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Cité du souvenir

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Littérature française

Cité du souvenir

Mon enfance et mon adolescence auront pour décor la guerre et ses ravages. Ces événements resteront marqués par des images et des sons. En particulier ceux émanant d'une HLM au nom évocateur de Cité du Souvenir. C'est par ces mots que l'auteur nous invite à entrer dans le récit des vingt premières années de sa vie – entre Seconde Guerre mondiale et guerre d'Algérie – passées au cœur d'une des premières cités ouvrières de Paris. A travers quelques portraits d'une famille nombreuse, qu'elle appellera le clan, elle nous raconte comment les valeurs transmises par ces êtres chers, l'aideront à surmonter les aléas d'un avenir peu prometteur. Nous la suivons plongée dans un voisinage socialement démuni, sur les bancs de l'école, le dimanche en toutes saisons, parfois malade, ou encore à la recherche d'un emploi. Avec pour toile de fond le poids de l'économie, de la politique et de la religion… Autant d'instants dans un pays en guerre, générant une société en mutation, que l'on découvre ou redécouvre non sans une certaine émotion.

06/2016

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Les échos du souvenir

1936. A peine arrivée à Paris, la Ville Lumière apparaît à Annabelle Blake, jeune infirmière contrainte de fuir Londres, comme la cité de tous les possibles. Elle y fait la connaissance d'un poète en devenir et d'un peintre en quête de reconnaissance. Ensemble, ils passent leurs journées à prendre du bon temps. Mais la guerre civile menace en Espagne... Deux décennies plus tard, suivant les pas de sa mère, Eugénie, jeune artiste prometteuse, tombe amoureuse de la capitale. Elle ne se doute pas encore des secrets que sa présence va faire ressurgir... Tamara McKinley délaisse le temps d'un roman les paysages sauvages de sa terre natale pour entraîner ses lectrices de Londres à Paris en passant par un Pays basque à feu et à sang, avec le brio qui ont fait le succès de ses grands romans australiens.

04/2022

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Les échos du souvenir

1936. A peine arrivée à Paris, la Ville Lumière apparaît à Annabelle Blake, jeune infirmière contrainte de fuir Londres, comme la cité de tous les possibles. Elle y fait la connaissance d'Etienne, poète en devenir, et de Henri, peintre en quête de reconnaissance. Ensemble, ils passent leurs journées à flirter et à prendre du bon temps. Mais ce Paris bohème n'est pas qu'une fête, d'autant que la guerre civile menace en Espagne... Deux décennies plus tard, suivant les pas de sa mère, Eugénie, une artiste prometteuse, tombe amoureuse de la capitale sitôt arrivée gare de Lyon. Mais elle ne se doute pas des secrets que son séjour va faire surgir... Tamara McKinley délaisse le temps d'un roman les paysages sauvages de sa terre natale pour Paris et un Pays basque à feu et à sang, avec le brio qui ont fait le succès de ses grands romans australiens.

04/2021

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La cité du rire

Dans le monde grec de l'époque classique, la dérision – entendue comme tout message dont le dessein est de susciter le rire en prenant pour cible quelque chose ou quelqu'un – est regardée par les contemporains avec défiance : ils y voient une source de conflits et de division au sein de la communauté. Les pratiques de dérision sont pourtant omniprésentes dans l'Athènes démocratique des Ve-IVe siècles av. J.-C. Et leurs manifestations ne sont ni fermement encadrées, ni clairement limitées. Que la dérision puisse ainsi se déployer dans l'espace public athénien trahit en réalité son rôle central dans le fonctionnement de la cité démocratique. Elle constitue, d'abord, à l'assemblée, au tribunal voire au conseil, un outil rhétorique puissant qui permet, dans le même mouvement, de discréditer un adversaire et de séduire l'auditoire. Au théâtre, ensuite, lors des spectacles comiques, elle sert une véritable didactique démocratique : la parodie des comportements politiques excessifs et délétères permet aux citoyens-spectateurs de mieux penser leur activité politique. Elle raffermit, enfin, le pouvoir de peuple à travers la dépréciation des élites qui en sont les cibles principales et dont la puissance est toujours susceptible de remettre en question la démocratie. L'importance des pratiques de dérision au sein de la cité athénienne ne tient cependant pas seulement à cette capacité à soutenir le régime démocratique, mais relève aussi de leur pouvoir de régulation sociale. La dérision s'apparente, en effet, à une espèce de soupape qui interdirait aux tensions de déboucher sur la déchirure du tissu social. Elle peut, parallèlement, conforter les normes qui régissent l'organisation sociale en jetant l'opprobre sur les conduites déviantes.

01/2021

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Souvenirs

Michel Macary, architecte de nombreux projets d'envergure (Stade de France, Cité internationale du vin et de l'alimentaire à Bercy, Etablissement public d'aménagement de la ville nouvelle de Marne-la- Vallée entre autres), revient ici sur le projet du Grand Louvre dont il a l'architecte associé de Ieoh Ming Pei, personnellement en charge des sculptures de l'aile Richelieu et de la galerie du Carrouel en 1983-93. Au travers de son témoignage richement illustré et de nombreuses anecdotes, il retrace onze années de travaux et d'amitiés, nous permettant de jeter un regard neuf et non dénué d'émerveillement sur l'un des plus grands projets architecturaux de Paris.

04/2021

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Cité Gagarine

La cité Gagarine : 13 étages, 5 cages d'escaliers, 350 logements, des centaines de familles, 60 ans d'histoire. Inaugurée par Youri Gagarine, modèle des banlieues rouges, la cité est devenue au fil des années une zone sinistrée. Elle fait partie de ces lieux qu'on imagine sans les connaître, qu'on voit - muraille de briques rouges aux portes de Paris - sans y pénétrer. Aujourd'hui sa destruction est programmée : elle est grignotée, pour laisser la place à un éco quartier. Les tours vont disparaitre. Adnane Tragha est réalisateur. Il est né en 1975 à Ivry sur Seine et jusqu'à ses 28 ans il a vécu face à la cité Gagarine. Il donne la parole à ceux qu'on n'entend jamais et qui ont été des figures de la cité : Loïc, rappeur, Samira, chercheuse à Harvard, Franck, employé municipal, Yvette qui a créé une troupe de théâtre, Daniel, le dernier gardien... Leurs souvenirs se mêlent aux siens, à l'Histoire. Personne ne dit mieux la fin des banlieues rouges, la tentation du repli communautaire, les filles invisibles, le sentiment d'exclusion mais aussi l'élan, la solidarité, l'énergie, la belle révolte, la mémoire des murs et des hommes.

10/2020

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