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Devant le seuil

Extraits

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Terreur

Le rôdeur devant le seuil

En 1921, dans une forêt mal famée du nord d'Arkham, la demeure ancestrale des Billington, abandonnée depuis des décades est rouverte par un de leurs descendants. D'étranges papiers de famille lui révèlent les noms de Dagon, Nyarbuthotep, et l'existence d'un chef indien fantôme qui aida son ancêtre à appeler Quelque Chose à venir du ciel dans la Nuit. Il découvre son appartenance à l'espèce infâme qui voulut ouvrir les portes de la terre à des monstres venus des étoiles, ayant pour parent le grand Cthulhu. Et il réalise que la tour lointaine, placée dans l'axe de la grande fenêtre, est une porte sur le seuil de laquelle ils attendent. L'ouvrira-t-il ? A qui ? Ou à quoi ? Pourquoi les étoiles sont-elles descendues du ciel dans la tour avant d'éclater en un flux de chair protoplasmique, putride et noire ?

10/1983

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Sur le seuil

Sur le seuil est un triptyque : trois formes, trois regards, trois mises en perspectives de ces instants autant éphémères qu'éternels où l'humanité fait face à ses choix, ses doutes, ses peurs. Cet ouvrage sensible s'inscrit dans la continuité du travail d'écriture poétique de l'auteur. La musique est présente dans le phrasé comme une proposition esthétique faisant appel au mouvement, celui des sens, répondant à celui du sens. Le seuil révèle le choix auquel chacun fait face, instants après instants, en un mouvement perpétuel emprunt parfois de chaos, de beauté et d'harmonie. A travers son travail d'écriture, l'auteur recherche la musicalité des mots tout autant que la contemplation poétique. Il s'agit de deux approches séparées et indépendantes d'une même trajectoire dont les idées se croisent, se décroisent, se tissent. Vous voilà au pied de la porte, devant son seuil, avec l'aventure du choix et l'abandon d'un peu de temps pour rêver, aimer et suspendre l'espace de quelques instants poétiques.

09/2021

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Revues Poésie

Poétique N° 148, Novembre 2006

Qu'entend-on par journal personnel en ce début de XXIe siècle, à un moment où le genre connaît un développement sans précédent ? Quels sont, du Journal de Stendhal au Mausolée des amants d'Hervé Guibert, les caractères de ces textes, qu'on les appelle journaux intimes, journaux littéraires, journaux de voyage, journaux de guerre... ? Tenter de répondre à cette question, c'est d'abord rencontrer la figure du diariste, source et objet du discours personnel, en retrait du monde et penché sur ses propres profondeurs, développant le discours qu'il ne tient pas devant autrui. C'est ensuite lire les notes quotidiennes comme autant de saisies de l'instant et de jalons du passage du temps, qui font du journal une " espèce d'histoire ", un récit apparemment sans structure, disparate et bigarré. C'est encore poser la question de la destination, ou plus précisément de la figure de lecteur que le texte pose ou présuppose : comment le diariste, qui affirme souvent n'écrire que pour lui-même, prévoit-il, voire met-il en place une lecture extérieure ? C'est enfin s'interroger sur le statut du genre : quelle littérarité le journal peut-il se voir reconnaître, par renversement des valeurs littéraires ? Car, finalement, décrire le journal, c'est se demander ce que peut être une littérature intime. Et c'est se demander ce qu'est la littérature.

11/2006

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Alzheimer - Parkinson

Le deuil blanc

Le talentueux écrivain-poète Jean Biès dût affronter sept ans durant la "maladie-sans-nom" qui frappa Rolande, son épouse, psychothérapeute jungienne réputée et "femme irradiante". De ce cauchemar, naitra le Deuil blanc, le poignant "Journal d'un accompagnant" de la maladie d'Alzheimer qu'il nous a laissé après sa propre mort. Au fil de ces "feuilles de déroute", teintées d'humour et de tendresse, le Deuil blanc se révèle un formidable chant d'amour. Celui d'un homme désespéré par le lent et noble déclin de celle qu'il aime au-delà de tout. Celui d'un homme démuni et dérouté devant la maladie qui évoque avec pudeur l'arrivée de la solitude, l'effacement de la mémoire, l'arrachement de cet alter ego et le "yoga des larmes" qu'il s'impose pour surmonter l'absence de celle qu'il avait décrit des années plus tôt comme "I'Initiatrice".

09/2015

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Littérature japonaise

Devant mes yeux le désert

"En écrivant, j'ai voulu vérifier le pouvoir qu'ont les mots du quotidien, les mots du langage le plus éculé, de déboucher sur la métaphysique. Par un collage de fragments de chansons populaires, de termes sportifs, de dialectes, de citations romanesques ou poétiques, il me semblait possible d'entrevoir un autre monde. C'est un roman de la rue, de ses labyrinthes et ruelles interdites." C'est dans le quartier de Kabukicho, à Tokyo, que vivent les personnages de Terayama. Loin du zen du Tokyo propre et traditionnel de la littérature japonaise classique, l'univers de Terayama est celui de la fureur, de la saturation, de l'interlope, du crime, des corps cras- seux, de la transgression déguisée en norme sociale. Dans Devant mes yeux le désert, son seul livre jamais traduit en français au début des années 1970, l'éclat des néons du quartier rouge de Kabukicho jette une lumière crue sur des héros qui apparaissent dans leur nudité, leur nullité : garçon coiffeur bègue qui cherche une rédemption dans la boxe, salarymen s'adonnant au plaisir solitaire dans les cinémas érotiques de la capitale japonaise, prostituées exsangues aux mains des yakuzas. Tous obéissent à la nécessité de vivre dans le paysage chaotique d'une ville anarchique, dans ce désert de pierre où se multiplient pourtant les marques d'une civilisation profonde. Ici, l'obscénité est moins obscène que la souffrance et l'injustice.

05/2018

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Deuil interdit

Becky, une jeune fille de 16 ans, est retrouvée morte, une balle tirée en pleine poitrine, sur une colline de Los Angeles. Il faut attendre dix-sept ans et les résultats d'une analyse ADN pour que l'affaire revienne sur le devant de la scène. L'enquête prend vite des allures de cauchemar. Drôle d'accueil pour l'inspecteur Harry Bosch, qui réintègre le LAPD après trois ans de retraite...

05/2006

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