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Djuna Barnes

Extraits

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Poésie

Le livre des répulsives

Vif moderne babylonien, ce premier livre de Djuna Barnes rend hommage aux "répulsives" du New York des années 1910 : une danseuse déchue, une prostituée errante, une silhouette lascive aperçue depuis le métro aérien, le cadavre d'une suicidée á la morgue ... autant de figures condamnées et cachées que Djuna Barnes - qui n'est pas encore l'autrice célèbre de l'Almanach des dames, chronique des cercles lesbiens du Paris des années folles illustrée "par une femme du monde" - fait scintiller par son trait noir aux mille lumières et son regard espiègle, sensible à la vivacité des corps, des désirs et des mondes qu'ils ouvrent. En guise de postface, Miss Barnes - pièce injouable en un acte - par Liliane Giraudon.

08/2008

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Littérature étrangère

Le Bois de la nuit

Robin Vote, jeune Américaine somnambule hantée par une légère folie, fascine son entourage. Le baron Félix Volkbein, un juif autrichien érudit qu'elle épouse et à qui elle donne un fils, Guido, enfant retardé qu'elle abandonne en quittant le foyer. Nora Flood, raffinée, douce et ardente, dont elle s'éprend puis qu'elle délaisse au profit de la richissime Jenny Pethridge. Et le docteur Matthieu O'Connor, un désemparé hypersensible, qui recueille les confidences de chacun. Dans un style hautement poétique, Djuna Barnes met en évidence la part sombre de l'être, le mal auquel les personnages sont asservis. Djuna Barnes (1892-1982), née dans l'Etat de New York, illustratrice, journaliste, dramaturge et romancière, fréquente le cercle des expatriés de la rive gauche du Paris des années 1920, avant de s'installer en 1931, en Grande-Bretagne, où elle écrit Le Bois de la nuit (1936). De retour aux Etats-Unis en 1939, elle vivra les jours difficiles d'une "inconnue célèbre" . Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Pierre Leyris

01/1979

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Littérature anglo-saxonne

Le Bois de la nuit

Campé dans le Paris des années 1920 et 1930, ce roman est la transposition de l'histoire d'amour tumultueuse entre la sculptrice américaine Thelma Wood et l'auteur, figure féminine majeure de la littérature moderniste. Robin Vote, jeune Américaine à l'allure androgyne, somnambule hantée par une légère folie, fascine son entourage. Le baron Félix Volkbein, un juif autrichien érudit qu'elle épouse et à qui elle donne un fils, Guido, enfant retardé qu'elle abandonne en quittant le foyer. Nora Flood, raffinée, douce et ardente, dont elle s'éprend puis qu'elle délaisse au profit de la richissime et vulgaire Jenny Pethridge. Et le docteur Matthieu O'Connor, un désemparé hypersensible, recueille les confidences de chacun. Dans un style hautement poétique, Djuna Barnes met en évidence la part sombre de l'être, le mal auquel les personnages sont asservis.

02/2014

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Poches Littérature internation

Le Bois de la nuit

Campé dans le Paris des années 1920 et 1930, ce roman est la transposition de l'histoire d'amour tumultueuse entre la sculptrice américaine Thelma Wood et l'auteur, figure féminine majeure de la littérature moderniste. Robin Vote, jeune Américaine à l'allure androgyne, somnambule hantée par une légère folie, fascine son entourage. Le baron Félix Volkbein, un juif autrichien érudit qu'elle épouse et à qui elle donne un fils, Guido, enfant retardé qu'elle abandonne en quittant le foyer. Nora Flood, raffinée, douce et ardente, dont elle s'éprend puis qu'elle délaisse au profit de la richissime et vulgaire Jenny Pethridge. Et le docteur Matthieu O'Connor, un désemparé hypersensible, recueille les confidences de chacun. Dans un style hautement poétique, Djuna Barnes met en évidence la part sombre de l'être, le mal auquel les personnages sont asservis.

06/1986

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Poésie

Le livre des répulsives

Vif moderne babylonien, ce premier livre de Djuna Barnes rend hommage aux "répulsives" du New York des années 1910 : une danseuse déchue, une prostituée errante, une silhouette lascive aperçue depuis le métro aérien, le cadavre d'une suicidée á la morgue ... autant de figures condamnées et cachées que Djuna Barnes - qui n'est pas encore l'autrice célèbre de l'Almanach des dames, chronique des cercles lesbiens du Paris des années folles illustrée "par une femme du monde" - fait scintiller par son trait noir aux mille lumières et son regard espiègle, sensible à la vivacité des corps, des désirs et des mondes qu'ils ouvrent. En guise de postface, Miss Barnes - pièce injouable en un acte - par Liliane Giraudon.

04/2025

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Littérature anglo-saxonne

Ryder

Premier roman de Djuna Barnes, Ryder est la chronique grivoise d'une famille très semblable à la sienne. Bestseller éphémère à sa parution en 1928, il séduit le public et déroute la critique. Dans la Saturday Review il est salué comme "le livre le plus étonnant jamais écrit par une femme." Détournant les codes de la littérature canonique occidentale, et la manière de ses plus illustres représentants milles (Chaucer, Rabelais, Shakespeare, Fielding...), la prose débordante, savante et populaire, excessive et jouissive, de Ryder apparaît aujourd'hui comme une satire du patriarcal aussi tragique que joyeuse, et définitivement ambiguë. Celte édition reproduit les onze dessins de l'auteur qui devaient accompagner la publication originale, ainsi que son avant-propos sur la censure.

01/2014

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