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Dires à bout portant

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Poésie

Dires à bout portant

Dires à bout portant, Dire. Dire sans se retenir. Dire sans se soucier de ce qui pourrait être compris. C'est peut-être le seul objectif en fin de compte. Dire parce qu'on en a enfin le droit. Dire parce que sous d'autres cieux, le simple fait de dire peut-être courageux, dangereux, mortel ! Dire pour ne pas vendre son slam au diable.

01/2023

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Quelques considérations sur le mode d'action de coups de feu tirés à bout portant

Quelques considérations sur le mode d'action de coups de feu tirés à bout portant et à distance sur des tissus vivants et sur des vêtements / par M. le Dr Houzé de L'Aulnoit,... Date de l'édition originale : 1870 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

06/2020

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Croissance, crise

Voyage au bout de la fin du capital

Il faut distinguer deux formes, successives et complémentaires, dans l’irrémédiable crise terminale du spectacle de la marchandise mondiale?; l’inférieure et la supérieure. La première a débuté en 2018 lorsque les taux d’intérêt négatifs sont venus dire officiellement que le crédit chimérique intensif du cycle fantastique - ayant démarré en 1968 - avait cessé de pouvoir reproduire sa reproduction et que les prodromes de 2008 avaient pleinement abouti à développer la crise?historique?du taux de profit dans l’inarrêtable saturation du marché mondial et la désintégration financière et monétaire généralisée. La seconde a commencé à déjà travailler souterrainement en rendant inévitable la mise en friche de l’économie planétaire?déguisée?par le mensonge étatique mondial du Covid et les mystifications climatiques du GIEC qui sont censées justifier l’ouverture du grand marché électrico-écologique obligatoire qui pourtant ne règlera rien à l’impossible valorisation?irrémédiable. Chaos terroriste gouvernementaliste, immigrationnisme illimité et LGBTisme forcené ont inauguré ce vaste temps?nouveau?où la schizophrénie mégapolitaine du capitalisme terminal annonce sa fatale disparition. Alors?au bout, lorsque plus aucune monnaie ne permettra à l'argent en tant qu’équivalent général abstrait de toute la marchandisation du monde d’assumer la répétition de sa répétition, surgira le prolétariat universel générant la?Commune?des besoins et des désirs humains, laquelle n'est rien d'autre que le mode générique d'existence de?l’être de l’homme, c’est-à-dire l’abolition de toutes les classes, la destruction de l’argent, du salariat et de l’État.

02/2023

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Mon vieux et moi

Rien n'engageait le narrateur à adopter Léo, 99 ans. Rien ne prédestinait Léo à venir s'installer chez lui. C'est pourtant le début d'une grande aventure faite de tout petits riens. De silences qui veulent dire beaucoup, de rires qui conjurent le déclin, de tendresse pour ces vieux qui "gênent le passage, s'emmerdent, souhaitent mourir et n'y parviennent pas". Mais des vieux qui gardent jusqu'au bout un oeil clair sur le monde.

01/2012

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Ce que je peux te dire d'elles

Un matin, très tôt. Le téléphone sonne. Blanche n’aime pas ça : les coups de fil au petit matin n’annoncent jamais rien de bon. Cette fois, pourtant, c’est une bonne nouvelle : Violette a accouché dans la nuit d’un petit garçon. Blanche est bouleversée : elle ne savait même pas que sa fille était enceinte. Et puis un garçon, le premier au bout de cette lignée de filles, quelle histoire… Dans le train qui la mène de Toulouse vers Paris, le trac au cœur, Blanche relit les carnets de moleskine destinés à Violette où, remontant le temps, elle a essayé de se souvenir de tout, tout ce qu’elle peut lui dire d’elles. Mais Violette l’attend-elle encore au bout de ce chemin à la fois heureux et cabossé ? Portés par une écriture ultrasensible, où sous l’apparente douceur du cocon familial gronde la violence des sentiments, on est entraînés dans l’histoire de Blanche, celle de quatre générations de femmes, des années 1950 à nos jours. De la minuscule bicoque d’un petit village des Pyrénées aux ateliers de la maison Balaguère, haute couture, à Toulouse, Blanche recrée ce petit monde que les accidents de la vie, et certains choix, ont rendu presque exclusivement féminin. Il y a d’abord Anna, la grand-mère, qui a élevé ses trois petites-filles, Angèle, Justine et Babé, tôt privées de mère. Angèle, la mère de Blanche, la magnifique, brillante et si fragile Angèle, journaliste à La Dépêche du Midi ; Justine l’indépendante, la féministe, la couturière aux doigts de fée qui, partie de rien, va créer sa propre maison et devenir la coqueluche des élégantes Toulousaines ; la douce et vaillante Babé, pilier de cette famille bien peu conventionnelle dans laquelle grandit Blanche. Sans père (il est mort avant sa naissance) mais avec trois mères, avant de devenir, à son tour, la mère sans homme de Violette… Chaleureux et coloré comme une promenade dans la Ville rose (ou comme une collection de Justine…), le roman de cette tribu de femmes émancipées avant l’heure explore avec autant de tendresse que d’acuité toute la complexité des liens maternels.

01/2013

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Le prix d'un baiser

Il n'aurait pas pu tomber au pire moment de ma vie. Ma cousine me surnomme "la reine des relations tordues" , mais ce n'est pas parce que mon dernier petit ami a essayé de me tuer, m'a forcée à déménager à l'autre bout du pays et à changer de nom, que je... Bon d'accord, de qui je me moque ? Pour une étudiante en première année, je dois probablement avoir les pires antécédents sentimentaux qui existent. Pas étonnant que l'amour soit la dernière chose que j'aie à l'esprit lorsque Mason Lowe entre dans ma vie. Pourtant... L'alchimie entre nous est explosive. Notre connexion défie toute logique. Je ne me suis jamais autant sentie vivante qu'avec lui. J'aime même nos disputes, c'est pour dire. Il pourrait presque être mon âme soeur... si ce n'était ce minuscule et insignifiant petit problème. C'est un gigolo. Bon sang, je sais vraiment comment les choisir. #Université #Sexy #Humour

08/2021

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