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De Sampiero à Bonaparte. La Corse militaire sous l'Ancien Régime

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Dossier

La littérature à Montmorillon, sous la présidence de Franck Bouysse

Du 2 au 4 juin prochain, la manifestation littéraire dédiée aux territoires et à leurs réalités en mouvement revient. Ouverte à toutes et tous des plus petits aux plus grands, elle offrira lectures, rencontres, débats, projections, ateliers, spectacle jeune public, repas festif, balades patrimoniales... 

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Dossier

24es Rendez-vous de la bande dessinée à Amiens

L’inauguration des 24es Rendez-vous de la Bande Dessinée d’Amiens, aura lieu ce vendredi 31 mai à partir de 18 h à la Halle Freyssinet. Pour la première fois cette année, est proposée une visite de l’ensemble des expositions visibles à la Halle ! 

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Dossier

Axelle Demoulin et Nicolas Ancion : traducteurs à quatre mains

Avec plus d'une centaine de romans traduits de l'anglais et de l'espagnol, Axelle Demoulin et Nicolas Ancion forment un des tandems les plus productifs de la traduction en langue française. Bon nombre des titres qu'ils ont traduits en français ont figuré parmi les meilleurs vendeurs en littérature Young Adult, comme la trilogie À travers ma fenêtre, d'Ariana Godoy chez Hachette, ou la série Serpent & Dove de Shelby Mahurin, publiée par De Saxus. 

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Dossier

DC Comics, la place forte de Batman, Superman et la Ligue des Justiciers

Batman, Superman, Wonder Woman, Green Lantern, Aquaman, et les vilains Harley Quinn, Lex Luthor, Ra's al Ghul ou encore le Joker... La galerie des personnages de DC Comics donne le vertige tant les identités sont fortes et les profils variés : la maison d'édition américaine, créée en 1934 par Malcolm Wheeler-Nicholson, un ancien militaire, n'était pourtant pas spécialisée dans les super-héros à ses débuts.

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Dossier

En juin, la bande dessinée donne Rendez-vous à Amiens

« Soleil de juin luit de grand matin », comme chacun le sait : voilà qui tombe à pic, tout le mois de juin sera consacré, week-end après week-end, au 9e Art. La ville d'Amiens accueille ses traditionnels Rendez-vous de la BD, mais celle-ci prend ses quartiers, bien plus que d'ordinaire. 

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Dossier

Scrineo : 12 ouvrages à retrouver sous le sapin... et entre les mains

Alors que les fêtes de fin d'années approchent à grands pas, une question se pose : quoi offrir à la jeunesse ? Si les jeux vidéos, tablettes, jouets et peluches sont les stars des ventes chaque année, les cadis remplis de cadeaux pourraient bénéficier d'un renouveau en faveur de la lecture, incitant les enfants à explorer leur imagination.

Extraits

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Sciences historiques

De Sampiero à Bonaparte. La Corse militaire sous l'Ancien Régime

Aux Temps modernes, révolution culturelle, avancées scientifiques, mais aussi révolution militaire annoncent une ère nouvelle dans les arts de la guerre. Ce cycle de guerres d'un style nouveau favorise une émigration militaire chez les peuples pauvres ou opprimés alors que les mercenaires, à l'âge de la poudre, ont banni du champ de bataille les chevaliers de l'ost féodal. Les dynasties puissantes, qui prétendent à l'hégémonie en se substituant aux condottieres, font de ces mercenaires des soldats. Par nécessité, ambition et goût de l'aventure, souvent mêlés, les Corses saisissent cette opportunité. Ils sont recherchés en raison de leurs aptitudes guerrières que les nombreux conflits de l'époque leur donnent l'occasion de démontrer. Les guerres européennes verront donc fleurir un certain nombre de compagnies ou régiments formés souvent quasi exclusivement de Corses venus faire carrière et, de fait, s'illustrer, au point, pour certains, de grimper rapidement dans les échelles militaires ou politiques. Au XVIIIe siècle, la levée, non sans motivations politiques, du Royal-Corse offre à l'émigration de la misère un exutoire, aux notables corses l'accès à la noblesse de France, aux rebelles poursuivis par Gênes un refuge. Cette politique de ralliement sera poursuivie après 1769 avec la levée de la Légion corse et du régiment de Buttafuoco devenu Provincial de Corse et dévolu au maintien de l'ordre dans l'île. L'auteur présente ici l'ensemble de ces corps, au regard des événements politiques et militaires qui les ont suscités, depuis Sampiero Corso jusqu'aux débuts de la Révolution française qui verra une étoile insulaire subitement briller dans le ciel européen, ce jeune artilleur du nom de Napoléon Bonaparte.

07/2012

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BD tout public

Sampiero corso

Sampieru di Bastergà, dit Sampiero Corso, est né en Corse, à Bastelica, en 1498. Il était dit que ce jeune corse de l’âge féodal réalise de grandes choses sur son île, mais pas seulement. Dans l’Europe entière. Adolescent, il quitte l’île de son enfance pour apprendre le maniement des armes et l’art de la guerre auprès de Jean de Médicis. Il va servir le Pape Clément VII, puis la Maison de France, se couvrant de gloire dans les armées de François 1er. C’est alors, en pleine gloire, qu’on l’appelle « Sampiero Corso », du nom de son île. Sa bravoure au combat se fait connaître au-delà des frontières et le jeune homme arbore ses cicatrices comme des trophées de guerre. Il fascine. On le craint jusque devant la porte de Charles Quint. Jusqu’au jour où Sampiero Corso prend deux décisions : épouser Vannina d’Ornano, une jeune aristocrate corse de trente ans sa cadette et rentrer en Corse à la tête de solides troupes, afin de faire la guerre aux Génois. Commence alors une épopée fantastique qui va faire de Sampiero Corso l’un des personnages les plus légendaires de son époque.

01/2013

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Histoire régionale

Une histoire de la Corse française. Depuis sampiero corso à nos jours

Comment définir le lien de la Corse avec la France et quel est son fil conducteur ? Pourquoi ces deux entités si disparates ont-elles uni leurs destinées alors que, culturellement parlant, la Corse était plus proche de l'Italie ? L'union entre la France et la Corse commence par le mariage forcé du traité de Versailles de 1768. Peu après, Bonaparte intègre la Corse à l'administration française. Le mariage forcé se transforme en mariage d'amour sous Napoléon III, qui entretient une relation personnelle avec l'île. Cette union perdure jusqu'à de Gaulle, dernier chef d'Etat admiré en Corse. La fin de l'Empire colonial et de l'Algérie française, où tant de Corses sont impliqués, marque les débuts d'une prise de distance avec la France. A la fin des années 1950, les insulaires se sentent délaissés tant leur région reste sous-développée. Durant les années 1970, un nationalisme aux multiples facettes prospère dans les esprits. Après des années de violence et de nombreuses réformes, la Corse acquiert un statut d'autonomie tandis que les nationalistes accèdent au pouvoir institutionnel en 2015. Si le leitmotiv de l'indépendance est loin d'avoir disparu, surtout parmi les jeunes, aucun projet crédible n'a été proposé à ce jour. Dans cet essai enlevé, Paul-François Paoli n'écrit pas l'histoire de la Corse française mais bien "une" histoire de la Corse française. Une histoire indéniablement subjective mais qui se veut aussi impartiale que possible.

10/2023

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BD tout public

Sampiero Corso : L'intégrale

Sampiero Corso est le plus célèbre des Personnages historiques corses, avec Napoléon et Pasquale Paoli. Il rencontra les plus grands de son siècle agité, inspira Shakespeare, et devint une légende sur les champs de bataille jusqu'à Alger, où on l'appelait le "roi des corses". Sempiero Corso était un mercenaire, un condottiere, un héros qui devint un mythe de son vivant. Cette bande dessinée en deux épisodes, réunie ici en un seul volume, raconte sa légendaire histoire... Après les séries Paoli et Le Bagne de la honte, Frédéric Bertocchini et Eric Ruckstuhl poursuivent, aux éditions DLC, leur immense fresque historique en bande dessinée. Les auteurs continuent de nous raconter l'histoire de la Corse, et les Corses de l'histoire, avec brio. Cette série a été récompensée par le Prix Public du festival de la BD de Longvic (Côte-d'or).

07/2017

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Sciences historiques

La Chasse sous l'Ancien Régime

De Charles VIII à Louis XVI, les chasses aristocratiques ont été associées à un style de vie et à un style de pouvoir. Faucons jetés sur leur proie, meutes excitées par les trompes, cavalcades à travers les bois de Chambord ou de Versailles, autant d'images qui évoquent un temps où les chasses royales prenaient les allures d'une démonstration politique. Cette liturgie spectaculaire remonte au XIVe siècle, quand la chasse fut interdite à la majorité des roturiers. Toutefois, ce n'est qu'à partir des guerres de Religion que le cérémonial se fait plus contraignant, tandis que l'absolutisme se renforce. Chasser est alors un privilège, mais ce privilège oblige, car il s'appuie sur des hiérarchies que la noblesse proclame inscrites dans la nature. Au fil des siècles, les règles du " noble déduit " se multiplient, précisées par les traités qui définissent aussi bien le gibier digne ou non d'être chassé que les façons de poursuivre l'animal. La chasse devient confrontation réglée avec la sauvagerie, mise à l'épreuve, individuelle et collective, et les rites qui l'entourent une forme d'éducation où le jeune noble apprend à donner à ses pairs les preuves de son identité. Or les chasseurs d'Ancien Régime, en déjouant les ruses du gibier, n'apprenaient-ils pas aussi à se déjouer des rôles qui la société leur assignait ? La chasse sous l'Ancien Régime ne peut être réduite à un code strict. Fauconniers et veneurs mais aussi braconniers de ces trois siècles ne partageaient-ils pas la même passion ? Leurs plaisirs sont encore en partie les nôtres.

09/1996

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Sciences historiques

Guingamp sous l'Ancien Régime

Durant tout l'Ancien Régime, Guingamp demeure une petite ville, à la limite du gros bourg. Centre d'approvisionnement et de redistribution en produits et denrées de première nécessité pour la campagne alentour, la cité ne connaît pas l'essor que sa situation géographique, ses activités économiques et même ses institutions au sein de l'ensemble breton devraient pourtant légitimement lui garantir : peuplée de 3 000 à 4 000 habitants à la fin du 15e- début XVIe siècle, Guingamp n'en dénombre guère davantage à la veille de la Révolution. Sans doute les structures démographiques de la cité sont-elles à mettre en cause : tout au long de la période, les populations guingampaises éprouvent de grandes difficultés à assurer le renouvellement des générations, notamment en raison d'une forte mortalité infantile et juvénile ainsi que d'un âge moyen au mariage relativement tardif chez les femmes. A la vérité, elle n'y parvient que grâce à l'apport migratoire fin 16e- début XVIIe siècle par exemple, plusieurs familles nomades s'installent en ville. Cependant, au-delà de ces faiblesses proprement structurelles, somme toute caractéristiques du milieu urbain d'Ancien Régime, la responsabilité même des élites guingampaises semble directement engagée. Dans une cité majoritairement peuplée de petites gens, nobles et bourgeois aisés - il est vrai peu nombreux - ont seuls les capacités financières requises pour dynamiser l'économie locale. Or, ils préfèrent investir dans la pierre et dans la terre (sources de richesses et enjeux sociaux important), condamnant ainsi Guingamp à la stagnation économique.

01/1999

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