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Claude Pujade-Renaud

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Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Sylvie Le Bihan

Sylvie Le Bihan est l'autrice de quatre romans parus au Seuil et chez Jean-Claude Lattès, ainsi que de La petite bibliothèque du gourmand publiée chez Flammarion. Elle est directrice de l'international pour les projets des restaurants Pierre Gagnaire. 

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Livres, actualités : tout sur Boris Vian

Né le 10 mars 1920, Boris Vian fut un artiste touche-à-tout, dont la variété des modes d'expression n'est égalée que par le nombre de ses pseudonymes : Vernon Sullivan, Bison Ravi, Odile Legrillon, Gilles Safran, Boriso Viana ou encore Claude Varnier. Outre ses romans, comme J'irai cracher sur vos tombes ou L'Écume des jours, a signé des poèmes, des essais, des scénarios de films et a même enregistré des chansons.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Joyce Carol Oates

Née le 16 juin 1938 aux États-Unis, dans l'État de New York, Joyce Carol Oates a publié plus de 70 ouvrages en quelque 50 ans de carrière : ses romans croisent plusieurs univers et influence, et s'inspirent parfois de faits réels comme Blonde, publié en 2000, qui s'appuie sur la vie de Marilyn Monroe.

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Roman, nouveautés : les livres de Valérie Perrin

Valérie Perrin est née en 1967 à Remiremont dans les Vosges. Elle grandit en Bourgogne et s’installe à Paris en 1986, puis en Normandie en 1995. En 2015, elle publie son premier roman Les oubliés du dimanche chez Albin Michel. Traduit dans une dizaine de pays, il obtient 13 prix littéraires dont le Choix des Libraires 2018 et se classe depuis parmi les meilleures ventes au livre de poche.

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Livres, actualités : tout sur Roald Dahl

Livres, actualités : tout sur Roald Dahl

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Dossier

Rentrée d'hiver 2019 : une nouvelle année littéraire lancée

La rentrée littéraire d’hiver va s’avancer avec la nouvelle année. Dès ce 3 janvier, les premières parutions prendront place dans les librairies avec, d’ores et déjà, quelques grosses pointures attendues. Une armée de 493 romans sortira – avec 336 d’auteurs français. 

Extraits

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Littérature française (poches)

Le désert de la grâce

Avec une très grande probité historique dans la fiction, le roman de Claude Pujade-Renaud fait revivre un lieu mythique de foi et de résistance au pouvoir temporel : Port-Royal-des Champs.

08/2013

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Littérature française

Dans l'ombre de la lumière

Dans l’ombre se tient Elissa dont le prénom (équivalent phénicien de Didon) semblait prédestiné : comme l’héroïne de Virgile, elle a été abandonnée par l’homme qu’elle aimait. Un quart de siècle plus tôt, à Carthage où désormais elle vit, elle a rencontré ce jeune homme féru de rhétorique : Augustinus. Il n’était pas encore l’auteur de très fameux sermons, ni adepte de la religion bientôt officielle : le christianisme. Tous deux pratiquaient la foi manichéenne, favorisant, dans leur hygiène de vie et leur conduite, la victoire de la lumière sur l’obscurité. Très vite Elissa lui a donné un fils, Adeodatus. Puis elle a partagé l’existence quotidienne d’Augustinus, ses débuts dans sa carrière. Elle l’a suivi à Thagaste, a connu sa mère, Monnica, catholique qui tenait le manichéisme pour une hérésie. Ce fut ensuite le long séjour en Italie, où la mère a fini par les rejoindre. Augustinus semble alors traverser une période d’interrogation profonde. Brusquement, il annonce à Elissa son projet de mariage avec une jeune patricienne. Quand Elissa prend la parole, aux premières pages de ce livre, presque douze ans après sa “répudiation”, elle est revenue vivre chez sa soeur et son beau-frère, potier à Carthage. Adeodatus est mort à la fin de l’adolescence, loin d’elle. Partout le manichéisme (auquel elle est restée fidèle) ou les dévotions aux dieux anciens (phéniciens, carthaginois) sont persécutés. Elissa s’est liée d’amitié avec un couple dont le mari infirme, Silvanus, a pour métier de copier sur des parchemins les discours de rhéteurs, d’avocats, ou de l’évêque de Carthage. Par Silvanus et son épouse Victoria, elle apprend le passage prochain à Carthage du nouvel évêque d’Hippo Regius, le très réputé Augustinus. Claude Pujade-Renaud, avec l’habileté qu’on lui connaît, s’attache à subjectiver, par la voix d’un témoin “privilégié”, ce que l’Histoire a pu passer sous silence. Empathie et documentation précise ont été nécessaires à l’élaboration de ce livre qui ne se veut ni roman historique ni pure improvisation fictionnelle : Elissa a bel et bien existé. Sur le mystère que constitue la vie de cette femme après la “rupture”, la romancière déploie toutes les variations que suggère la polysémie du titre. De celui qui a accueilli la révélation de “la lumière divine”, Elissa incarne la part d’ombre. Mais par sa fidélité et sa constance amoureuse elle est à bien des égards, si ignorée qu’elle soit, plus lumineuse que l’homme qui, en quelque sorte sous ses yeux, va rédiger ses Confessions. Par l’entremise du copiste Silvanus, qui ne sait rien de son passé, elle grappille en effet tout ce qu’elle peut apprendre au sujet de cette oeuvre en cours, devenant pour ainsi dire une de ses premières et plus concernées lectrices. Le roman les rend donc indissociables, et sans leur inventer d’improbables retrouvailles, il réfléchit une vie dans et réciproquement par l’autre. Il s’agit bien sûr aussi, pour la romancière comme pour son héroïne, de démêler la trame des motivations (ambition, stratégie, carriérisme) et des influences (la mainmise de la mère sur le destin d’Augustinus) dans un contexte historique qui est tout sauf religieusement neutre. Le roman se construit entre les lignes des mémoires augustiniennes, accompagne les grandes étapes de l’oeuvre du prédicateur sur fond de durcissement de l’intolérance, et aussi de menaces multiples : la vie d’Elissa se poursuit au-delà de la chute de Rome, alors qu’elle-même a accueilli chez elle deux réfugiées, et que le futur saint Augustin prononce son célèbre sermon. Une fois de plus, guettant les moindres traces, interprétant les silences ou les aveux à demi-mots, pressentant les non-dits, déchiffrant le subtil pouvoir du lien maternel, évoquant le corporel, les habitudes, le comportement intime, Claude Pujade-Renaud parvient à élucider ce que seules les femmes (amantes, épouses ou mères) peuvent nous apprendre de ce qu’a négligé l’historiographie des “chers disparus”.

01/2013

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Littérature française

Le sas de l'absence

Les trois personnages de ce livre quasi initiatique s'appellent le Père, la Mère, la Fille. C'est la Fille qui raconte l'histoire. Et au moment où elle le fait, les deux autres sont morts. Elle les a vus entrer dans la vieillesse, elle les a vus franchir peu à peu - et pour ainsi dire main dans la main - le sas de l'absence : celle de l'esprit, celle du corps qui progressivement prenait congé. Et elle se souvient. Elle se décrit elle-même dans l'entre-deux de leur fin prochaine, quant la porte de la vie normale semblait juste derrière, et que celle du deuil ne tarderait plus à s'ouvrir. Cette traversée n'est pas unique : elle est universelle. En de très brèves séquences qui effleurent le passé et le présent, les rêves et la part nocturne des choses, la Fille évoque les soins, les dernières tendresses, l'indéfectible alliance du Père et de la Mère dont l'intimité, si opiniâtrement affirmée, l'aura jusqu'au bout tenue à la lisière de son enfance - et au seuil de leur secret. A elle, pourtant de veiller après avoir été veillée, de nourrir après avoir été nourrie. Il n'y a pas lieu d'avoir peur. Et sans doute suffit-il d'avancer pas à pas, de faire les gestes qui s'imposent. L'humour et la douceur ne sont pas le moindre viatique, dans ce livre qui trouve à chaque instant le ton juste - et les mots pour dire l'indicible.

08/1997

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Pédagogie

Le corps de l'élève dans la classe

Que disent les corps en classe ? Comment sont-ils perçus, décodés, interprétés, d'un côté comme de l'autre de la " barrière " pédagogique ? Question fort peu étudiée jusqu'à présent, tant il est vrai que l'espace du savoir évacue la corporéité en feignant de ne s'adresser qu'à de " purs esprits " débarrassés de toute contingence matérielle, et sur laquelle le travail novateur de Claude Pujade-Renaud, publié en 1983, avait fait date. Largement épuisé depuis, pionnier quand à l'utilisation de la clinique d'inspiration psychanalytique pour analyser des phénomènes d'enseignement, il reste parfaitement d'actualité, et c'est donc tout naturellement qu'il trouve sa place dans Histoire et mémoire de la formation. Respectant les choix originaux, la présente réédition se présente en deux volumes. Celui-ci est le premier, et questionne le corps à partir du point de vue des enseignants, à travers l'analyse d'entretiens non-directifs. Voix, geste, regard, vêtements, position dans l'espace, corps caché-exhibé, dominateur ou maltraité, face à un ensemble perçu comme une masse hostile, mouvante ou amorphe, une " fosse " ou un paradis, le corps de l'enseignant voudrait se faire oublier alors qu'il reste son principal instrument de travail. Les pistes explorées ici sont multiples, et apporteront un éclairage pertinent pour l'analyse comme pour la pratique en éducation et formation. Cette réédition contribuera également, nous l'espérons, à développer un champ de recherche insuffisamment exploré jusqu'alors.

10/2005

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Littérature française

Rire en do mineur. Et autres nouvelles

Quelques grands noms de créateurs (Mozart, Stendhal, Schiele, Joyce...) et de créatures (Eurydice, OEdipe, Rossinante, Jacques le Fataliste...) sont au coeur de ces nouvelles. Le plus souvent, les personnages sont vus de biais, par un parent, une interprète ou une compagne qui, quoique bienveillants, ne sont jamais dupes. A travers ces approches ludiques et ces regards multiples, Claude Pujade-Renaud éclaire certaines correspondances entre vie et création, soulignant avec un humour complice l'heureuse et nécessaire part de folie qui préside plus ou moins secrètement à la genèse de l'oeuvre.

04/2014

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Littérature française (poches)

Les femmes du braconnier

C’est en 1956, à Cambridge, que Sylvia Plath fait la connaissance du jeune Ted Hughes, poète prometteur, homme d’une force et d’une séduction puissantes. Très vite, les deux écrivains entament une vie conjugale où vont se mêler création, passion, voyages, enfantements. Mais l’ardente Sylvia semble peu à peu reprise par sa part nocturne, alors que le “braconnier ” Ted dévore la vie et apprivoise le monde sauvage qu’il affectionne et porte en lui. Bientôt ses amours avec la poétesse Assia Wevill vont sonner le glas d’un des couples les plus séduisants de la littérature et, aux yeux de bien des commentateurs, l’histoire s’achève avec le suicide de l’infortunée Sylvia. Attentive à la rémanence des faits et des comportements, Claude Pujade-Renaud porte sur ce triangle amoureux un tout autre regard. Réinventant les voix multiples des témoins - parents et amis, médecins, proches ou simples voisins -, elle nous invite à traverser les apparences, à découvrir les déchirements si mimétiques des deux jeunes femmes, à déchiffrer la fascination réciproque et morbide qu’elles entretiennent, partageant à Londres ou à Court Green la tumultueuse existence du poète. L’ombre portée des œuvres, mais aussi les séquelles de leur propre histoire familiale - deuils, exils, Holocauste, dont elles portent les stigmates -, donnent aux destins en miroir des “femmes du braconnier” un relief aux strates nombreuses, dont Claude Pujade-Renaud excelle à lire et révéler la géologie intime.

02/2012

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