Lundi 4 mars, le journal Konbini News a publié une interview d’Anne Ratier, une femme avouant avoir tué son fils en 1987, alors âgé de 3 ans, car il était polyhandicapé. S’en est suivi un déferlement de commentaires validistes, félicitant cette femme d’avoir commis ce meurtre, car selon elle, la vie de son fils ne valait pas la peine d’être vécue. Le texte collectif est ici proposé dans son intégralité.