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Charles Baudelaire, Jacques Dupont

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Revues Poésie

Bicentenaire de Baudelaire

Bicentenaire de Baudelaire Baudelaire : Romantisme et modernité, par Marcel Raymond, texte présenté, établi et annoté par Julien Zanetta Pensée de la langue et puissance de la parole, par John E. Jackson Baudelaire, le deuil et la genèse de la poésie, par Edward K. Kaplan L'au-delà dans Les Fleurs du Mal, par Vesna Elez Baudelaire et le théâtre de la dualité, par Etienne Crosnier Le Gâteau, double allégorie de la vie, par Povilas Birbilas Le Tir et le cimetière. Un souvenir de Charles Monselet, par Jean-Michel Gouvard Baudelaire, Rousseau et la question de la rêverie, par Jeanne Dorn Victor Hugo, une passion de "vieillesse" de Baudelaire, par Patrick Thériault Sur la dédicace à Maria Clemm, par Loïc Windels Le Puget des Phares, par Claire Chagniot Gautier et le mythe baudelairien du voyage aux Indes, par Aurélia Cervoni Baudelaire et Gustave Moreau, par Catherine Delons Baudelaire relu par Oscar Wilde, par Marie Kawthar Daouda Colette, "baudelairement" , par Jacques Dupont Baudelaire, un phare pour Debussy, par Emilie de Fautereau Sur trois poèmes attribués à Baudelaire, par Andrea Schellino Une lettre inédite de Baudelaire enfant, par Florent Serina

11/2021

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Poésie

Les Fleurs du Mal

"Ce livre, dont le titre : Fleurs du Mal, – dit tout, est revêtu [...] d'une beauté sinistre et froide ; il a été fait avec fureur et patience. D'ailleurs, la preuve de sa valeur positive est dans tout le mal qu'on en dit. Le livre met les gens en fureur", écrivait Baudelaire à sa mère, le 9 juillet 1857. La première édition des Fleurs du Mal venait d'être publiée ; le procès qui s'ensuivit allait donner raison au poète : six pièces furent condamnées au motif qu'elles "conduisaient nécessairement à l'excitation des sens"... En 1861 parut la seconde version des Fleurs du Mal, dont Baudelaire, peu avant sa mort, affirmait : "Faut-il vous dire [...] que dans ce livre atroce, j'ai mis tout mon coeur, toute ma tendresse, toute ma religion (travestie), toute ma haine ? Il est vrai que j'écrirai le contraire, que je jurerai mes grands dieux que c'est un livre d'art pur, de singerie, de jonglerie ; et je mentirai comme un arracheur de dents" (lettre à Ancelle du 18 février 1866).

08/2016

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Poésie

Les Fleurs du Mal

" Ce livre, dont le titre : Fleurs du Mal, - dit tout, est revêtu [...] d'une beauté sinistre et froide ; il a été fait avec fureur et patience. D'ailleurs, la preuve de sa valeur positive est dans tout le mal qu'on en dit. Le livre met les gens en fureur ", écrivait Baudelaire à sa mère, le 9 juillet 1857. La première édition des Fleurs du Mal venait d'être publiée ; le procès qui s'ensuivit allait donner raison au poète : six pièces furent condamnées au motif qu'elles " conduisaient nécessairement à l'excitation des sens "... En 1861 parut la seconde version des Fleurs du Mal, dont Baudelaire, peu avant sa mort. affirmait : " Faut-il vous dire [...] que dans ce livre atroce, j'ai mis tout mon cœur, toute ma tendresse, toute ma religion (travestie), toute ma haine ? Il est vrai que j'écrirai le contraire, que je jurerai mes grands dieux que c'est un livre d'art pur, de singerie, de jonglerie ; et je mentirai comme un arracheur de dents " (lettre à Ancelle du 18 février 1866).

08/2006

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Littérature française

Les Fleurs du Mal

Ce livre, dont le titre : Fleurs du Mal, - dit tout, est revêtu d'une beauté sinistre et froide; il a été fait avec fureur et patience. D'ailleurs, la preuve de sa valeur positive est dans tout le mal qu'on en dit. "Le livre met les gens en fureur", écrivait Baudelaire à sa mère, le 9 juillet 1857. La première édition des Fleurs du Mal venait d'être publiée; le procès qui s'ensuivit allait donner raison au poète : six pièces furent condamnées au motif qu'elles "conduisaient nécessairement à l'excitation des sens". En 1861 parut la seconde version des Fleurs du Mal, dont Baudelaire, peu avant sa mort, affirmait : "Faut-il vous dire que dans ce livre atroce, j'ai mis tout mon coeur, toute ma tendresse, toute ma religion (travestie), toute ma haine ? Il est vrai que j'écrirai le contraire, que je jurerai mes grands dieux que c'est un livre d'art pur, de singerie, de jonglerie; et je mentirai comme un arracheur de dents" (lettre à Ancelle du 18 février 1866).

04/2012

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Poésie

Les Fleurs du Mal

"Ce livre, dont le titre : Fleurs du Mal,— dit tout, est revêtu [...] d'une beauté sinistre et froide ; il a été fait avec fureur et patience. D'ailleurs, la preuve de sa valeur positive est dans tout le mal qu'on en dit. Le livre met les gens en fureur", écrivait Baudelaire à sa mère, le 9 juillet 1857. En 1861 parait la seconde version du recueil. Les poèmes qui le composent sont le creuset d'"opérations magiques", de correspondances inattendues : les plus charmantes créatures côtoient des monstres abominables, le sublime émane du trivial... Magnifiant damnés et charognes, le poète-alchimiste confère à la douleur et à la laideur une dimension esthétique, dotant son recueil d'une modernité géniale : "Tu m'as donné ta boue et j'en ai fait de l'or."

08/2019

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Poésie

Les fleurs du mal

"J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans".

10/2024