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Delphine Horvilleur

Extraits

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Judaïsme

Vivre avec nos morts

Etre rabbin, c'est vivre avec la mort : celle des autres, celle des siens. Mais c'est surtout transmuer cette mort en leçon de vie pour ceux qui restent : "Je me tiens aux côtés de femmes et d'hommes qui, aux moments charnières de leurs vies, ont besoin de récits". La tapisserie de ce livre de consolation tresse étroitement trois fils : le conte, l'exégèse et la confession. La narration d'une vie interrompue, la manière de donner sens à cette mort à travers les textes de la tradition, et l'évocation d'une blessure intime ou la remémoration d'un épisode autobiographique dont elle a réveillé le souvenir enseveli. Les textes sacrés ouvrent un passage entre les vivants et les morts : "Le rôle d'un conteur est de se tenir à la porte pour s'assurer qu'elle reste ouverte". Et permettre ainsi à chacun de faire la paix avec ses fantômes.

03/2021

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Judaïsme

Vivre avec nos morts

Etre rabbin, c'est vivre avec la mort : celle des autres, celle des siens. Mais c'est surtout transmuer cette mort en leçon de vie pour ceux qui restent : "Je me tiens aux côtés de femmes et d'hommes qui, aux moments charnières de leurs vies, ont besoin de récits". La tapisserie de ce livre de consolation tresse étroitement trois fils : le conte, l'exégèse et la confession. La narration d'une vie interrompue, la manière de donner sens à cette mort à travers les textes de la tradition, et l'évocation d'une blessure intime ou la remémoration d'un épisode autobiographique dont elle a réveillé le souvenir enseveli. Les textes sacrés ouvrent un passage entre les vivants et les morts : "Le rôle d'un conteur est de se tenir à la porte pour s'assurer qu'elle reste ouverte". Et permettre ainsi à chacun de faire la paix avec ses fantômes. Delphine Horvilleur livre un texte à la fois intime et universel, puissante réflexion sur le deuil et la mémoire. De sa belle voix chantante, elle offre une lecture lumineuse, qui dessine une voie de dialogue entre les vivants et les disparus. Musique interprétée au piano par Simon Zaoui.

08/2021

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Judaïsme

Vivre avec nos morts

Delphine Horvilleur est rabbin. A travers onze récits, elle évoque des vies interrompues (célèbres ou anonymes), la manière de donner sens à ces morts à travers des textes sacrés, et l'évocation d'une blessure ou d'un épisode dont elles ont réveillé le souvenir. "Savoir raconter ce qui fut mille fois dit, mais donner à celui qui entend l'histoire pour la première fois des clefs inédites pour appréhender la sienne. Telle est ma fonction."

05/2021

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Dessin

Oct.7, à l'ombre de l'art

"L'effondrement du monde le 7 octobre et depuis lors nous a laissés paradoxalement écartelés entre un silence assourdissant et un trop-plein de mots vides de sens. Plutôt que de donner encore la parole à des experts, réels ou autoproclamés, nous avons conçu cet ouvrage comme un lieu d'expression offert aux artistes, à ceux qui, selon la tradition juive, s'expriment "à l'ombre de Dieu" - comme l'exprime le nom de l'artiste biblique emblématique, Betsalel. Plutôt que l'indignité des images ultraviolentes qui nous submergent depuis un an, nous avons demandé aux artistes israéliens et juifs ce qu'ils peuvent nous dire des amères ténèbres dont nous ne parvenons pas à sortir, comment ils peuvent, eux, dire ce que nous ne sommes plus capables d'articuler". Delphine Horvilleur Avec la participation de : Antoine Strobel-Dahan, Delphine Horvilleur, Michael Liani, Joann Sfar, Aharon Shabtai, Sharon Rashbam Prop, Andi Arnovitz, Reut Asimini, Richard Kenigsman, Pilpeled, Zoya Cherkassky, Roni Eldad, Yury Kharchenko, Tsibi Geva, Myriam Tangi, Tal Nitzán, Zamir Shatz, Shai Azoulay, Sigalit Landau, Agi Mishol, Arthur Essebag, Gabriel Klasmer, Safira Klein, Nir Hod, Gideon Rubin, Or Yogev, Roni Someck, Yudith Levin, Izabella Volovnik, Shani Kiniso, Ben Peled, Nirit Takele, Sender Vizel, Haran Kislev, Eran Yona, David Polonsky, Roni Levavi, Raphael Zagury-Orly, Yana Rotner, Jonathan Chazor. Un ouvrage trilingue (français, anglais et hébreu) richement illustré, au bénéfice des familles des otages et des disparus.

10/2024

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Judaïsme

Vivre avec nos morts

En tant que rabbin, Delphine Horvilleur est confrontée chaque jour au mystère de la mort. Pour accompagner les mourants et réconforter les endeuillés, elle tente de transmuer l'inéluctable, d'y trouver du sens : "Je me tiens aux côtés de femmes et d'hommes qui, aux moments charnières de leurs vies, ont besoin de récits", écrit-elle. Ce "petit traité de consolation" tresse étroitement trois fils - le conte, l'exégèse et la confession : la narration d'une existence interrompue, la manière de donner une signification à cette mort à travers les textes de la tradition, et l'évocation d'une blessure intime ou la remémoration d'un souvenir enfoui. Les textes sacrés ouvrent un passage entre les vivants et les défunts, et "le rôle d'un conteur est de se tenir à la porte pour s'assurer qu'elle reste ouverte", invitant ainsi chacun à faire la paix avec ses disparus et avec sa propre histoire.

09/2022

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Judaïsme

En tenue d'Eve

Les discours religieux fondamentalistes actuels expriment une obsession croissante de la pudeur des femmes. Réduite aux parties de son corps susceptibles d'éveiller le désir, la femme est « génitalisée » à outrance, et la pudeur est invoquée pour couvrir sa nudité. Mais cette notion ne peut-elle pas renvoyer à autre chose qu'à la dissimulation et à la frustration ? Et est-ce l'unique image que la religion propose des femmes ?A la lumière des grands épisodes bibliques, du jardin d'Eden au Mont Sinaï, puis de la littérature religieuse, Delphine Horvilleur, Rabbin libéral et femme moderne, analyse successivement les sens de la pudeur et de la nudité, l'obsession du corps de la femme et sa représentation comme « être orificiel » pour proposer une autre interprétation de la tradition religieuse et mettre à mal les lectures fondamentalistes qui font de la femme un être tentateur et de la pudeur l'instrument de sa domination. Ainsi nous montre-t-elle comment la nudité recouverte d'Adam, d'Eve ou de Noé, renvoient à une culture du désir et non à une volonté de le tuer. Comment le voile est à l'origine destiné, non à rejeter, mais à approcher l'autre. Comment le féminin concerne aussi les hommes qui endossent, dans la prière et la pratique judaïques, les attributs des femmes et du maternel. On découvre alors, dans cette plongée au coeur des grandes traditions monothéistes, un autre visage de la femme, de la pudeur, et de la religion.

05/2013

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