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Dezsö Kosztolanyi

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Poches Littérature internation

Kornél esti

Kornél Esti, c'est le double de l'auteur, son moi secret, celui qui ose être et faire tout ce qui est interdit à Dezsô Kosztolânyi. Les aventures de ce Don Quichotte hongrois ont pour théâtre et héroïne la Budapest merveilleusement vivante d'une époque bénie entre deux cataclysmes, les années 1920. Douce ironie et farces d'écolier, fantastique débridé côtoyant des impressions d'enfance et de jeunesse d'une extraordinaire fraîcheur, comique de l'absurde et douloureuse compassion pour la condition humaine. C'est " au milieu de sa vie ", comme Dante pour sa Divine Comédie, que Dezsô Kosztolényi (1885-1936) entreprend de réunir ces nouvelles dans un ordre précis pour en faire son autobiographie rêvée, à la fois art poétique et art de vivre. Voici l'unique traduction intégrale de son chef-d'oeuvre en prose. Les lecteurs y retrouveront la fameuse histoire du Traducteur cleptomane, publiée ici sous son titre original. Cette suite romanesque brillamment construite donne la pleine mesure de l'originalité du talent de Dezsô Kosztolânyi.

04/2012

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Poches Littérature internation

Le traducteur cleptomane. Et autres histoires

Dans ce choix de nouvelles, Dezsö Kosztolányi met en scène son propre double, Kornél Esti. Avec un humour pince-sans-rire teinté d'un certain pessimisme, il raconte le Budapest des années 1920 et, plus généralement, le monde qui l'entoure. On retrouve le ton savoureux du grand écrivain hongrois dans ces courtes histoires fantaisistes, faites de dérision, d'absurde et d'un regard déroutant sur le réel.

06/2020

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Poches Littérature internation

Une famille de menteurs

Après «Le trompettiste tchèque», une deuxième sélection de nouvelles inédites retraçant l'évolution de l'écriture du grand écrivain hongrois, donnant à voir différentes facettes de la production de ce maître de la forme courte.

11/2016

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Poches Littérature internation

Cinéma muet avec battements de coeur

Le cycle romanesque Kornel Esti (1933), son chef-d’oeuvre, tel qu’il a été recomposé à partir d’une quarantaine de nouvelles disséminées, peut être considéré comme le fruit de cette réflexion. La série plus instinctive de "griffonnages" rassemblés dans Cinéma Muet, en est un autre. Traits de plumes, extraits de bloc-notes, fragments de journal, réflexions morales, micro fictions, poèmes en prose, ces cinquante-trois textes, "sans tours de passe passe", nous entretiennent en bloc des affaires de la vie et s’étonnent tendrement, non sans humour parfois, devant la poignante, la grande fabrique, le cinéma muet du désespoir quotidien. Leur sujet est essentiellement humain, leur caractère souvent paradoxal, leur point de départ presque toujours anodin ; ce que l’auteur a vécu hier, aperçu ou contemplé dans la rue, une mendiante, un bonhomme de neige, le manège d’une mouche, ce dont il a rêvé, la mort de son stylo, le serrement de coeur qu’il a eu un jour dans son enfance, des "banalités jamais usées".

02/2013

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Littérature étrangère

Portraits

A la fin des années 1920, au sommet de sa gloire, Dezso Kosztolanyi eut l’idée d’endosser les humbles habits d’un enquêteur pour croquer sur le vif les représentants, le plus souvent anonymes, des métiers les plus divers. Trente-cinq de ces entretiens, de la sage-femme au fossoyeur, sont présents dans ce recueil. Ces Portraits brossent en quelques échanges enjoués une personnalité ; les questions y sont toujours pertinentes, souvent surprenantes, et fouillent dans la vie, les anecdotes, les pensées d’une femme de ménage légère et rieuse, d’un éboueur bourru ou encore d’un imprimeur consciencieux. Capable d’apartés hilarants, Kosztolanyi donne à lire, à travers l’ironie, la tendresse et l’empathie pour les êtres simples qui caractérisent son art, une étude de mœurs vive et fascinante. On y retrouve son amour de la littérature, ses réflexions sur le métier d’écrivain et sa vive attention au langage alliant la clarté française au sens très aigu des ressources de la langue hongroise. Mais ces Portraits permettent surtout à Kosztolanyi de se demander ce que signifie pour ses semblables l’existence elle-même. Son propos lui est suggéré par sa conviction originale que la vie est un miracle pour lequel on se doit de lutter. La façon qu’ont le barbier, la choriste, le photographe ou le diplomate, et bien sûr l’écrivain, de vivre ce miracle, sont des réponses à la question : la vie vaut-elle d’être vécue ? De cette brillante confession inédite en français, que l’on peut considérer comme une trouvaille hors pair du point de vue du genre, on s’en délectera à plus d’un titre.

05/2013

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Littérature étrangère

Le Mauvais Médecin. Suivi de Baignade et de Chant pour un enfant malade

Dezso Kosztolanyi (1885-1936) occupe dans la littérature hongroise du XXe siècle une place de tout premier plan. Son talent s'illustre dans quasiment tous les domaines de l'activité littéraire - poésie, romans, nouvelles, traduction, articles et essais. Le Mauvais Médecin, inédit en français, est son premier roman. Par sa brièveté, il s'apparente à un genre littéraire en vogue en Hongrie depuis le XIXe siècle : a kis regény, le "roman bref". Si Le Mauvais Médecin est bien le premier roman de l'auteur, il ne s'agit pas pour autant de l'oeuvre d'un débutant. Et du reste, le style incomparable de Kosztolanyi y est déjà présent, incontestablement : pureté de la langue, concision extrême de la phrase, du récit, cruauté de la thématique. Cruauté de la thématique en effet : on assiste, sur une centaine de pages, à la tragédie vécue par Istvan et sa femme. Ce récit est celui de la mort de leur petit garçon, qu'un mauvais médecin a condamné, et des tourments qui accablent ces parents endeuillés. Ce court roman est suivi d'une nouvelle, Baignade, et d'un poème, Chant pour un enfant malade, présentés dans une nouvelle traduction.

10/2011

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