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Cette nuit, je l'ai vue

Extraits

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Littérature serbo-croate et sl

Cette nuit, je l'ai vue

Veronika Zarnik est une femme libre. Bourgeoise charmeuse et excentrique, elle impose à ceux qui la côtoient une indépendance qui envoûte. Elle inspire à chacun une indécise impression, un sentiment mêlé de tendresse, d'amour, mais également de mépris et de frustration. Inconvenante, non conformiste, elle s'adapte mal aux heures sombres de la Seconde Guerre mondiale. Un étrange soir de janvier quarante-quatre, Veronika et son mari, Leo, disparaissent. Autrefois insaisissable, elle devient une véritable âme errante et cinq voix, hantées à leur manière par son spectre, tentent de reconstituer ce qu'était réellement sa vie.

08/2019

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Cette nuit, je l'ai vue

Veronika Zarnik est de ces femmes troublantes, insaisissables, de celles que l'on n'oublie pas. Sensuelle, excentrique, éprise de liberté, impudente et imprudente, elle forme avec Leo, son mari, un couple bourgeois peu conventionnel aux heures sombres de la Seconde Guerre mondiale, tant leur indépendance d'esprit, leur refus des contraintes imposées par l'Histoire et leur douce folie contrastent avec le tragique de l'époque. Une nuit de janvier 1944, le couple disparaît dans de mystérieuses circonstances, laissant leur entourage en proie aux doutes. Qui était vraiment Veronika ? Quelle fut vraiment sa vie ? Que cachait-elle ? Cinq proches du couple tentent alors de cerner l'énigmatique jeune femme et délivrent, par fragments, les nombreuses facettes de sa personnalité, et ainsi reconstruisent son histoire, celle de son mari et celle de la Slovénie. Une oeuvre polyphonique magistrale !

01/2014

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Psychologie générale et cliniq

Aussi sombre est la nuit

"J'ai quatorze ans. Je savoure ma première nuit dehors, sans abri. Je suis cette enfant blessée mais libre, libre depuis peu, quelques poignées d'heures à vue de nez, depuis quelques respirations sûrement et très certainement depuis quelques battements de cur. Un cur déchiré mais qui bat fort et vite. Je suis celle qui a claqué la porte à l'insupportable, l'intolérable. L'amputée d'une enfance cotonneuse, moelleuse. Epuisée mais déterminée. Comme enivrée d'espérance, shootée à la confiance, dopée à l'insouciance. Ma liberté n'a pas de prix". Cet authentique récit présente à la fois une énigme et sa résolution. Témoignage d'une enfance dévastée, il est aussi un éloge de l'amour et de la vie. Renaître à soi.

03/2024

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Britannicus

Extrait : "NERON : Excité d'un désir curieux, Cette nuit je l'ai vue arriver en ces lieux, Triste, levant au ciel ses yeux mouillés de larmes, Qui brillaient au travers des flambeaux et des armes, Belle, sans ornements, dans le simple appareil D'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil".

11/2015

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Britannicus

NERON Narcisse, c'en est fait, Néron est amoureux. NARCISSE Vous ? NERON Depuis un moment, mais pour toute ma vie, J'aime, que dis-je, aimer ? J'idolâtre Junie ! NARCISSE Vous l'aimez ? NERON Excité d'un désir curieux, Cette nuit je l'ai vue arriver en ces lieux, Triste, levant au ciel ses yeux mouillés de larmes, Qui brillaient au travers des flambeaux et des armes, Belle, sans ornements, dans le simple appareil D'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil. Que veux-tu ? Je ne sais si cette négligence, Les ombres, les flambeaux, les cris et le silence, Et le farouche aspect de ses fiers ravisseurs, Relevaient de ses yeux les timides douceurs, Quoi qu'il en soit, ravi d'une si belle vue, J'ai voulu lui parler et ma voix s'est perdue : Immobile, saisi d'un long étonnement, Je l'ai laissé passer dans son appartement. J'ai passé dans le mien. C'est là que, solitaire, De son image en vain j'ai voulu me distraire. Trop présente à mes yeux je croyais lui parler, Jamais jusqu'à ses pleurs que je faisais couler. Quelquefois, mais trop tard, je lui demandais grâce : J'employais les soupirs, et même la menace. Voilà comme, occupé de mon nouvel amour, Mes yeux, sans se fermer, ont attendu le jour.

10/1995

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Je me balance

Une enfant roumaine dans son orphelinat sous la dictature de Ceausescu. L'histoirere de cette petite fille commence là. La nuit pour trouver le sommeil elle se balance. A six ans, sans avoir perdu espoir, elle est adoptée par une famille aimante et s'envole vers la France, en Normandie. Elle laisse derrière les murs sans issue, les brimades, quelques habits usés et des amis. Ses parents lui gardent son prénom roumain, elle découvre dans la région de Cherbourg. l'amitié, une vie entourée, l'adolescence et le cirque. Là-aussi à penduler à ses agrès, elle se balance, avant de devenir danseuse et de créer sa compagnie quand d'autres jeunes gens sont encore à l'école. Elle se balancera aussi entre ses deux pays, la France, terre d'accueil et la Roumanie qui l'a vue naître. Quand la mort frappera sa mère adoptive, la jeune femme devenue retourne dans son pays natal pour retrouver sa famille génétique. On la suit dans cette quête où elle n'a que le nom de son institution pour commencer sa recherche qui la conduit à sa fratrie. Elle pourrait en vouloir à cette famille, elle la deuxième enfant et la seule, à avoir été la seule déposée devant la porte de l'orphelinat. Il n'en est rien, son pardon est dans chaque geste, sa vie est dans la découverte de l'autre.

02/2021

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