Tel Batman, Charles Dickens avait sa batcave, son refuge où, seul au cœur de la nuit, il pouvait s'adonner à sa passion : non pas combattre le crime, mais poursuivre son œuvre littéraire. Pour s'assurer une tranquillité maximale, il avait pris l'habitude de dissimuler les portes vers ses pièces favorites dans des bibliothèques, garnies de faux livres aux titres savoureux...