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Collin Wilcox

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Policiers

UN CARTON SUR LES FLICS

A San Francisco, sévit depuis peu " L'Homme Masqué ", un curieux meurtrier qui tue ses victimes par ordre alphabétique. Après chacun de ses crimes, il réclame à la Municipalité une somme plus importante. A 500 000 dollars - comme la prochaine personnalité visée serait vraisemblablement le chef de la police - on envoie le lieutenant Hasting se jeter dans la gueule du loup avec la rançon demandée. Comme surprise-casse-pipe, c'est plutôt gratiné.

01/1978

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Littérature étrangère

Howards End. Le legs de Mrs. Wilcox

Dans Howards End, publié en Grande-Bretagne en 1920, traduit en français par Charles Mauron en 1949 sous le titre Le legs de Mrs Wilcox, Forster renonce temporairement à la dualité géographique qui avait fait le succès de ses romans "italiens", Monteriano et Avec vue sur l'Arno. L'"affrontement entre les choses qui importent et celles qui n'ont pas d'importance. entre la réalité et les faux-semblants" a certes toujours lieu, mais au sein même de l'Angleterre de son temps, à l'aube de la modernité, avant le grand bouleversement de 1914.

09/2015

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Littérature anglo-saxonne

Howards End. Le legs de Mrs. Wilcox

Publié en 1910, sous le titre anglais d'Howards End, Le legs de Mrs. Wilcox est le quatrième roman de Forster. Situé dans l'Angleterre du tout début du xxe siècle, qui est encore celle de l'Empire britannique et déjà celle des débuts de l'automobile, le roman, à travers l'histoire des deux soeurs Margaret et Hélène Schlegel, fait se rencontrer, non sans heurts, trois familles qui représentent trois catégories sociales de l'Angleterre. Les soeurs Schlegel, filles d'un émigré allemand, représentent une grande bourgeoisie "cosmopolite" , cultivée et "libérale" au sens anglais du terme, c'est-à-dire "de gauche" , préoccupée par la question sociale et les droits des femmes ; les membres de la famille Wilcox, rencontrée au cours d'un voyage en Allemagne, sont, quant à eux, des industriels, parfaits représentants de l'Empire et du "libéralisme" britannique ; tandis que Leonard Bast, mal marié à la peu recommandable et pitoyable Jackie, est un petit employé londonien qui aspire à la culture sans en avoir les moyens. Avec plus de maestria encore que dans les romans précédents, Forster parvient merveilleusement à allier la comédie (et même la satire) sociale à son désir de poser dans le roman, à travers ses personnages, la question de la réalité, qui ne s'atteint que dans l'accomplissement intégral de soi. Virginia Woolf écrit à ce propos : "A nouveau, mais sur un terrain de bataille plus vaste, se poursuit le combat que l'on trouve dans tous les romans de Forster - le combat entre les choses qui importent et celles qui n'ont pas d'importance, entre la réalité et les faux-semblants, entre la vérité et le mensonge". Il faudra non seulement toute la patience de Margaret Schlegel, mais aussi la violence des événements, pour que son désir de "mettre du lien" entre les choses et les êtres ("relier suffit" est la devise du roman), qu'elle met en pratique en épousant Mr. Wilcox, finisse - comme dans Le plus long des voyages - par aboutir à une harmonie retrouvée, loin de la trop moderne Londres : les trois familles se réuniront enfin en la personne de Tom, le fils adultère d'Hélène et de Léonard, à Howards End, dans la maison de campagne que la vieille Mrs. Wilcox avait souhaité léguer aux Schlegel. Le livre fut un immense succès public dès sa parution. Mais, comme l'a très bien noté David Lodge dans sa préface à l'édition Penguin du roman, en 2000, s'il dépeint avec une parfaite exactitude l'Angleterre d'avant la Première Guerre mondiale, sa manière de mener le débat entre les valeurs de "l'intelligentsia de gauche" que l'on pourrait qualifier "anachroniquement" d'écologiste, représentée dans le livre par la famille Schlegel, et celles de la bourgeoisie capitaliste reste d'une étonnante actualité. Il a été adapté avec succès au cinéma en 1992 sous le titre Retour à Howards End par James Ivory, avec Vanessa Redgrave, Emma Thompson et Anthony Hopkins.

06/2022

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Littérature française

Colline

Un hameau provençal cerné de blé, de lavande, de genièvre. Le père Janet contemple cette nature depuis des années, il en connaît les sortilèges, et les secrets qui bruissent sur la colline. En montrant jadis où il fallait creuser pour capter l'eau, il a donné une fontaine, la vie, au village. Mais aujourd'hui Janet est vieux, couché près de l'âtre, il attend la mort en délirant. Ses paroles mystérieuses, menaçantes, inquiètent ses proches : c'est peut-être le signe qu'un danger plane sur le village. La fontaine tarit, une fillette tombe gravement malade, un incendie détruit les terres... Et si le vieux sorcier, se sentant finir, avait décidé de précipiter le village avec lui dans la mort ?

05/2002

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Autres éditeurs (K à O)

La colline

L'été s'éteint, les couleurs de l'automne se dévoilent. Les oiseaux se dirigent vers le sud. Au petit matin, un escargot se réveille après un long sommeil. Le temps est venu de prendre la route. Grignotant quelques feuilles par-ci par-là, admirant les fleurs parfumées, le jeune gastéropode redécouvre le monde qui l'entoure. Tout est différent du printemps ! Perché sur le chapeau d'un grand champignon, notre explorateur aperçoit le Vieux Chêne, tout en haut de la colline, et décide d'entamer une lente ascension pour le rejoindre. Zigzagant entre pierres et végétaux, le voyage ne sera pas un long fleuve tranquille, mais le jeune grimpeur reste serein et s'émerveille des beautés de la nature. Mais soudain, les nuages s'amoncellent et une averse menace le ciel...

08/2023

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Littérature française

La colline

Nous sommes dans les années soixante, dans une France prospère et généreuse où chacun peut se faire sa place. Les parents du petit Gabriel y ont fait la leur, à Nice, sur la colline de Magnan, où ils cultivent les fameux oeillets. C'est dur, mais moins que la misère de leur pays qu'ils ont dû fuir après la guerre. C'est sur cette colline que le petit Gabriel est né et a grandi. Gabriel Macchiavelli nous raconte dans La Colline ses années d'insouciance, les bonheurs simples, la solidarité, même si le racisme n'était jamais très loin. Un récit spontané, vu à travers un regard d'enfant.

05/2014

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