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Django Reinhardt

Extraits

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Musique, danse

Django Reinhardt. Rythmes futurs

Héros de légende s'il en fut, Django Reinhardt le devint dès sa prime jeunesse. Tout d'abord parmi les siens, subjugués par l'éblouissante virtuosité de ce petit prodige du banjo, ensuite auprès des musiciens musettes, d'où sa réputation d'extraordinaire instrumentiste qui gagna comme une traînée de poudre les milieux du jazz, univers plus propre à l'épanouissement de ses ambitions musicales qu'il concrétisa à partir de 1934 (au sein du Quintette du Hot Club de France avec le violoniste Stéphane Grappelli) par d'étonnants chefs-d'œuvre comme Djangology (1935) ou Minor Swing (1937), qui gardent toute leur fraîcheur. Django et sa guitare... Virtuosité d'autant plus légendaire qu'elle dut triompher d'un terrible handicap, le guitariste manouche ayant perdu, comme on le sait, l'usage d'une partie de sa main gauche dans l'incendie de sa roulotte en 1928. La vogue incroyable d'un swing à la française fit parfois écran à la dimension profondément novatrice de son art et à l'intransigeance musicale que Django manifesta toujours, tant dans ses improvisations les plus vertigineuses que dans ses compositions les plus populaires, tel l'universel Nuages (1940). Pour dépasser la légende, les auteurs insistent sur l'aspect purement musical d'une démarche créatrice qui confondit aussi bien Louis Armstrong, Coleman Hawkins et Duke Ellington que Benny Goodman, John Lewis ou Dizzy Gillespie. En commentant avec pertinence chacune des pièces qui jalonnent son parcours, ils appréhendent en son entier l'œuvre immense de ce véritable génie qui fut moins le batteur d'estrades qu'accrédita trop souvent une fascination suspecte pour ses performances instrumentales que le plus important musicien de jazz que le Vieux Continent ait jamais engendré. L'ouvrage évoque pour finir les musiciens qui, cinquante ans après la mort de Django, perpétuent et renouvellent la tradition du jazz manouche. Il est complété par une discographie mise à jour.

04/2004

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Musique, danse

Django Reinhardt. Le génie vagabond

Le 16 mai 1953 disparaissait l'un des musiciens les plus fulgurants du XXe siècle. Django Reinhardt est aujourd'hui encore considéré comme un modèle pour les nouvelles générations de musiciens, mais il est surtout devenu un mythe pour la plupart des auditeurs. Ce Manouche secret, dont il n'est pas exagéré d'affirmer qu'il est le plus grand guitariste de l'histoire du jazz, a mené une existence hors du commun où la réalité semble parfois se confondre avec la légende. De sa naissance à Liberchies (Belgique) en 1910 jusqu'à sa mort dans la paisible retraite de Sarrois, cette biographie retrace les étapes d'une carrière exceptionnelle et d'une existence riche de contrastes : les premiers bals musettes, l'incendie de sa roulotte et sa main gauche mutilée, la révélation du jazz et la rencontre avec Stéphane Grappelli, la création du Quintette du Hot Club de France, les années de gloire et les dépenses fastueuses, les déceptions américaines auprès de Duke Ellington et les difficiles retrouvailles de l'après-guerre... Autant de moments forts qui jalonnent la pérégrination d'un homme volontiers nonchalant, parfois fantasque, farouchement libre traversant les événements au-delà des contingences, tout simplement ailleurs. Ce livre est complété d'une discographie chronologique exhaustive. Ecrivain et musicien, Noël Balen partage son activité entre littérature, productions discographiques et conférences sur les musiques noires américaines. Parmi ses nombreux ouvrages musicologiques, figure L'Odyssée du jazz désormais considéré comme un classique. Par ailleurs, il écrit la série romanesque Le sang de la vigne, vingt-quatre enquêtes au coeur des grands vignobles, en collaboration avec Jean-Pierre Alaux. Il cosigne également avec Vanessa Barrot les romans de la série Crimes gourmands.

05/2015

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Documentaires jeunesse

Django Reinhardt. Avec 1 CD audio

Sais-tu qu’avant de jouer de la guitare, le petit Django Reinhardt jouait du violon puis du banjo ? Et qu’il pouvait s’entraîner des heures durant, jusqu’au bout de la nuit ? T’est-il arrivé, à toi aussi, de travailler ton instrument sans pouvoir t’arrêter ? Sais-tu que Django Reinhardt, petit génie de la guitare ; savait rejouer d’une oreille une mélodie qu’il n’avait entendue qu’une seule fois ? En écoutant ce disque, tu pourras peut-être devenir, toi aussi, un très grand musicien !

10/2015

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Jazz, Blues, Soul, Rap, Reggae

Django Reinhardt. Un musicien tsigane dans l'Europe nazie

Le Tsigane Django Reinhardt, musicien de jazz, a connu ses plus grandes heures de gloire sous l'Occupation. Un succès à l'égal de celui de Maurice Chevalier et de Charles Trenet, aussi bien à Paris et dans la France occupée, qu'en Belgique sous administration militaire allemande. Gérard Régnier montre que l'image d'un Django traqué en tant que Tsigane par les occupants nazis relève de la légende. Les officiers allemands, connaisseurs et amateurs de jazz, se pressaient, aussi bien pour l'écouter en concert à la salle Pleyel, que dans les cabarets comme Le Nid, qui annonçait dans la Pariser Zeitung : "Der weltberuehmte Django Reinhardt und das Quinten des Franzoesischen Hot-Club" (le mondialement célèbre Django Reinhardt et le Quintette du Hot Club de France). En Belgique, Django fait salle comble au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles et la foule se presse pour l'apercevoir lors de sa réception au grand quotidien Le Soir. Charles Delaunay, dans son label Swing, enregistre Django, et ses disques connaissent le plus grand succès. On siffle Nuages dans les rues de Paris, Bruxelles et Berlin...

02/2021

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Musique, danse

Souvenirs du Festival Django Reinhardt. Samois-sur-Seine (1968-2005)

Samois, " village de caractère ", voit s'installer en 1951 en ses murs Django Reinhardt, musicien déjà mondialement connu, en particulier au travers de cet orchestre original que fut le quintet du Hot Club de France, premier orchestre de jazz constitué exclusivement d'instruments à cordes. Il repose depuis le 16 mai 1953 dans le cimetière du village qui a été marqué pour toujours par cette courte présence. Depuis, Samois est un lieu de pèlerinage pour la communauté des gens du voyage dont faisait partie Django. Et en 1968, Samois devient même le berceau du jazz manouche, avec la création du Festival Django Reinhardt. Des musiciens venus du Monde entier sont venus rendre hommage au génial guitariste et compositeur, " inventeur " de ce style si particulier qui fait la synthèse entre le jazz afro-américain et les musiques tsiganes. Des mélomanes de toutes les régions de France et de toutes nationalités, envahissent pacifiquement l'île chaque année au mois de juin. D'abord tous les cinq ans, puis tous les ans depuis 1983. Samois devient alors le " village de Django ". Jean-Paul Bailay, jeune saxophoniste amateur était présent en 1968 pour la première édition du festival. Il rentre dans l'organisation en 1983, année où le festival devient annuel et en sort en 2005. Au travers de ce livre, il souhaite faire revivre avec quelques mots et beaucoup d'images, des découvertes et des émotions que nous a offert cette manifestation exceptionnelle. Samois, village de caractère Qui était Django Reinhardt ? Un festival pas comme les autres Le Festival, les péniches, les caravanes et les musiques : Le Festival, les musiciens et le public : Le Festival et la guitare Le festival face à ses défis Le jazz dans tous ses états Présentation de toutes les éditions de 1968 à 2005 Anecdotes, souvenirs, programmation... Les fidèles du festival Les présentateurs Les groupes et les musiciens manouches

12/2018

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Théâtre

Max Reinhardt

Max Reinhardt a dominé la scène allemande de la première moitié du XXe siècle : la beauté de ses spectacles, son talent pour organiser l'espace. l'originalité de ses éclairages, la qualité des acteurs qu'il avait réunis ont fait de lui un maître de l'art théâtral. Rompant avec le naturalisme, il impose l'idée d'un théâtre festif. La plupart des textes rassemblés ici sont inédits en français. Sélectionnés, traduits et présentés par Jean-Louis Besson, ils donnent 5 voir les principaux choix esthétiques de Reinhardt et ses questionnements incessants sur la mise en scène.

10/2010

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