and I wanted once to touch this new instrument to see whether I could make any beautiful thing out of it. Of course, there are modes of expression that a Frenchman of letters would not have used, but they give a certain relief or color to the play. A great deal of the curious effect that Maeterlinck produces comes from the fact that he, a Flamand by grace, writes in an alien language. The same thing is true of Rossetti, who, though he wrote in English, was essentially Latin in temperament". 3, a La traduction en anglais parut en 1894 chez les éditeurs Charles Elkin Mathews & John Lane, avec des illustrations dues à Aubrey Beardsley. Sur la page de dédicace, Wilde indique comme traducteur lord Alfred Douglas. En fait, Wilde s'était querellé avec lui au sujet de la traduction, peu satisfait de ce travail dont "le résultat fut décevant4" . Il semble que le texte anglais soit l'oeuvre de Wilde lui-même, qui s'est fondé sur ce qu'avait fait Alfred Douglas.

02/2023

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