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Diane Armand

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Littérature française

Armand

Nous poursuivons après Bécon-les-Bruyères (2009) et Arrestations célèbres (2015) le travail d'édition de l'oeuvre d'Emmanuel Bove sous une forme nouvelle. Bove n'a pas encore trente quand en 1927 paraît Armand, son deuxième livre. Il est auréolé du succès de Mes Amis, publié deux ans auparavant. La critique est élogieuse et admirative. On compare le jeune écrivain à Proust et Dostoïevski. Armand est dédicacé à "Madame Colette". "Un livre humain, une émotion surhumaine", c'est ainsi que les éditions Emile-Paul annoncent le roman. L'atmosphère créée par Bove, avec ses descriptions minutieuses, ses ombres denses et ses lumières surexposées, cette "photographie" si singulière, est proche de l'expressionnisme allemand. "Bove sait peupler, surpeupler ces silences de tout ce qui recouvre le mutisme de ses héros : non seulement les sensations qui les bouleversent, mais ces infinitésimaux effets, ces minuscules échos du monde extérieur, qui, à toute minute s'enchevêtrent avec les réactions de notre esprit ou de notre coeur. "

10/2020

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Littérature érotique et sentim

Armand

Installée dans son petit appartement parisien, Réjane se laisse porter par le rythme de la ville, ses bruits, ses passions. Au milieu de toute cette agitation anonyme, les sites de rencontres sont une aubaine pour tisser des liens et échanger avec humour et curiosité. Bien vite cependant, toutes les discussions se ressemblent, formatées et oubliables. Jusqu'à lui. Celui qui sort du lot, qui la fait succomber, qui chamboule son quotidien rêveur et bouleverse ses nuits. Sans que Réjane s'en doute, cette relation réveillera en elle des souvenirs enfouis : l'absence d'un père qu'on regrette, l'amour inconditionnel d'une mère... Mais comment se retrouver dans un monde où tout va si vite que l'on peine à s'arrêter sur les petits plaisirs de la vie ? A moins, bien sûr, de se retourner, et de regarder le passé en face.

08/2019

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Théâtre

Diane

Cet autoportrait est une traversée historique et familiale d'un itinéraire artistique hors du commun. Diane Arbus, née Nemerov en 1923 d'une famille juive new-yorkaise, travaille dans la photographie de mode aux côtés de son mari, avant de s'en affranchir pour imposer sa propre vision. Dans l'Amérique des années 1960, dans la lignée d'un Walker Evans, elle descend dans la rue à la rencontre de ses modèles. Restée célèbre pour ses portraits d'inconnu. e. s pris au reflex 6x6 à deux objectifs, elle se distingue par sa fascination pour les personnages hors-normes, là où l'étrange croise le familier. "Ce que j'essaie de décrire, c'est l'impossibilité de sortir de sa peau pour entrer dans celle d'un autre". Personnes transgenres, handicapés mentaux, jumeaux, nains, prostituées offrent des visages et des corps de l'Amérique moderne dont elle tente de capter la vérité, à contre-courant de l'esthétique conventionnelle du portrait. La pièce de Fabrice Melquiot donne voix aux relations nouées pendant sa courte vie : rencontre fulgurante avec Allan qui deviendra son mari, celle toujours intime avec ses modèles dont Jack Dracula (l'Homme Tatoué) ou sa professeure, Lisette Model. Se dessine ainsi le parcours singulier d'une artiste émancipée, dont l'intérêt pour la marginalité l'éloigne peu à peu de son milieu social. Des vignettes mêlant éléments purement biographiques et dates clés des relations internationales forment une chronologie croisée, où l'histoire de Diane tend un miroir à celle du monde.

01/2020

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Littérature française

Diane

"Diane est le récit d'une femme qui s'est perdue, qui erre et ne trouve d'intérêt pour rien, elle qui était toujours partante pour tout, toujours à l'écoute de tous. Retrouver la force, se redresser, se remettre en mouvement... tel est son nouveau défi. Ce texte se déroule au rythme des impulsions de cette femme au bord du gouffre, et le lecteur ressent chaque essoufflement, chaque respiration, chaque instant de vie. L'auteure veut nous faire avancer dans les pas de Diane pour en saisir toutes les émotions jusqu'au dénouement, heureux ou malheureux ? Laissez-vous guider par Diane...". (Claudine Citron)

04/2015

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Photographie

Diane Arbus

A Londres, en janvier 2005, l’exposition consacrée à la photographe Diane Arbus s’achève en gloire. La presse entière acclame ce travail longtemps jugé dérangeant, voire « pervers » comme le disait Susan Sontag. Les collectionneurs s’arrachent les tirages à prix d’or : « Boy with a toy grenade in his hand », cliché légendaire, se vend à 350.000 dollars. Nan Goldin, Steven Meisel ou Cindy Sherman sont les disciples de ce style noir et blanc, au format carré sans concessions, parfois dévoyé entre le « porno-chic » et le trash. Il manque quelqu’un pour le happy end. Diane Arbus n’est plus là pour savourer la revanche sur le milieu frelaté de la mode où les directeurs artistiques l’exploitaient au rabais. En juillet 1971, à l’âge de 48 ans, un jour de moite chaleur new-yorkaise, un ami la trouve les veines tranchées, dans sa baignoire. Diane Arbus, née Nemerov sur Central Park West, petite fille gâtée de l’upper-class juive américaine, puis mère de famille se levant à 5 heures du matin pour courir les cirques ou les asiles psychiatriques, est une artiste en photographie. Passée par la photographie de mode, travaillant pour Condé-Nast, Harper’s Bazaar ou Vanity Fair, fréquentant Richard Avedon et Irving Penn, elle consacre son temps aux frivolités qu’on maquille. Elle s’émancipe vite, se brûle au contact des damnés de la ville. C’est l’une des premières, sinon la seule avec Lisette Model, à saisir les ombres errantes de Manhattan : elle saisit au vif avaleurs de sabre, femmes à peau de serpent, nudistes militants, aliénés hilares, géants, jumelles sibyllines au regard de glace, photographiés au flash dans des hôtels miteux ou des recoins hors la loi de Central Park. Le Barnum américain, côté coulisses. « Je suis née tout en haut de l’échelle, et depuis toute ma vie, j’en ai dégringolé aussi vite que j’ai pu » disait-elle. Alors, comment rester intacte quand l’ambition d’une artiste est de traverser le miroir des apparences. Au risque de le briser. Se briser, aussi.

09/2009

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Littérature française (poches)

Diane Lanster

Frappé par la poliomyélite dans son enfance, Thierry, étudiant en Arts-Déco, " boite bas, se démange beaucoup et vivote un peu ". Comment, dans une telle enveloppe, séduire Diane, beauté rare et surdouée ? Il l'aime furieusement; elle ne lui voue qu'une immense affection. Il attend d'elle des mots qui ne viendront jamais, se désespère, se révolte et bientôt perce un insupportable secret. Il adresse alors à la jeune femme une lettre d'adieu, coupante et blessée. Cette lettre constitue un roman, le bilan du carnage d'une passion.

01/1999

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